background preloader

Réseaux sociaux recherche

Facebook Twitter

Dossier : Les usages sociaux du numérique. Internet, Web 2.0, Web mobile, réseaux sociaux, médias sociaux… Ces mots que l’on imagine volontiers interconnectés mais qui ne désignent pas les mêmes dispositifs socio-techniques font désormais partie du vocabulaire courant non seulement des individus et des groupes, mais aussi des sciences humaines et sociales.

Dossier : Les usages sociaux du numérique

Les réseaux sociaux pour les chercheurs. En 2010, des chercheurs ont prétendu que des bactéries (originaires d'un lac ou le taux d'Arsenic était supérieur à la normale) pouvaient incorporer de l'Arsenic dans leur ADN à la place du phosphore que l'on pensait nécessaire à la constitution de n'importe quel ADN.

Les réseaux sociaux pour les chercheurs

Ces résultats ont connu un grand écho dans le monde scientifique et au-delà : pour la première fois, l'arsenic mieux connu du grand public comme un poison très efficace était considéré comme un des composants de la vie. L'arsenic étant présent dans l'espace, la possibilité d'une vie extra-terrestre était démontrée. Science a édité le résultat de ces recherches. Les pairs se sont prononcés en faveur des conclusions de l'article mais ce dernier n'a pas été publié avant le jour d'une conférence de la NASA sur la vie extra-terrestre.

La controverse a été close quand les tests en question ayant été réalisés, il n'a plus été possible de soutenir qu'un ADN pouvait incorporer de l'arsenic à la place du phosphore. Humanités numériques et Réseaux sociaux. Ou comment l’Histoire est analysée par les réseaux sociaux.

Humanités numériques et Réseaux sociaux

De quoi s’agit-il ? L’anthropologie computationnelle est cette branche des “humanités numériques” qui cherche à comprendre la mentalité des peuples en utilisant les ressources de l’ordinateur et du Net.[1]. Cette discipline profite de la puissance des ordinateurs pour acquérir une nouvelle dimension et ouvrir la voie à de nouveaux domaines de recherche. Une méthode de « ranking » Les chercheurs du MIT ont ainsi utilisé Wikipédia de quatre nationalités pour établir quels étaient, pour chaque « Humanité», les personnages les plus importants puis ils ont ensuite cherché à créer un “réseau social” de ces personnes en analysant les liens qui pointaient dans chaque page vers un de leurs contemporains.

L’utilisation d’un algorithme de type « page rank » a permis de classer les grands “influenceurs”, témoignage de la dynamique sociale existante. Le projet Pantheon [2] L’identité numérique pour construire l’autorité et la recommandation sur Twitter ? Dans un récent article, André Gunthert met en avant que : « Le choix de consulter ou pas un contenu s’effectue essentiellement à partir du filtre de l’identité du médiateur et de ce qu’on connaît de ses goûts, de ses compétences ou de ses habitudes. ».

L’identité numérique pour construire l’autorité et la recommandation sur Twitter ?

Cette idée que « l’identité numérique » participe à de nouvelles formes de médiation sur le web (plus précisément « d’infomédiation sociale ») est au centre de mes recherches menées depuis quelques temps. En voici les contours… A l’occasion de la mise en ligne de mon papier intitulé Vers une approche instrumentale de l’identité numérique : les attributs identitaires comme structuration de l’environnement informationnel ? Je vais revenir en quelques lignes sur les idées présentées.

Notez que ce papier a été écrit fin 2012 pour une publication en 2014 (le temps de la recherche l’édition en somme) et que par la suite, notamment dans ma thèse et dans de plus récents papiers, j’ai affiné mon approche des « agents-facilitateurs ». Panorama des médias sociaux 2015. If you are looking for the english version of this article, you will find it here: Social Media Landscape 2015.

Panorama des médias sociaux 2015

Comme tous les ans, je vous propose une nouvelle version de mon panorama des médias sociaux, une habitude démarrée en 2008 et qui se prolonge depuis tous les ans : 2009, 2011, 2012, 2013 et 2014. Où en est-on des réseaux sociaux académiques ? Alors que l’utilisation des réseaux sociaux de chercheurs est toujours croissante, que les éditeurs s’y intéressent de plus en plus près et que les formations se développent, il nous semblait intéressant de refaire un point sur la question, un peu plus d’un an après un premier article « Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques ».

Où en est-on des réseaux sociaux académiques ?

Où l’on parlera de réseaux sociaux académiques bien sûr, mais aussi de pratiques d’information des chercheurs, de publication scientifique et de repositionnement des éditeurs, d’archives ouvertes ou encore des professionnels de l’information… Les réseaux sociaux numériques pour chercheurs : quelles pratiques, quels enjeux ? Méthodologie Digital social networks for researchers: What practices, what challenges?

