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Les Différents Troubles

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Les addictions comportementales. Depuis 20 ans, l'approche des addictions avec ou sans drogues se fait de façon globale.Il existe des similitudes neurobiologiques et psychopathologiques et surtout comportementales entre les addictions avec produit et les addictions comportementales : addiction aux jeux de hasard et d'argent ou jeu pathologique, addiction aux jeux vidéo, achats compulsifs, addictions alimentaires, dépendance à l'activité physique, dépendances sexuelles et affectives, dépendances sectaires...

La définition Dans un article paru en 1990, le psychiatre Aviel Goodman proposait comme définition de l'addiction : « un processus par lequel un comportement, qui peut fonctionner à la foi pour produire du plaisir et pour soulager un malaise intérieur, est utilisé sous un mode caractérisé par l'échec répété dans le contrôle de ce comportement et la persistance de ce comportement en dépit des conséquences négatives significatives ». Les critères des addictions comportementales On peut y ajouter 9 critères secondaires : Notes - IFAC (URL) Actualités. Actualités IFAC (RSS) Dépendance au jeu vidéo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance au jeu vidéo désigne un trouble psychologique caractérisant un besoin irrésistible et obsessionnel de jouer à un jeu vidéo. L'addiction aux jeux vidéo entraînerait chez le joueur des comportements au caractère répétitif et compulsif, comme chez les joueurs pathologiques ou les consommateurs de substances psychoactives.

Controverse[modifier | modifier le code] Le 6 mars 2012 l'Académie nationale de Médecine précise qu'il est préférable de parler de « pratique excessive » que d'addiction aux jeux-vidéo et cela pour deux raisons[1] : il n'y a à ce jour aucun consensus scientifique sur l'existence d'une réelle addiction aux jeux vidéo ;le terme « pratique excessive » est plus approprié car moins stigmatisant. Ainsi, le psychanalyste Yann Leroux affirme pour sa part qu’« Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo[2]. » De même, Keith Baker, spécialiste de l'addiction, a créé en 2006 un centre de désintoxication. Accro au jeu vidéo ? Le jeu vidéo est aujourd’hui un loisir qui concerne toutes les tranches de la population. Une enquête montre que 53 % des Français1 jouent régulièrement et 68 % occasionnellement. Qui joue le plus ? A quel type de jeu ? Pourquoi certaines personnes deviennent-elles addictes ?

Quels sont les signes d’alerte d’un usage excessif ? Comment traiter cet usage problématique ? Qui joue ? Les derniers chiffres1 (octobre 2017) montrent que les plus gros joueurs se situent dans les tranches d’âge : 10-14 (95 %), 15-18 (92 %) et 19-24 (91 %). A quel type de jeu jouent les joueurs ? Dans le classement 2017 des 10 premiers jeux vendus en France toutes plateformes confondues1, on trouve : Puis-je être « addict » au jeu vidéo ? Le consensus sur l’expression à employer pour décrire un usage excessif des jeux vidéo a toujours fait débat. Les facteurs de risques d’une addiction au jeu vidéo Une humeur dépressive (perte de goût et de plaisir pour ce qui était habituellement agréable). Les signes d'alerte. Note Dépendance aux jeux vidéos (URL) Dépendance à Internet.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives.

Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie : Internet addiction disorder. Internet addiction disorder (IAD), now more commonly called problematic Internet use (PIU)[1] or compulsive Internet use (CIU).[2] Other overlapping terms include Internet overuse, problematic computer use or pathological computer use – and even iDisorder.[3] These terms avoid the word addiction and are not limited to any single cause, but only reflect a general statement about excessive computer use that interferes with daily life.[4] IAD was originally proposed as a disorder in a satirical hoax by Ivan Goldberg, M.D., in 1995,[5] though some later researchers have taken his essay seriously.

Other habits such as reading, playing computer games, or watching very large numbers of Internet videos or movies are all troubling only to the extent that these activities interfere with normal life. Internet addiction is a subset of a broader "technology addiction". §A multidimensional construct[edit] §Disputed disorder: DSM[edit] Jerald J. §Controversies in diagnosis[edit] §Net compulsions[edit] Dr. Note Dépendance à Internet (URL) Nomophobia. Nomophobia is the fear of being out of mobile phone contact.[1][2][3] The term, an abbreviation for "no-mobile-phone phobia",[4] was coined during a 2010 study by the UK Post Office who commissioned YouGov, a UK-based research organization to look at anxieties suffered by mobile phone users.

The study found that nearly 53% of mobile phone users in Britain tend to be anxious when they "lose their mobile phone, run out of battery or credit, or have no network coverage". The study found that about 58% of men and 47% of women suffer from the phobia, and an additional 9% feel stressed when their mobile phones are off. The study sampled 2,163 people. More than one in two nomophobes never switch off their mobile phones.[8] The study and subsequent coverage of the phobia resulted in two editorial columns authored by those who minimize their mobile phone use or choose not to own one at all, treating the condition with light undertones of or outright disbelief and amusement.[9][10] See also[edit]

Note Nomophobie (URL)