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Où en est le BYOD au Japon ? Trop dangereux aux yeux des Japonais Si le BYOD connaît un succès important en Amérique ou encore dans la plupart des pays asiatiques, nous savons que deux territoires de ce continent résistent encore et toujours à l’envahisseur. Le premier est Taiwan, cas que nous avons déjà analysé, et le second est le Japon. Il faut dire que pour les entreprises du pays du soleil, le BYOD ne rime qu’avec une seule chose : danger.

Une étude réalisée par Kaspersky en 2013 indiquait ainsi que 93 % des compagnies nipponnes estimaient que le BYOD était un danger pour leurs affaires. Pourtant, nous pourrions croire que le Japon avait toutes les cartes en main pour être un précurseur du BYOD. Très technophiles, les Japonais avaient donc tout entre les mains pour faire du BYOD un succès. Les employés nippons se rebiffent Encore à l’heure actuelle, les tablettes tactiles ont dû mal à percer le marché des entreprises japonaises, ces dernières préférant donc les ordinateurs et les téléphones. Quid du BYOD en Belgique ? Le BYOD est-il trop compliqué ? Loin d’être une nouveauté à ce jour, le BYOD reste pourtant pour de nombreuses compagnies une forme de mystère. Les médias communicants sur le sujet sont pourtant légion, et tous les acteurs ou presque liés au télécom disposent de solution pour aider ces entreprises.

Les EMM (Enterprise Mobility Management) et autre MDM (Mobile Device Management), servant à gérer les terminaux mobiles ainsi que les applications (et bien d’autres choses), sont ainsi accessibles parfois à des prix loin d’être abusifs, ceci afin de faciliter le travail des administrateurs et des DSI. Mais cela n’empêche pas le secteur de se complexifier chaque jour un peu plus. La faute tout d’abord à une multitude d’appareils mobiles : de nouvelles marques voient ainsi le jour tous les mois, notamment en Asie, et ces dernières ne restent pas confinées à leur continent et n’hésitent pas à envahir nos marché. La faute aussi à des systèmes d’exploitation toujours plus variés. Toutefois, ne soyons pas pessimistes pour autant. Qu'est-il advenu du BYOD, et y a-t-il lieu de s'inquiéter ?

BYOD : et le PC de bureau dans tout ça ? Dès les années 1990 Si beaucoup pensent que le BYOD est une activité récente due à l’explosion des ventes de smartphones et de tablettes, il faut néanmoins rappeler que les PC (et les Mac bien sûr) ont constitué les premières actions BYOD (ou BYOPC à l’époque). Si cela concernait énormément d’ordinateurs portables, certaines machines dites « de bureau » (desktop) étaient aussi concernées. Dès les années 90, le lancement par Apple d’un ordinateur tout-en-un comme l’iMac G3 a commencé à lancer ce qui sera plus tard une véritable mode. Plus tard, sont arrivés les mini-PC, ces boitiers ultra petits pouvant se brancher à n’importe quel écran afin d’apporter sa propre machine au travail en somme. Cette possibilité n’a pas disparu pour autant avec la démocratisation des ordinateurs portables ou encore l’émergence des smartphones et des tablettes.

En 2013, nos confrères américains de ZDNet.com se demandaient d’ailleurs si le Mac mini avait le potentiel pour relancer le BYOPC. Comment la NASA gère le BYOD. BYOD : Bluebox s’attaque aux menaces liées aux applications mobiles. Bien que de nombreux utilisateurs considèrent généralement que les applications mobiles qu’ils téléchargent sont sûres, plus de 50 % des développeurs avouent utiliser des « raccourcis ou des solutions temporaires » pour lancer leurs applications plus rapidement. En soumettant ces informations à LeMagIT.fr, vous acceptez de recevoir des emails de TechTarget et de ses partenaires. Vous consentez également à ce que vos données personnelles soient transférées et traitées aux Etats-Unis, et vous confirmez avoir lu et accepté nos Conditions d’utilisation et notre Politique de confidentialité. C’est du moins ce qui ressort d’un sondage réalité par Bluebox Security auprès de 400 développeurs d’applications mobiles et plus de 400 utilisateurs.

Pour Pam Kostka, Pdg de Bluebox, la situation est telle que les entreprises et les utilisateurs pourraient faire comme si leurs terminaux avaient été piratés : « dans le développement des applications mobiles, la sécurité est au mieux pensée après coup ». DG BYOD Customer.