Les réseaux sociaux numériques pour chercheurs : quelles pratiques, quels enjeux ?

C. Arènes (conservateur des bibliothèques) École nationale supérieure des sciences de l’information et des bibliothèques, 17, boulevard du 11 Novembre 1918, 69100 Villeurbanne, France Received 16 March 2015, Accepted 22 April 2015, Available online 1 June 2015 Choose an option to locate/access this article: Check if you have access through your login credentials or your institution Check access. Twitter : un an après. Le 3 juin dernier, je (ne) fêtais (pas) ma première année passée sur Twitter.

Twitter : un an après

À cette occasion, comme beaucoup, j’ai eu la curiosité de retrouver le premier de mes tweets. À l’époque, j’y signalais la parution récente de ma traduction d’une nouvelle de Virginia Woolf, les « Jardins de Kew », dans un numéro estival de la revue poético-académique, Le Pan des Muses. Aujourd’hui, un an et deux mois plus tard, avec 10 049 tweets au compteur, je crois que le moment est venu de faire le bilan de cette année passée sur la twittosphère académique. L’année dernière, je ne savais rien de Twitter. Les médias sociaux à l’heure des identités numériques : quels enjeux pour la recherche scientifique ? Le lundi 4 mars 2013, l’équipe du séminaire « les Aspects Concrets de la Thèse » invitait les sociologues Antonio Casilli et Karim Hammou à venir discuter de la place qu’occupent actuellement les médias sociaux dans le métier de chercheur, des possibilités qu’ouvrent ces nouveaux outils mais aussi des pièges qu’ils peuvent receler.

Les médias sociaux à l’heure des identités numériques : quels enjeux pour la recherche scientifique ?

La séance donna lieu à un état des lieux des pratiques, à un partage d’expérience et à une réflexion théorique sur les enjeux des médias sociaux pour la recherche. Vous pouvez écouter le podcast de la séance ci-dessous (si rien ne s’affiche, rafraîchissez la page en appuyant sur F5 ou cliquez ICI) Médias sociaux : de quoi parle-t-on ?

10.12.12 : Journée d'étude Information Scientifique et Technique, Les enjeux des réseaux sociaux pour la communauté scientifique, Montpellier, Agropolis International, France. Le Top 20 des réseaux sociaux scientifiques. Pourquoi s’arrêter en – six – bon chemin, quand le succès est au rendez-vous ?

Le Top 20 des réseaux sociaux scientifiques

Le Grand Mix organise le 6e apéro Sciences & Web au Polly Maggoo ce jeudi 16 juin. Rencontres, bonne humeur et échanges féconds : pas de changement de ce côté-là, mais une nouvelle thématique qui ravira les amateurs de sciences 2.0 : les réseaux scientifiques. L’occasion de présenter un petit top 20 de ces réseaux de passionnés. Il ne sera pas question ici de réaliser un classement ni d’être exhaustif, mais simplement de présenter des communautés surprenantes et impliquées, réunies autour de la culture scientifique, de la recherche et de l’innovation. Tiens, tiens, ça me rappelle quelque chose… ;o) 1. Jade Le Maître : « Les réseaux sociaux sont un outil de veille et de collaboration en sciences » - Site de scienceetpartage !

Jade Le Maître est ingénieure, passionnée d’innovation et spécialiste des réseaux sociaux. Elle rêve d‘interfaces entre le web et les différents acteurs des sciences – laboratoires, instituts, universités, entreprises. Elle a été « community manager » à l’université Pierre et Marie Curie à Paris puis chez Provaltis, une agence de communication scientifique. Elle collabore à de nombreux projets liés au partage des sciences, comme Scientibox. A suivre sur twitter (@aratta) et sur www.jadelemaitre.fr. Réseaux sociaux et recherche. Communiquer autrement. Raconter la science ensemble. Compte-rendu de la table ronde s’étant déroulée le 20 novembre à l’INED, sur les réseaux sociaux dans la recherche publique. Table ronde sur les réseaux sociaux dans la Recherche publique : la présence, l’organisation, la stratégie (objectifs, cibles, approche éditoriale), les outils et l’efficacité.Quelles collaborations possibles entre établissements publics de recherche pour optimiser la diffusion ?

Une table-ronde très intéressante et animée, mais à mon avis beaucoup trop centrée sur les outils organisationnels du CM, et pas assez sur une stratégie commune à adopter pour collaborer efficacement sur les réseaux. Une prochaine fois, peut-être ? [<a href="//storify.com/Aratta/rsrecherche" target="_blank">View the story "Réseaux sociaux et recherche. Communiquer autrement. Twitter’s Role In Science Publication And Communication. Les réseaux sociaux scientifiques, la visibilité et l’open access. J’ai participé, le 19 novembre, à la journée d’étude des correspondants IST (CorIST) de l’InSHS. Je n’ai pu assister qu’à une partie de la journée mais ce que j’ai pu voir, notamment la table-ronde sur Wikipédia comme outil de la valorisation de la recherche, était intéressant et fera j’espère l’objet d’un compte rendu. On trouvera un cadrage des thèmes traités ici, ainsi qu’un compte-rendu de chaque intervention ici. Pour une utilisation critique des réseaux sociaux académiques.

