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Ressources humaines

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Vers des RH 2.0 avec les réseaux sociaux d'entreprise ? Publié le 15/11/2011 Attention, cet article a été publié le 15/11/2011.

Vers des RH 2.0 avec les réseaux sociaux d'entreprise ?

Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Assurez-vous de lire les dernières dépèches et dossiers publiés en utilisant notre moteur de recherche Entre intérêt grandissant et prudence tenace, des entreprises commencent à intégrer les réseaux sociaux dans leur communication et leur politique RH. Sans en avoir, jusque là, perçu tout le potentiel. Si elle se répand largement dans la société, la révolution 2.0 reste encore aux portes du monde professionnel. Des implications sur la GPEC et la gestion des talents C’est sans doute, selon la consultante, le principal intérêt des réseaux sociaux d’entreprise : « (re)créer du lien social, et contribuer au sentiment d’appartenance et à la cohésion ». Recherche motivation des salariés... Différentes études révèlent une crise de la motivation et de l'engagement au travail en France.

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Comment inverser la tendance ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gaëlle Picut La rémunération a longtemps été considérée comme l’un des leviers principaux de motivation au travail. Mais les recherches récentes (Daniel H. Pink, Dan Ariely) montrent que la rémunération n’est pas la principale source de motivation, même si bien évidemment elle reste un élément important. « Et croire qu’une augmentation salariale ou une prime va motiver un salarié à long terme est une erreur. De son côté Antoine Morgaut, CEO Europe et Amérique Latine de Robert Walters, confirme que de plus en plus de cadres sont prêts à accepter un salaire moindre en échange d’un poste intéressant, d’une promesse de carrière motivante ou d’une meilleure qualité de vie. « La mobilité géographique en province n’a jamais été aussi forte », a-t-il indiqué.

Le coût de la démotivation. Salariés, cadres : que faire en cas de burn-out ? Par Frédéric Chhum, Avocat et Lisa Cheze-Dartencet, Juriste. Le burn-out est un syndrome d’épuisement professionnel.

Salariés, cadres : que faire en cas de burn-out ? Par Frédéric Chhum, Avocat et Lisa Cheze-Dartencet, Juriste.

Il est consécutif à l’exposition à un stress permanent et prolongé. Ce syndrome est nommé « mort par surcharge de travail » au Japon. La victime de cette maladie s’épuise mentalement et physiquement en essayant d’atteindre des objectifs irréalisables ou d’accomplir des tâches insurmontables. Elle est « vidée nerveusement » et perd tout son entrain. Elle ne s’attribue aucune capacité à faire avancer les choses, convaincue de son inaptitude à répondre efficacement aux attentes de son entourage.

Le burn-out est très souvent synonyme d’arrêt maladie longue durée, d’impossibilité de reprendre le travail, en sus de dépressions, d’où l’intérêt qu’il soit reconnu comme une maladie professionnelle. C’est une maladie classée dans la catégorie des risques psychosociaux professionnels. 1) Faire établir le caractère professionnel du burn-out 2) Faire reconnaitre le burn-out comme maladie professionnelle auprès de la CPAM. Réglementation de la santé du travail.

Suivi individuel des salariésVisites médicales Tous les salariés bénéficient d'un suivi individuel de leur état de santé intégré dans une démarche globale de prévention des risques professionnels.

Réglementation de la santé du travail

Dans ce cadre, ils sont soumis à des examens médicaux, et ce dès leur embauche, puis périodiquement, ainsi qu'à l'occasion d’événements particuliers. A NOTER La loi de 20 juillet 2011(art.1, IV) prévoit qu'à l'issue d'un délai de 18 mois à compter de sa promulgation, soit à compter du 24 janvier 2013, les clauses des accords collectifs comportant des obligations en matière d'examens médicaux réalisés par le médecin du travail différentes de celles prévues par le Code du travail et le Code rural seront réputées caduques. 1.

Visite médicale d'embauche L'employeur qui recrute un salarié doit organiser un examen médical d'embauche ( Emploi identique Un nouvel examen d'embauche n'est pas obligatoire si les conditions suivantes sont réunies ( Bien-être au travail dans la fonction publique territoriale : les clignotants passent au rouge. «Attention danger », serait-on bien tenté d’alerter à la lecture du baromètre 2013 que « La Gazette » et « emploipublic.fr », associés au cabinet Pragma, viennent de réaliser en ce début d’année.Car, en un an, l’édifice est ébranlé et le bien-être au travail des agents de la FPT considérablement fragilisé, comme l’indique l’évolution de leur opinion.

Bien-être au travail dans la fonction publique territoriale : les clignotants passent au rouge

Bien sûr, deux répondants territoriaux sur trois restent satisfaits (66 %) et même fiers (68 %) de travailler pour leur collectivité. Ce n’est pas rien. Et gageons que de nombreuses entreprises privées envieraient un tel taux, elles qui, selon la Cegos en 2012, ne réunissent que 56 % de salariés « fiers de leurs entreprises ». Mais, aussi beau soit-il, l’arbre ne doit pas cacher la forêt. Les courbes enregistrent, en effet, une baisse de 8 et 6 points chacune par rapport à 2012, le niveau de satisfaction globale ayant nettement diminué, depuis, pour 56 % des répondants.