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Musique Zen - Méditation Relaxation - Musique Relaxante. Boîte à outils Collège. Vérifier l'info : le fact-checking - Vidéo Spécialités. Comment vérifier une information sur internet ?

Vérifier l'info : le fact-checking - Vidéo Spécialités

- Moi c’est Aude, j’ai une chaîne Youtube qui s’appelle WTFake. - Et je suis Samuel Etienne, je présente la matinale de France Info, et "Questions pour un Champion" sur France 3. “Top ! Je suis un mot à consonance anglo-saxonne désignant une vérification des faits, je suis le sujet de notre vidéo, je suis, je suis…” - Le fact-checking ! - Bonne réponse. - Rassurez-moi, vous n'allez pas m’offrir un dictionnaire sur les champignons ? - Et aujourd’hui l’info est produite par beaucoup plus de monde qu’avant - Le quoi ? - Laissez tomber. - Mais pour démêler le vrai du faux dans tout ce brouhaha qu’Internet a créé, il faut des enquêteurs professionnels.

. - Et ceux qui portent ce débat, ce sont les hommes politiques. . - Il n'a pas fait le Mont Blanc, votre grand-père ? - Si, mais la crème dessert. Le blog de Jean-Pierre VERAN. Entre crise de confiance et perte de repères, l’intérêt pour l’information est au plus bas. Par Barbara Chazelle, France Télévisions, MediaLab et Prospective Pour la première fois dans le monde, les médias sont l’institution envers laquelle le public accorde le moins sa confiance, selon le baromètre Edelman 2018*.

Entre crise de confiance et perte de repères, l’intérêt pour l’information est au plus bas

La défiance vis-à-vis des médias n’est pas nouvelle, mais elle est accentuée par le discrédit récent des plateformes, notamment les moteurs de recherche et les médias sociaux. Crise de confiance, mais aussi perte de repères face à la montée des fake news. Les médias n’arrivent pas à répondre aux attentes du public… ce qui conduit finalement au désintérêt pour l’information, qui atteint en France son plus haut niveau depuis 1987 selon le baromètre Kantar Sofres pour La Croix paru aujourd'hui**.

Effet boule de neige, ce manque de confiance dans les moyens d’information fait aussi chuter la confiance envers les autres institutions, les dirigeants politiques et le monde des affaires principalement. Crise de confiance historique pour les médias à l'échelle mondiale. Silvère MERCIER - un chapitre du livre Communs des savoirs et bibliothèques - Voici en intégralité le chapitre du livre Communs des savoirs et bibliothèques publié au Cercle de la Librairie sous la coordination de Lionel Dujol.

Silvère MERCIER - un chapitre du livre Communs des savoirs et bibliothèques -

Je vous recommande la lecture du livre dont vous trouverez l’excellente introduction sur le blog de Lionel. Dans ce chapitre je me suis intéressé à certains exemples de gestion en communs de ressources notamment les grainothèques et les Little Free Libraries. Une gestion commune des supports de connaissance L’expression « partenariat Public-Communs » (Public-Commons Partnership) a été proposée par l’italien Tommaso Fattori, qui souhaitait montrer qu’il existe une autre voie possible que les partenariats Public-privé classiques, trop souvent à l’origine de formes de privatisation ou d’accaparement de ressources communes.

Plus largement, la notion permet d’éviter l’éceuil de percevoir les communs de la connaissance comme une alternative aux services publics. Communs, Biens Communs, littératie des Communs : de quoi parle-t-on. Le 5 octobre, le festival Le Temps des Communs va être lancé.

Communs, Biens Communs, littératie des Communs : de quoi parle-t-on

De nombreuses animations, conférences, ateliers sont proposés peut être près de chez vous. Depuis quelques mois, on entend parler de « Biens Communs » et « Communs » aussi dans le domaine de l’information-documentation. Petit point sur ces questions. Que sont les Biens Communs ? Biens communs = une activité+ une ressource + une communauté + des règles de fonctionnement Apparue au XIIe siècle, la théorie des Biens Communs n’est donc pas neuve. Pour en savoir plus : Extrait de : Biens Communs ou Communs de la connaissance ? Une approche récente, voit un basculement des termes de « Biens communs » à celui de "Communs". Ce changement d’appellation est induit par la prise en compte des biens immatériels que sont les savoirs et les connaissances qui sont multipliables et copiables, à l’infini, notamment avec le numérique. Ainsi, les savoirs et données peuvent tout à fait disparaître ou être pollués.

Eduscol: Les communs de la connaissance, théorie et constats. "Nous parlons de communs de la connaissance dès lors qu’il y a une activité collective pour créer, maintenir et offrir des savoirs en partage"(15).

Eduscol: Les communs de la connaissance, théorie et constats

Le principe de l'existence des communs de la connaissance a été soutenu en 2006 par Elinor Ostrom et Charlotte Hess dans un ouvrage rédigé... en commun: Understanding Knowledge as a Commons (16). La connaissance y est décrite comme une ressource partagée, un "écosystème complexe se heurtant à des dilemmes sociaux" et en cela elle ne déroge pas aux problèmes rencontrés par les autres biens communs. De même, chaque discipline peut la revendiquer et y projetter tout naturellement ses propres intérêts: De cette exploration des communs de l'information et de la connaissance qui n'en est qu'aux prémices selon les auteures (du moins en 2007), des constats émergent, dont bon nombre ont été repris, confirmés, étoffés et analysés ultérieurement, notamment dans l'ouvrage maintes fois cité de Dardot-Laval. (16) Elinor Ostrom and Charlotte Hess (eds.).