background preloader

Les clones dans la littérature et au cinéma

Facebook Twitter

Never Let Me Go (2010 film) Prior to the book's publication, Garland had approached the film's producers—Andrew Macdonald and Andrew Reich—about a possible film, and wrote a 96-page script.

Never Let Me Go (2010 film)

Never let me go de Mark Romanek. Avec Spike Jonze, David Fincher et Michel Gondry, Mark Romanek faisait partie des réalisateurs de clips les plus admirés et sollicités dans les années 90.

Never let me go de Mark Romanek

Il a notamment travaillé avec Michael Jackson, Lenny Kravitz, Mick Jagger, Beck ou encore Sonic Youth et les Red Hot Chili Peppers. Après un premier long-métrage en 1985 (Static), il réalise son second, Photo Obsession, seulement dix sept ans plus tard (2002). Avec ce denier film, il dirige Robin Williams à contre-emploi, lui offrant à jouer un personnage sombre et inquiétant.

Never Let Me Go de Mark Romanek. Never Let Me Go. Never let me go - Auprès de moi toujours - Les petits papiers de Romane. Dimanche 13 mars 7 13 /03 /Mars 16:19 Je prends enfin le temps en ce dimanche plein de grisaille de vous parler du dernier combo livre-adaptation ciné auquel je me suis intéressée.

Never let me go - Auprès de moi toujours - Les petits papiers de Romane

Je crois ne pas me tromper en disant que toujours, j'ai préféré les livres aux adaptations cinématographiques, et cela peu importe la version vue ou lue en premier lieu. Du Seigneur des Anneaux, où j'avoue avoir vu le premier film avant de lire le premier tome, jusqu'au Liseur et La nostalgie de l'ange, les films me paraissent toujours bien ternes et pas toujours très bien adaptés face aux romans... Auprès de moi toujours ne fait pas exception. J'ai commencé par voir la bande-annonce du film, il y a qq semaines. Le roman, d'abord. "Je m'appelle Kathy H. Voilà la première phrase de ce livre. Lorsque je dis d'un ton égal, c'est effectivement ce qui m'a marqué dès le début. C'est comme cela que nous sont distillées d'infimes informations sur la situation, sur l'identité et la fonction des personnages.

Never Let Me Go. Kazuo Ishiguro se décrit lui-même comme un « écrivain japonais britannique », double identité qui se traduit par une hybridation de ces cultures, dans des œuvres toujours profondément nostalgiques et épurées.

Never Let Me Go

Déjà adapté au cinéma en 1993 avec le brillant Les Vestiges du jour, de James Ivory, c'est au tour de Never Let Me Go (2005, Auprès de moi toujours en français) d'être cinématographié. La complexité narrative : le défit de l'adaptation cinématographique Chronique de la vie de Kathy H., Tommy D. et Ruth G., trois orphelins sans avenir élevés dans le but de donner leurs organes, Never Let Me Go explore les mécanismes de la mémoire et l’ambiguïté des rapports humains. Louvoyant toujours au seuil du fantastique sans jamais y entrer, Ishiguro livre avec ce roman une structure narrative du détail innovante et une surprenante réflexion sur le clonage humain. Sans contrainte de style ni de temps, il s'est appliqué à établir un récit raconté à la première personne. Une controverse survolée. Famillechrétienne.frFilms - Regard sur la science-fiction (3) En marge des débats parlementaires sur la bioéthique, deux films viennent nourrir la réflexion.

Tandis qu'une société clone des êtres humains pour prélever des organes, une autre traque les mauvais payeurs auxquels elle a vendu un cœur ou des poumons artificiels. Époque oblige, la science-fiction de ces dernières années s'intéresse de plus en plus aux thématiques liées à l'utilisation des organes humains, notamment celle de leur commercialisation, avec la question fondamentale sous-tendue : celle du respect de la vie humaine. CINÉMA. "Never Let Me Go" À l'heure où le débat sur les êtres humains génétiquement sélectionnés (les "bébés médicaments") ne fait que débuter pour ouvrir des horizons éthiques inconnus et des lendemains incertains, le film du réalisateur anglo-américain Mark Romanek tombe à point nommé.

CINÉMA. "Never Let Me Go"

Mais "Never Let Me Go" est surtout l'adaptation d'un roman du même nom (en VF "Auprès de moi toujours) de l'écrivain britannique Kazuo Ishiguro. Écrivain subtil des vies obscures et des destins ambigüs, l'oeuvre de cet orfèvre littéraire n'est pas des plus aisées à transcrire à l'écran (exception faite du très réussi Les Vestiges du Jour de James Ivory). Kathy, Ruth et Tommy ont grandi depuis les années 60 dans un établissement clô où il était impossible de franchir librement les murs extérieurs. Book review: Never Let Me Go. : Adventures in Ethics and Science. Last May, on my way back from a mini-conference in Stockholm, I had a long layover in Munich.

Book review: Never Let Me Go. : Adventures in Ethics and Science

Since major airports are now essentially shopping malls with parking for commercial jets, I used a little bit of that time to wander through a pretty impressive airport book store, where I picked up a copy of Never Let Me Go by Kazuo Ishiguro. I had heard a bit about it (maybe in reviews on the radio, if memory serves), and knew that it had some connection to ethical issues around biomedical technologies that seem not to be too far off from where we are now. Because I was taking a stab at using my layover time wisely, though, I spent the hours at the airport reading a couple of other books I had promised to review for journals.

Then, once on the plane, I slept. Never let me clone?: Countering an ethical argument against the reproductive cloning of humans. The Cathoholic: Bioethics. Book of January: "Never Let Me Go" by. The Hastings Center - Biopower and the Liberationist Romance. Women's Bioethics Project. Review of Kazuo Ishiguro, Never Let Me Go.