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FDN -- Association fournisseur d'accès RTC et ADSL. Hacktivisme et libertés. Change Facebook colors look: Firefox, Greasemonkey. Auto-Colorizer: Colors Facebook for Greasemonkey. Script Summary: Adds an awesome color scheme to facebook based on your photo. Follow on Twitter: @AutoColorizer Receive notifications of updates, pre-release versions, and get help. v2.9.3 Released 12/11/2010 Share Colorizes facebook based on your friend's photos. Each of your friends gets their own great custom color scheme! Visit any profile or photo album on facebook, and the page will change color schemes to perfectly match the photo. Browser Support Script made entirely by Justin Ormont. Auto-Colorizer is not created by or endorsed by Facebook. Auto-Colorizer: Colors Facebook for Greasemonkey. Mega, le nouveau Megaupload, pourrait être le cauchemar d’Hollywood.

01net. le 19/10/12 à 07h47 Dans une interview exclusive à Wired, et après avoir commencé à en dévoiler les contours en août 2012, Kim Dotcom est allé dans le détail de ce qui sera son prochain service, le nouveau Megaupload. Il s’appellera Mega, ou en tout cas, c’est comme ça qu’il est nommé pour l’instant, comme on raccourcit le nom de quelqu’un qu’on aime bien.

Chiffrement des documents Il reposera sur un triptyque : résoudre la question de la fiabilité des services de stockage dans le nuage, renforcer les droits à la vie privée des utilisateurs sur Internet et leur fournir un nouveau outil simple d’utilisation. Et Kim Dotcom d’aller davantage dans le détail, pour répondre de manière anticipée à une des critiques récurrentes qui voudrait que Mega ne soit que la version adaptée aux contraintes légales de Megaupload. Avertissement du FBI en page d'accueil du domaine Megaupload.com Indéchiffrable Redondance et ouverture Et pour la question de fiabilité des serveurs ? Daté d'août 2012. Megaupload : Kim Dotcom annonce l’arrivée de Megabox. MegaUpload : la perquisition chez Kim Dotcom jugée illégale. Web 3.0. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expression Web 3.0 est utilisée en futurologie à court terme pour désigner le Web qui suit le Web 2.0 et constitue l'étape à venir du développement du World Wide Web.

Son contenu réel n'est pas défini de manière consensuelle, chacun l'utilisant pour désigner sa propre vision du futur d'internet. Historique[modifier | modifier le code] Historiquement, le Web 3.0 est une expression qui désigne la troisième étape en cours des transformations majeures dont le Web fait l'objet depuis son lancement : Le Web 1.0 est le Web constitué de pages web liées entre elles par des hyperliens qui a été créé au début des années 1990.Le Web 2.0 est le Web social, qui s'est généralisé avec le phénomène des blogs, des forums de discussion agrégeant des communautés autour de sites internet et enfin avec les réseaux sociaux. Le Web 3.0, lui, n'est pas vraiment défini. Problèmes posés par le terme[modifier | modifier le code] People keep asking what Web 3.0 is. Pyramide de Maslow du web 3.0.

Web sémantique. Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2]. Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5]. L'article original de Tim Berners-Lee en 2001 dans le Scientific American a décrit une évolution attendue du Web existant vers un Web sémantique[6], mais cela n'a pas encore eu lieu.

En 2006, Tim Berners-Lee et ses collègues ont déclaré : Cette idée simple… reste largement inexploitée.[7] Histoire[modifier | modifier le code] — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] WolframAlpha. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Wolfram. Wolfram|Alpha (aussi écrit WolframAlpha lorsque Wolfram et Alpha sont dans deux couleurs distinctes) est un outil de calcul en langage naturel développé par la société internationale Wolfram Research. Il s'agit d'un service internet qui répond directement à la saisie de questions factuelles en anglais par le calcul de la réponse à partir d'une base de données, au lieu de procurer une liste de documents ou de pages web pouvant contenir la réponse. Son lancement a été annoncé en mars 2009 par le physicien et mathématicien britannique Stephen Wolfram et il a été lancé le 16 mai 2009 à 3 h 00 du matin. Wolfram|Alpha contient environ 10 milliards d'informations, plus de 50 000 types d'algorithmes et de modèles, et des capacités linguistiques pour plus de 1 000 domaines[1].

Utilisation[modifier | modifier le code] Les utilisateurs saisissent une question ou une demande de calcul. Microformat. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un microformat (parfois abrégé sous μF ou uF) est une approche de formatage de données dans des pages WEB[1] qui cherche à rationaliser et standardiser le contenu existant, comme les métadonnées, en utilisant des classes[2] et attributs de balises[3] XHTML et HTML. Cette approche est conçue pour permettre à l'information destinée aux utilisateurs finaux, telle que le carnet d'adresses, les coordonnées géographiques, les événements et autres données ayant une structure constante, d'être traitée automatiquement par les logiciels. Même si le contenu des pages web était déjà capable techniquement d'être « traité automatiquement » depuis la conception du web, il existait certaines limites. Les balises traditionnelles de marquage étaient en effet utilisées pour afficher l'information sur le Web et non pas pour décrire ce que voulait dire l'information[4].

Historique[modifier | modifier le code] Aperçu technique[modifier | modifier le code] Google lance son Knowledge Graph en France. Cette nouvelle fonctionnalité du moteur de recherche vise à s'approcher au plus près du besoin de l'internaute en s'appuyant sur une modélisation des liens entre 500 millions d'entités. Google annonce sur son blog officiel le lancement dans l'Hexagone de son service Knowledge Graph, "modèle intelligent qui comprend les entités du monde réel, ainsi que les relations qui les lient les unes aux autres", par opposition aux mots-clés sur lesquels se basent habituellement les requêtes des internautes. Ce service ambitionne de s'appuyer sur "l'intelligence collective du web, dont la compréhension du monde se rapproche un peu plus de celle des individus", pour fournir des informations pertinentes sur ces entités : lieux, objets, personnes...

