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Sciences et parasciences

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Science and Pseudo-Science. 1.

Science and Pseudo-Science

The purpose of demarcations Demarcations of science from pseudoscience can be made for both theoretical and practical reasons (Mahner 2007, 516). From a theoretical point of view, the demarcation issue is an illuminating perspective that contributes to the philosophy of science in the same way that the study of fallacies contributes to the study of informal logic and rational argumentation.

From a practical point of view, the distinction is important for decision guidance in both private and public life. Since science is our most reliable source of knowledge in a wide variety of areas, we need to distinguish scientific knowledge from its look-alikes. Healthcare: Medical science develops and evaluates treatments according to evidence of their effectiveness. 2.

The oldest known use of the word “pseudoscience” dates from 1796 when the historian James Pettit Andrew referred to alchemy as a “fantastical pseudo-science” (Oxford English Dictionary). 3. 3.1 Non-, un-, and pseudoscience 4. Différencier science et pseudoscience : pas si simple. S’il est un enjeu crucial pour l’épanouissement de nos démocraties, c’est bien celui de la lutte contre la désinformation.

Différencier science et pseudoscience : pas si simple

Quand les Ze de Twitter décident de ne plus se laisser marcher sur les pieds par les SJW. Atlantico.fr : Libération a publié dans sa rubrique anti-fake news Desintox un papier pour expliquer ce qu'était le "Ze" qui accompagne certains pseudonymes d'utilisateurs de Twitter.

Quand les Ze de Twitter décident de ne plus se laisser marcher sur les pieds par les SJW

Les fantômes sont des choses qui arrivent. Comment mieux évaluer l'efficacité des médecines douces. Les mots ont été choisis pour frapper les esprits.

Comment mieux évaluer l'efficacité des médecines douces

En qualifiant les médecines alternatives de « fausses » médecines, les auteurs de la tribune parue le 19 mars dans Le Figaro ont suscité de nombreuses réactions. S'il fallait retenir un seul point consensuel dans ce texte intitulé « Comment faire face à la montée des “fake médecines” ? », ce serait l'un des tout derniers. Les signataires, 124 professionnels de santé, y appellent à « encourager les démarches d’information sur la nature des thérapies alternatives, leurs effets délétères et leur efficacité réelle. » Le moment est venu, en effet, de se donner davantage de moyens pour les évaluer de manière scientifique.

Le magnétisme, les « magnétiseurs » et la science : cherchez l’intrus. De nos jours, la question de la perception des concepts et de la pratique scientifiques par le grand public revêt une importance certaine.

Le magnétisme, les « magnétiseurs » et la science : cherchez l’intrus

Pour un chercheur, s’intéresser à cette question est une expérience enrichissante qui pourra réserver quelques surprises. Militer pour la science, un combat centenaire révélateur des enjeux de pouvoir dans la société. Dans votre ouvrage, vous mettez en lumière l’évolution des combats se réclamant du rationalisme.

Militer pour la science, un combat centenaire révélateur des enjeux de pouvoir dans la société

Les évidences relatives de la tribune de No Fake Science sur l’information scientifique. « La science ne saurait avoir de parti pris. » Une tribune du collectif No Fake Science, signée par 250 scientifiques (ingénieurs, chercheurs, vulgarisateurs, etc.), déplore que la méthode scientifique ait été « oubliée des médias ». Ce texte, publié en France par L’Opinion le 15 juillet, ainsi que par Le Soleil au Canada, Heidi. news en Suisse et La Libre Belgique, a rencontré un écho considérable dans la communauté scientifique ces derniers jours. Les auteurs et autrices du texte estiment que « l’état de nos connaissances [scientifiques] ne saurait être un supermarché dans lequel on pourrait ne choisir que ce qui nous convient et laisser en rayon ce qui contredit nos opinions ».

Pour appuyer leurs dires, ils avancent six sujets sur lesquels existeraient des consensus scientifiques. « Le débat public autour de ces thèmes ne saurait être considéré comme “scientifiquement clos”, reconnaissent les auteurs. Theconversation. L. est une jeune femme de 25 ans, conseillère clientèle en télécommunications depuis deux ans.

theconversation

Fine et élancée, arborant de grands yeux clairs sous une coiffure décalée et colorée, L. s’est apprêtée pour l’occasion et m’accueille dans une petite robe printanière aux motifs fleuris. Homéopathie, anti-vaccins..., le coup de gueule d'un médecin contre « le charlatanisme » Theconversation. À partir du double constat que l’opposition théorie/pratique ne produit pas d’effet de connaissance, mais qu’elle continue de structurer l’ordinaire des échanges relatifs à l’action, le présent texte s’interroge sur deux questions :

theconversation

Une crise de reproductibilité de la science ? Non, c’est bien pire ! Charles Sanders Peirce. Biographie[modifier | modifier le code] Vie[modifier | modifier le code] Vers l'âge de 12 ans, il lit un livre de logique de l'évêque Richard Whately et devient fasciné par les problèmes de logique au point de penser les problèmes à travers elle[2].

Charles Sanders Peirce

À seize ans, il étudie chez lui Lettres sur l'éducation esthétique de l'homme de Friedrich von Schiller, puis Critique de la raison pure de Kant[2]. Theconversation. Science et société : des valeurs sous tension. Nous vous proposons cet article en partenariat avec l’émission de vulgarisation scientifique quotidienne « La Tête au carré », présentée et produite par Mathieu Vidard sur France Inter.

Science et société : des valeurs sous tension

L’auteur de ce texte, Romain Pierronnet, évoquera ses recherches dans l’émission du 30 décembre 2016 – présentée par Daniel Fievet – en compagnie d’Aline Richard, éditrice science et technologie pour The Conversation France. Réécoutez leur intervention dans le podcast de l'émission, à 45’ Dangerosité des vaccins, des OGM, des pesticides… Autant de sujets polémiques qui questionnent le rapport entre connaissance et démocratie. Climat, vaccins, OGM… les Français acceptent la science quand ça leur plaît. Le récent décret du président Trump n’a fait que confirmer les craintes des scientifiques et de la société civile sur sa politique climatique. Son investiture avait d’ailleurs suscité de vives réactions, qui ont notamment pris corps à travers l’organisation d’une Marche pour la science, prévue le 22 avril un peu partout dans le monde, y compris en France.

Les Français sont souvent prompts à pointer du doigt les Américains au sujet de leur relation tumultueuse avec la science, en particulier en ce qui concerne le changement climatique et l’évolution des espèces. Et pour cause, ils sont à peine plus d’une moitié à attribuer le changement climatique aux activités humaines et seulement un tiers à considérer que les êtres vivants ont évolué par sélection naturelle. D’où viennent de tels décalages entre la perception du public et l’opinion de la communauté scientifique ? Déni de science au pays de Descartes. #overlyhonestmethods.