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Biologie / chimie

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Génétique

Comportements des animaux. Formes du vivant. Vie aquatique. Umwelt. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Selon Jakob von Uexküll et Thomas A. Sebeok, l'Umwelt (pluriel : Umwelten) est l’environnement sensoriel propre à une espèce ou à un individu, mieux rendu en français par l'expression de « monde propre »[réf. nécessaire][1]. Ce concept est à la croisée des chemins entre la biologie, la communication et la sémiotique chez l'animal humain et non humain[2].

La théorie de von Uexküll explique que des organismes, bien que partageant le même environnement peuvent néanmoins avoir l'expérience de différents « mondes propres ». Ainsi, une abeille qui partage le même environnement qu'une chauve-souris, ne vivra pas pour autant dans le même monde sensoriel. L'abeille étant sensible à la lumière polarisée et la chauve-souris aux ondes issues de l'écholocation (choses leur étant réciproquement inaccessibles) auront une perception différente de leur univers au travers du prisme de leurs sens propres.

Description[modifier | modifier le code] Autopoiesis. 3D representation of a living cell during the process of mitosis, example of an autopoietic system. The original definition can be found in Autopoiesis and Cognition: the Realization of the Living (1st edition 1973, 2nd 1980): Page 78: - An autopoietic machine is a machine organized (defined as a unity) as a network of processes of production (transformation and destruction) of components which: (i) through their interactions and transformations continuously regenerate and realize the network of processes (relations) that produced them; and (ii) constitute it (the machine) as a concrete unity in space in which they (the components) exist by specifying the topological domain of its realization as such a network. [1] Page 89:- [...] the space defined by an autopoietic system is self-contained and cannot be described by using dimensions that define another space.

Meaning[edit] Criticism[edit] See also[edit] Notes and references[edit] Further reading[edit] External links[edit] The Intelligent Plant. In 1973, a book claiming that plants were sentient beings that feel emotions, prefer classical music to rock and roll, and can respond to the unspoken thoughts of humans hundreds of miles away landed on the New York Times best-seller list for nonfiction. “The Secret Life of Plants,” by Peter Tompkins and Christopher Bird, presented a beguiling mashup of legitimate plant science, quack experiments, and mystical nature worship that captured the public imagination at a time when New Age thinking was seeping into the mainstream.

The most memorable passages described the experiments of a former C.I.A. polygraph expert named Cleve Backster, who, in 1966, on a whim, hooked up a galvanometer to the leaf of a dracaena, a houseplant that he kept in his office. To his astonishment, Backster found that simply by imagining the dracaena being set on fire he could make it rouse the needle of the polygraph machine, registering a surge of electrical activity suggesting that the plant felt stress. Découverte exceptionnelle à l'université de Perpignan sur les transferts horizontaux du génome végétal. Sciences L'université de Perpignan fait la "Une" de la presse scientifique internationale et en particulier, le laboratoire du génome et du développement des plantes. L'équipe de chercheurs a mis au point un programme informatique qui a permis de réaliser une découverte sans précèdent sur le génome. Par Jean-Marc Huguenin Publié le 18/02/2014 | 08:20 © F3LR Une équipe de chercheurs de l'université de Perpignan a fait une découverte de la plus haute importance.

Olivier Panaud et son équipe de l'université de Perpignan peuvent être fiers car leur dernière recherche sur la connaissance de l'évolution des génomes dans le monde végétal vient d'être reconnue au niveau mondial. Dans le monde végétal, en effet, le patrimoine génétique peut se réaliser par ce qu'on appelle un transfert horizontal, c'est-à-dire autrement que par voie sexuée, à la différence de l'homme. Importante découverte scientifique à l'université de Perpignan. Les Rendez-vous du Futur avec Joël de Rosnay. Métabolisme des animaux. Dans les années 1940, le biologiste suisse Max Kleiber observa que le métabolisme de la plupart des animaux était corrélé à leur masse. Le métabolisme est la dépense énergétique de base (par unité de temps, il s’agit donc d’une puissance) nécessaire à un être vivant au repos pour survivre dans ses conditions habituelles d’habitat.

Production de chaleur par jour (taux de métabolisme) pour un certain nombre d’animaux. Diagramme publié par Max Kleiber en 1947 ( « Body size and metabolic rate ». Physiological Reviews 27, pp. 511–541.) Tiré de wikipédia. Kleiber a ainsi observé que la puissance P requise pour la survie d’un animal était proportionnelle à sa masse M à la puissance 3/4 : P = k\cdot M^{3/4}, où k est une constante de proportionnalité. La constante de proportionnalité dépend du métabolisme de la « classe » d’animaux considérés. On peut s’amuser à vérifier que cette loi est vérifiée pour l’homme : avec M = 70 kg, on obtient une puissance de 100 W. On a : Sexualité, plaisir et désir féminin dans La tête au Carré le 5 avril 2012 by franceinter. Bio-engineering. Calcul de vos besoins journaliers en calories.

En 1986, un groupe d'experts de la FAO (Food and Agriculture Organization) a défini le besoin en énergie d'un individu comme "la quantité d'énergie nécessaire pour compenser ses dépenses énergétiques et assurer une taille et une composition corporelle compatibles avec le maintien à long terme d'une bonne santé et une activité physique adaptée au contexte économique et social" (Buyckx et al., 1996). Le groupe d'experts a également décidé que les besoins en énergie seraient déterminés à partir des dépenses énergétiques estimées, plutôt qu'à partir des résultats d'enquêtes alimentaires. En effet, de nombreuses études ont montré que les apports alimentaires sont sous-évalués de 10 à 30 % selon les catégories de la population. Chaque individu possède une morphologie qui lui est propre en fonction de la structure de son squelette; celui-ci peut être très fin, gracile, moyen, fort ou très fort.

DEJ = DER x NAP La DER ou Dépense Energétique de Repos ou encore Métabolisme de Base. Science et vie. Un chemin imprimé en 3D pour la régénération des nerfs, implanté chez un rat, lui a permis de récupérer la capacité de marcher après 10 à 12 semaines. – Ph. © Michael McAlpine / université du Minnesota / College of Science and Engineering Voici une technologie révolutionnaire ! De petits implants construits sur mesure grâce à l’impression 3D permettent aux nerfs aux formes les plus complexes de repousser après une lésion… et ont permis à des rats de laboratoire paraplégiques de recommencer à marcher !

Mise au point par des ingénieurs et neurobiologistes américains (universités du Minnesota, du Maryland, Princeton, John Hopkins et Virginia Tech), cette technique fait appel au scanner 3D, à l’imprimante 3D et à la biologie moléculaire. Des tuteurs taillés sur mesure et imprimés en 3D pour guider la croissance des nerfs La structure du nerf sciatique d’un rat a été obtenue à l’aide d’un scanner 3D – Ph. © Michael McAlpine, université du Minnesota / College of Science and Engineering.