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Internet du futur

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ConversationPrism_Solis_Jess3_OnlineConversations_LARGE.jpg (1300×1660) Comment pouvons-nous veiller à ce que l’internet joue un rôle sain dans la démocratie. A l’occasion d’une conférence au Centre pour les Media Civic du MIT organisée en partenariat avec le Berkman Center pour l’internet et la société (rapporté par l’un de ses étudiants, Nathan Matias), Rebecca MacKinnon (@rmack) est venu présenter son nouveau livre Consent of the Networked : the worldwide struggle for internet freedom (Le consentement des connectés : la lutte mondiale pour la liberté d’internet – voir également le site dédié). Après avoir été le visage de CNN à Pékin et à Tokyo, Rebecca a fondé avec Ethan Zuckermann Global Voices, un réseau international de blogueurs et journalistes tentant de faire un pont entre les langues et les cultures pour faire entendre des informations de régions peu représentées dans les médias internationaux.

Image : Rebecca MacKinnon lors de son intervention au Centre pour les médias civiques du MIT photographiée par Andrew Whitacre. Nous sommes-nous rendus aux « souverains du cyberspace » ? Image : La carte des réseaux sociaux mondiaux. Comment le Web 2.0 change les pratiques en entreprise. Depuis 2009, le CEFRIO (Centre facilitant la recherche et l’innovation dans les organisations) aide les organisations du Québec à prendre le virage numérique. En octobre 2011, en partenariat avec le Ministère québécois du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation, le Centre a rédigé un livre blanc intitulé : « Les usages du Web 2.0 dans les organisations » (PDF, 51p.). Le nouvel aspect du Web : la collaboration La donnée fondamentale à propos du Web 2.0, c’est qu’il s'agit plus que d'un changement de technologie : un nouvel Internet est né, dont les principes fondamentaux ont été modifiés.

Désormais, les sites Internet sont devenus des plateformes de services à l'architecture participative, qui se manifeste ar des commandes aisément accessibles aux usagers (exemple : un bouton « J’aime » de Facebook). De plus, la Toile facilite grandement l’intelligence collective ( le crowdsourcing). Mais le public est-il réellement au rendez-vous?

Absolument ! Logiciel en tant que service. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le logiciel en tant que service ou Software as a Service (SaaS) est un modèle d'exploitation commerciale des logiciels dans lequel ceux-ci sont installés sur des serveurs distants plutôt que sur la machine de l'utilisateur. Les clients ne paient pas de licence d'utilisation pour une version, mais utilisent généralement gratuitement le service en ligne ou payent un abonnement récurrent. Les principales applications actuelles de ce modèle sont : Le logiciel en tant que service (SaaS) est donc la livraison conjointe de moyens, de services et d'expertise qui permettent aux entreprises d'externaliser intégralement un aspect de leur système d'information (messagerie, sécurité…) et de l'assimiler à un coût de fonctionnement plutôt qu'à un investissement.

Le contrat de services est essentiel pour définir le niveau de qualité de service (SLA). Historique[modifier | modifier le code] Avantages et inconvénients[modifier | modifier le code] Commotion, le projet d'un Internet hors de tout contrôle. Web2-Web3. Découvrez et soutenez des projets enthousiasmants. La résolution sur la neutralité du Net adoptée au Parlement européen. La Commission Européenne enterre la neutralité du net. Hervé_le_crosnier. MediasSociaux.fr. Stigmergie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La stigmergie est une méthode de communication indirecte dans un environnement émergent auto-organisé, où les individus communiquent entre eux en modifiant leur environnement.

La stigmergie a d'abord été observée dans la nature — les fourmis communiquent en déposant des phéromones derrière elles, pour que d'autres fourmis puissent suivre la piste jusqu'à la nourriture ou la colonie suivant les besoins, ce qui constitue un système stigmergique. Des phénomènes similaires sont visibles parmi toutes les espèces eusociales comme les termites, qui utilisent des phéromones pour construire de grandes et complexes structures de terre à l'aide d'une simple règle décentralisée.

Chaque termite ramasse un peu de boue autour de lui, y incorporant des phéromones, et la dépose par terre. Histoire[modifier | modifier le code] Le terme fut introduit par le biologiste français Pierre-Paul Grassé en 1959, en référence au comportement des termites. P. Web2. Influences du web et d'Internet sur la société.

