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Pierre

coach sportif indépendant entraîneur de Handball passionné de musique, de cinéma et de voyages

Le jeu vidéo, un coupable idéal. Le jeu vidéo, un coupable idéal – le Plus.

Le jeu vidéo, un coupable idéal

Article initialement publié par Vanessa Lalo dans leplusnouvelobs le 07/07/11 Violence à l’école ou lors d’une soirée arrosée, les jeux vidéo et Internet restent souvent l’unique réponse aux dérapages. Récemment, Nadine Morano a pointé la dangerosité des jeux vidéo pour tenter de comprendre comment une collégienne de 13 ans a pu décéder, à la suite de blessures graves, pour une simple querelle amoureuse. Alain Delon a également pris l’exemple des jeux vidéo, d’Internet et du virtuel pour expliquer comment une arme à feu détenue chez lui a pu être utilisée par des amis de son fils lors d’une soirée arrosée.

Les jeux vidéo rendent-ils donc violent ? « C’est pas moi, c’est l’Autre » Une réponse, maintenant, tout de suite, le coupable idéal est donc l’Autre. L’objet « jeu vidéo » vient comme réponse toute faite et simplifiée là où de nombreuses questions pourraient être soulevées. . « C’est pas ma faute » Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ?

Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer.

Si selon les psychanalystes, aucune technologie ne porte en elle-même d'effet addictogène, l'addiction ne pouvant être générée que par une pratique particulière de l'objet en cause, liée à d'autres facteurs complexes (situation du sujet, environnement familial, contexte social...), la cyberdépendance semble prendre de l'importance. 6 à 8 % des internautes seraient ainsi dans l'usage excessif ou dépendant du réseau informatique. Commentaires sur les contenus de référence. La cyberdépendance - Paroles de femmes.

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la cyberdépendance - Paroles de femmes

"Le portrait type de la personne cyberdépendante a évolué depuis quelques années. Autrefois on pouvait reconnaître majoritairement des hommes âgés de 25 à 35 ans, scolarisés, financièrement capables de se doter d'un ordinateur assez dispendieux et qui passaient un nombre incalculable d'heures devant l'écran de leur appareil. Maintenant, il semble y avoir une certaine parité entre les hommes et les femmes. La démarche des deux sexes, vis-à-vis d'Internet et de son utilisation, est cependant très différente. Psychologue spécialiste des usages numériques et des jeux vidéo (impacts, risques & bénéfices) Commentaire sur les sources informelles. Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La Gazette de Danièle : Des idées et des Arts... Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ?

Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La Gazette de Danièle : Des idées et des Arts...

Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent...

Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La « e-dépendance » et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990.

Les premiers écrits sont nord-américains, Ivan Goldberg, suivi en 1996 par mes écrits français. Yann Leroux : « Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo » Pour l’été, InternetActu vous propose de revenir sur les usages d’internet en compagnie de quelques-uns des chercheurs, sociologues, anthropologues, psychologues qui nous aident à comprendre l’internet.

Yann Leroux : « Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo »

On ne présente plus vraiment Yann Leroux sur internet, parce qu’il est l’un des rares psychanalystes à twitter et à avoir un blog (que nous vous recommandons chaudement). Membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, joueur invétéré, Yann Leroux s’intéresse au virtuel depuis qu’il est tombé dedans. C’est assurément son expérience de joueur qui l’a amené à porter un autre regard sur le jeu. A son exemple, des psychanalystes, et non des moindres, comme Serge Tisseron, sont de plus en plus nombreux à dénoncer l’utilisation de la notion d’addiction appliquée aux jeux vidéos. Cette position, forcément iconoclaste, nous intéresse. InternetActu.net : « Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéos !

Yann Leroux : Oui, le « phénomène » ne repose sur aucun chiffre objectif.