Par exemple, une requête sur l'expression "Taj Mahal" renvoie habituellement des résultats mélangés concernant aussi bien le monument d'Agra qu'un musicien du même nom ou encore de multiples restaurants indiens. Internet des objets. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Internet des objets (IdO ou IoT pour Internet of Things en anglais) représente l'extension d'Internet à des choses et à des lieux du monde physique. Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, l'internet des objets connectés représente les échanges d'informations et de données provenant de dispositifs présents dans le monde réel vers le réseau Internet. L'internet des objets est considéré comme la troisième évolution de l'Internet, baptisée Web 3.0 (parfois perçu comme la généralisation du Web des objets mais aussi comme celle du Web sémantique) qui fait suite à l'ère du Web social.

L'internet des objets revêt un caractère universel pour désigner des objets connectés aux usages variés, dans le domaine de la e-santé, de la domotique ou du Quantified Self. Histoire et définition de l'internet des objets[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Radio-étiquettes. Le Web 3.0 sera l'internet des objets selon Vinton Cerf. Web des données.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web des données (Linked Data, en anglais) est une initiative du W3C (Consortium World Wide Web) visant à favoriser la publication de données structurées sur le Web, non pas sous la forme de silos de données isolés les uns des autres, mais en les reliant entre elles pour constituer un réseau global d'informations. Il s'appuie sur les standards du Web, tels que HTTP et URI - mais plutôt qu'utiliser ces standards uniquement pour faciliter la navigation par les êtres humains, le Web des données les étend pour partager l'information également entre machines.

Cela permet d'interroger automatiquement les données, quels que soient leurs lieux de stockage, et sans avoir à les dupliquer[1]. Tim Berners-Lee, directeur du W3C, a inventé et défini le terme Linked Data et son synonyme Web of Data au sein d'un ouvrage portant sur l'avenir du Web sémantique[2]. Principes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Web3D. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web3D correspondait initialement au concept d'un Web totalement en 3D, des hyperliens reliant les contenants entre eux. Par extension, le terme désigne aujourd'hui tous les contenus en 3D interactive qui sont intégrée à des pages HTML, et que l'on peut visualiser par l'intermédiaire de son navigateur Web.

Soit : « la 3D sur le Web ». En 2009, les navigateurs requièrent l'installation d'un plugin pour afficher ce type de contenus. Les technologies actuelles du web 3D permettent, au-delà de simples sites en 3D, le développement futur de jeux en 3D en ligne, notamment des jeux massivement multijoueurs directement jouables dans le navigateur. Formats disponibles[modifier | modifier le code] Parmi les nombreux formats et modes d'intégration disponibles, on peut citer : Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Informatique ubiquitaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution des ordinateurs : la course à la minaturisation et à la diffusion dans le milieu ambiant[1]. L´informatique ubiquitaire est la troisième ère de l'histoire de l'informatique, qui succède à l'ère des ordinateurs personnels et celle des mainframe. Dans cette ère l'utilisateur a à sa disposition une gamme de petits appareils informatiques tels que smartphone ou assistant personnel, et leur utilisation fait partie de l'ordinaire de sa vie quotidienne.

Ces appareils rendent l'accès à l'information facile pour tout le monde, n'importe où et n'importe quand. La commission Européenne utilise les mots intelligence ambiante pour décrire le milieu créé par les appareils. Caractéristiques[modifier | modifier le code] L'informatique ubiquitaire est la troisième ère de l'histoire de l'informatique[4], qui succède à l'ère des ordinateurs personnels et celle des mainframe. Histoire[modifier | modifier le code] Exemples[modifier | modifier le code] Intelligence ambiante. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution des ordinateurs : la course à la miniaturisation et à la diffusion dans le milieu ambiant L'intelligence ambiante est ce que pourrait devenir l'informatique dans la première moitié du XXIe siècle en repoussant les limites technologiques qu'elle avait à la fin du XXe siècle [réf. nécessaire].

Ce concept semble pouvoir tenir lieu de traduction non littérale aux concepts nés en Amérique du Nord sous le vocable initial d'informatique ubiquitaire, systèmes pervasifs ou encore ordinateur évanescent [réf. nécessaire]. Dans cette approche, le concept même de système d’information ou d'ordinateur change : d’une activité de traitement exclusivement centrée sur l’utilisateur, l'informatique devient interface entre objets communicants et personnes, et entre personnes [réf. nécessaire].

Facteurs en jeu[modifier | modifier le code] Vers une informatique diffuse[modifier | modifier le code] Perspectives économiques[modifier | modifier le code] WebOS. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec HP webOS (ou Palm webOS) Un WebOS (Web Operating System, en français Système d'exploitation sur le web) est une imitation de bureau ou environnement graphique d'un système d'exploitation. Il s'agit d'une application web de type PIM qui contient des icônes, barres et fenêtres (redimensionnables et déplaçables) et dans certains cas, des applications.

Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] OneEye Project, "a takeover of the legacy series one from the EyeOS project"Symbiose, un WebOS libre et open-sourceLucid, "a free, open source web desktop, or webOS"Fenestela, "un WebOS open-source"Zoho Office, suite bureautique en ligneUlteo Open Virtual DesktopuniverseOS, "first social WebOS"Zarmada Portail de l’informatique.