Promouvoir une culture des TIC

Think-tanks, laboratoires, revues, associations. Documents historiques de référence. Analyse. Pronétaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pronétaire est un néologisme créé par Joël de Rosnay en 2005 à partir du grec pro, (« devant », « avant », mais aussi « favorable à ») et de l’anglais net (« réseau »), qui a conduit à l’appellation familière en français d’Internet (le « Net »). Le mot « pronétaire » s'emploie comme nom commun et est un clin d'œil au mot « prolétaire ».

L'adjectif est « pronétarien ». L'ensemble des pronétaires constitue le « pronétariat ». Définitions[modifier | modifier le code] Pour de Rosnay, les pronétaires sont : Depuis quelques années, nous assisterions donc, sur un théâtre virtuel, au développement d'une nouvelle lutte des classes entre les « infocapitalistes », qui détiennent les contenus et les réseaux de distribution de masse, et les « pronétaires ». Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail d’Internet.

Réalité augmentée.

Virtualisation du réel

Logiciel gestion de projets. Pdf. KMS. Contenu généré par les utilisateurs : Crowdsourcing. Urbanisation (informatique) L'urbanisation du système d'information d'une entité ou d'une organisation, qui peut être une entreprise ou une administration, est une discipline d’ingénierie informatique consistant à faire évoluer le système d'information (SI) de celle-ci afin qu'il soutienne et accompagne efficacement les missions de ladite organisation et anticipe ses transformations[1].

L'urbanisation du SI ne fait pas table rase du passé mais tient compte de l'existant et permet de mieux envisager les évolutions ou contraintes internes et externes affectant le SI, en s'appuyant le cas échéant sur des opportunités technologiques. Les concepts manipulés s'apparentent à ceux de l'urbanisation de l'habitat humain (organisation des villes, du territoire), concepts qui ont été réutilisés en informatique[2] pour formaliser ou modéliser la réingénierie du système d'information (SI)[3]. L'urbanisation informatique est une des méthodologies d'architecture d'entreprise[5],[4],[1].

Plus particulièrement, l’urbanisation vise : Entrepôt de données. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition et construction[modifier | modifier le code] Un Entrepôt de données est une base de données regroupant une partie ou l'ensemble des données fonctionnelles d'une entreprise. Il entre dans le cadre de l'informatique décisionnelle ; son but est de fournir un ensemble de données servant de référence unique, utilisée pour la prise de décisions dans l'entreprise par le biais de statistiques et de rapports réalisés via des outils de reporting. D'un point de vue technique, il sert surtout à 'délester' les bases de données opérationnelles des requêtes pouvant nuire à leurs performances. D'un point de vue architectural, il existe deux manières de l'appréhender : La définition la plus communément admise est un mélange de ces deux points de vue. Principe de fonctionnement[modifier | modifier le code] Intégration[modifier | modifier le code] Historisation[modifier | modifier le code] Organisation fonctionnelle[modifier | modifier le code]

Intégration d'applications d'entreprise. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir IAE et EAI. Par extension, l'acronyme EAI désigne un système informatique permettant de réaliser cette architecture en implémentant les flux interapplicatifs du système d'information.

Composants[modifier | modifier le code] Une plate-forme IAE est composée de plusieurs éléments : Des connecteurs servent d'interface entre l'IAE et les applications. Ils scrutent les événements de l'application et transmettent les données associées vers l'IAE (ou fournissent à l'application les données provenant de l'IAE). Exemple de fonctionnement[modifier | modifier le code] Pour comprendre le fonctionnement, on peut présenter l'exemple suivant : Une application A de gestion de commande crée un nouvel article (une pompe) et elle veut le rendre disponible à une application B qui suit les anomalies techniques de cet article et à une application C qui affiche l'article sur un portail Web.

Avantages : Inconvénients : Par exemple : Enterprise Service Bus. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir ESB. L'enterprise service bus (ESB) est une technique informatique intergicielle. Son but est avant tout de permettre la communication des applications qui n'ont pas été conçues pour fonctionner ensemble (par exemple deux progiciels de gestion intégrés provenant d'éditeurs différents). Roy Schulte de la société Gartner inc, en fait la description suivante : « L'ESB est une nouvelle architecture qui exploite les services web, les systèmes orientés messages, le routage intelligent et la transformation. L'ESB agit comme une colonne vertébrale légère et omniprésente de l'intégration à travers laquelle les services logiciels et les composants applicatifs circulent ».

L'ESB peut être considérée comme une nouvelle génération d'intégration d'applications d'entreprise (EAI) construite sur des standards comme XML, Java Message Service (JMS) ou encore les services web. Les principes[modifier | modifier le code]