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Le politique

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Untitled. #espionnage#informatique#radiopulsarEspionnage: Orange et la #DGSE main dans la main. Selon un document interne des services secrets techniques britanniques (#GCHQ), l'équivalent de l'Agence nationale de sécurité (NSA) américaine, la DGSE entretient une coopération étroite avec un opérateur de télécommunication français. L'ancienneté de leurs liens, la description des savoir-faire spécifiques de l'entreprise permettent de conclure qu'il s'agit bien de France #Télécom-Orange.

Selon le GCHQ, la DGSE et l'opérateur historique français travaillent ensemble pour améliorer les capacités nationales d'interception sur les réseaux de communication et collaborent pour casser les cryptages de données qui circulent dans les réseaux. France Télécom est un acteur important du système de surveillance en France. Cette collecte libre de tout contrôle, par le biais de l'opérateur français, portant sur des données massives, concerne aussi bien des Français que des étrangers. Georges Orwell | 1984 et Big brother.

Pour lutter contre le racisme, déconstruire les identités. Mon identité n’est pas une blague. Je suis métisse, à moitié kabyle, et ça fait 27 ans qu’on me renvoie très régulièrement mon identité à la gueule. Ça fait 27 ans qu’on en rit, qu’on se moque de mon prénom, de mon nom de famille, de l’accent et de la langue de mes grands-parents, de ma culture, et je ne peux plus le supporter... La chroniqueuse et blogueuse Jack Parker a publié sur son blog un post dans lequel elle raconte son expérience du racisme. Nous le republions ici. Ça y est, à 27 piges, je crois que je commence enfin à arriver à saturation. Je suis métisse, à moitié kabyle, et ça fait 27 ans qu’on me renvoie très régulièrement mon identité à la gueule. Je suis des vôtres et je suis chez moi Aujourd’hui, après une longue bataille, je peux enfin dire que je suis fière de ma culture et de mes racines.

Des réflexions, au premier comme au second degré, je m’en prends toutes les semaines dans la gueule. Arrêtez de venir me taper sur l’épaule quand vous tombez sur un truc vaguement arabisant. Arrêtez de dire «chez vous». La relation numérique de Confiance des Enjeux des Identités. Approche officielle : une conférence de Madame Pellerin. Confiance et identités numériques. Vertus démocratiques de l’Internet. Ce texte est issu d’une présentation à la table ronde « Internet et renouveau démocratique » (avec Daniel Bougnoux et Patrice Flichy), animée par Caroline Broué au forum « Réinventer la démocratie » (organisé par La République des idées à Grenoble le 9 mai 2009). À la question de la place d’Internet dans le renouvellement des figures de la démocratie, beaucoup de réponses très diverses et contradictoires peuvent être apportées.

Car, à considérer Internet comme un tout, à la fois objet technique, média, espace public, support ou instrument politique, on prend le risque de fondre ensemble des choses si différentes que toute généralisation glisse sur cet improbable objet, sans parvenir à le spécifier. Je voudrais cependant prendre ce risque en avançant, sans beaucoup de précautions, six propositions relatives à l’expérience de la démocratie sur Internet. Les six vertus politiques d’Internet 1.

L’exclusion des immobiles 2. La dépolitisation narcissique 3. La fin de la vie privée 4. 5. 6. Les réseaux sociaux et l’échange entre l’homme politique et les internautes : le cas de Facebook après les élections présidentielles en France. 1Facebook fait partie d’un nombre croissant de réseaux sociaux sur Internet qui s’emploient à favoriser l’échange entre gouvernants et gouvernés.

Il permet d’entériner l’idée, exprimée dès 2000, selon laquelle l’Internet contrarie les efforts accomplis au cours des trente dernières années par les grands partis pour centraliser leur fonctionnement ainsi que pour unifier et professionnaliser leur communication (Vedel 2000 : 28). 2C’est en ce sens que Vedel (ibid. : 30) prédisait que « les réseaux électroniques permettraient de transformer les principes et les mécanismes de la représentation politique dans le sens d’une démocratie directe ». 1 Je l’entends ici dans le sens qui lui est attribué par Fairclough (1992) à savoir, que la communic (...) 4Facebook fait partie des dispositifs de réseaux sociaux comme MySpace, YouTube, Flickr, etc. offerts par Internet. 5Ils servent à informer le citoyen et l’interpeller (Clark 2010 : 4). 5 Pour en apprendre plus, cf. Yanoshevsky 2009. 4.1. 4.2. 4.3. Internet : un bienfait ou un danger pour la démocratie ?  - Médias et démocratie Découverte des institutions.

<p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation. </p> Quelques dates clés 1969 : Création par le Département américain de la défense d’un réseau reliant plusieurs gros centres de calcul et des systèmes radio et satellites : Arpanet. Ce serait l’ancêtre d’Internet. Années 1980 : Arpanet voit son intérêt stratégique faiblir avec la fin de la Guerre froide. 1989 : Tim Berners Lee, chercheur du CERN (Centre européen pour la recherche nucléaire) à Genève met au point un nouveau mode de communication permettant de faire des liens hypertexte. 1994-1995 : Sortie de Netscape Navigator et Internet Explorer, les deux premiers navigateurs grand public.

Fin novembre 1999 : Manifestation anti-mondialisation à Seattle. 20 novembre 2000 : Condamnation de Yahoo ! 2004-2005 : Apparition de Facebook et YouTube. 2007 : Lancement de l’iPhone d’Apple. Quelques pistes de réflexion Internet peut favoriser le développement de la démocratie Exemple concret. « Avec internet, les Etats prennent le contrôle des individus. Julian Assange, fondateur de Wikileaks. Photo archives AFP Vous dénoncez les menaces qui pèsent sur nos libertés avec internet. Pourquoi lancer maintenant cette guerre invisible contre ce nouveau totalitarisme ? « Le totalitarisme d’internet existait déjà, mais la surveillance s’est accrue car son coût diminue de moitié tous les 18 mois. Le phénomène devient extrêmement inquiétant. La surveillance et la sécurité se jouent désormais à l’échelle transnationale. » Pourquoi cette situation ?

« La mutation ne s’est pas opérée au sein d’une seule nation. Ce système peut-il aller plus loin encore ? « La recherche-développement concernant la surveillance de masse est arrivée à un niveau de performance plafond. Peut-on déjouer cette surveillance totale ? « Les positions changent. Wikileaks va-t-il devenir un parti politique ? « C’est officiellement un parti depuis le 19 février. C’est une réponse au défi du totalitarisme technologique ou une issue possible à votre situation personnelle ? Une liberté sous surveillance électronique. Panoptique.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Schéma représentant le principe du panoptique. « La morale réformée, la santé préservée, l'industrie revigorée, l'instruction diffusée, les charges publiques allégées, l'économie fortifiée — le nœud gordien des lois sur les pauvres non pas tranché, mais dénoué — tout cela par une simple idée architecturale. » — Jeremy Bentham, Le Panoptique, 1780. (L'ouvrage, de 56 pages, est traduit de l'anglais et imprimé par ordre de l'Assemblée législative en 1791[1].) Le panoptique selon Bentham[modifier | modifier le code] L'idée de Bentham est inspirée par des plans d'usine mis au point pour une surveillance et une coordination efficace des ouvriers.

Bentham lui-même souhaitait une mise en abyme de la surveillance, les surveillants eux-mêmes devant être surveillés par des surveillants venus de l'extérieur, afin de limiter la maltraitance des détenus et les abus de pouvoir : Histoire[modifier | modifier le code] Selon Neil Davie,