14 février 2014 L’information n’a pas encore reçu beaucoup d’échos en France : et pourtant cela fait plusieurs mois maintenant qu’Elsevier demande régulièrement le retrait d’articles déposés par leurs auteurs sur le réseau social Academia. Si on le regarde sous l’angle de l’open access, cet exemple souligne incontestablement l’« injustice fondamentale de l’actuel écosystème de la communication académique » (John Dupuis). Mais il met également en lumière l’arrivée à maturité des réseaux sociaux académiques : à l’heure où Elsevier peine à se créer une place sur les outils 2.0 (échec de 2collab en 2011, rachat de Mendeley en 2013), il n’est pas étonnant que celui-ci attaque les nouveaux challengers qui se développent auprès des communautés académiques, après avoir laissé faire.

Réseaux sociaux académiques ? Ces réseaux se développent progressivement dans le paysage académique français. Parmi tous ces réseaux, trois sortent plus particulièrement du lot : De quelques enjeux de ces réseaux. Les réseaux sociaux scientifiques : visibilité et open access dans Arabesques. Protection et propriété des données sur Academia.edu et ResearchGate. Il est extrêmement facile de s’inscrire sur Academia ou ResearchGate. Pressés d’accéder aux PDF d’articles qu’une recherche sur Google a fait miroiter, on procède en quelques clics à l’inscription qui donne alors accès à une incroyable base de donnée constituée par les documents scientifiques déposés par les inscrits sur leur profil.

Mais, lors de cette inscription simple et rapide, qui prête vraiment attention aux conditions générales d’utilisation que l’on s’empresse d’approuver en cochant la case requise ? Pas moi en tout cas, ni aucun des collègues à qui j’ai posé la question. Sur la forme, le règlement d’Academia est relativement long, très détaillé et divisé en trois parties : “Copyright” (complété par une “Foire Aux Questions” (FAQ)), “Terms” et “Privacy”. Celui de ResearchGate est plus court et comporte seulement deux parties : “Terms” et “Privacy”, ce dernier étant rédigé sous la forme d’une FAQ.

20 références bibliographiques pour démystifier l. Quelles sociabilités derrière les références bibliographiques ? Citations et relations sociales. 1Les études sociales des sciences ont, depuis quelques temps déjà, travaillé la question de la sociabilité scientifique, notamment d’un point de vue historique. Outre l’importance des relations interpersonnelles dans le développement de spécialités ou de modes d’organisation de la recherche, on a montré comment des nouveaux lieux de sociabilités (civilités) entre savants ont été favorables à l’émergence de formes de démonstrations scientifiques (Licoppe 1996).

MyScienceWork : Réseau social + Open Access. Les réseaux sociaux scientifiques : différences d’approches suivant les disciplines -News - MyScienceWork. Les Réseaux sociaux pour Scientifiques -News - MyScienceWork. Les nouveaux médias et réseaux sociaux améliorent la connectivité des chercheurs, ingénieurs, doctorants, post-doctorants et étudiants. ResearchGate. Academia.edu : le réseau social scientifique préféré des SHS. Les réseaux sociaux sur internet ont connu ces dernières années une fréquentation de plus en plus importante, tandis que se développaient également les “réseaux sociaux scientifiques”, plus spécifiquement dirigés vers le monde de la recherche.

Le but premier de ces réseaux est d’aider les chercheurs à faire connaître leurs travaux à une communauté scientifique plus large. Dans ce domaine, ResearchGate et Academia.edu sont les réseaux les plus importants, au coude à coude pour le nombre d’inscrits : ResearchGate affiche sur sa page d’accueil 2,7 millions (à la date de rédaction de ce billet) et Academia a annoncé sur son blog au mois de janvier dernier avoir dépassé les 2 millions. Enquête : L'usage des réseaux sociaux par les scientifiques. Quel réseau social pour les chercheurs en histoire ? Le Top 20 des réseaux sociaux scientifiques. Participer à Wikipédia en tant que chercheur : enjeux et mode d’emploi. SocialNetworkingForScientists - home. Elgg pour bâtir un réseau social de chercheurs : pourquoi ? comment ? Réseaux sociaux scientifiques.

Réseaux sociaux scientifiques. Réseaux sociaux : pratiques et enjeux dans la recherche et la carri... Les réseaux sociaux pour les scientifiques.