Pénurie de puces, retour de manivelles. Il faut croire que j’ai un bras plus court que l’autre. Je me suis fait la réflexion l’autre jour en allant en Bourgogne au volant d'une voiture de location. Un trajet de deux heures et demie, rythmé par des bips incessants à chaque fois que mon véhicule mordait légèrement sur le bas-côté ou sur la bande blanche du milieu, c’est-à-dire à peu près tous les deux kilomètres. Je ne doute pas qu’un tel équipement soit utile en cas d’endormissement, mais quand on est pleinement éveillé et qu’on n’a pas la moindre idée de comment éteindre ce p… de machin, c’est assez énervant ! Les automobiles sont bourrées d’électronique et c’est plutôt une bonne chose en matière de sécurité routière. L’aide au freinage d’urgence, le régulateur de vitesse, le système ABS, la caméra de recul et le détecteur d’obstacles sont autant d’outils qui facilitent et sécurisent la conduite.
Mais la technologie va aussi se loger dans des fonctionnalités beaucoup moins essentielles. Pourquoi une telle pénurie ? « L’IA ne sait pas transformer des données débiles en résultats intelligents » Mais la bro-culture n’est pas la seule responsable des biais entretenus par les dispositifs technologiques, loin de là. Le cas d’école de Tay, le bot « intelligent » devenu nazi, en est la preuve. Quand, en 2016, Microsoft lance Tay.ai, un robot Twitter doté d’une IA, programmé pour imiter et interagir avec les membres du réseau social, il ne faut pas plus de quelques heures à l’IA pour déraper, et tenir des propos racistes et misogynes. Explication : l’IA n’a fait que suivre les internautes l’incitant à tenir de tels propos. Le but même de toute intelligence artificielle est de copier l’humain, note le directeur des rédactions d’Usbek & Rica Thierry Keller, en rappelant la définition de l’IA dans le Larousse, à savoir : « L’ensemble des théories et des techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l’intelligence humaine ».
Découverte - Liberté et réseaux sociaux, la question philo avec Alexandre Jollien. Les réseaux sociaux doivent-ils être des éditeurs ? Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. Réseaux sociaux : l’autre pays de la science. Le sachiez-vous ? Au cours de la première vague épidémique, au printemps… le British Medical Journal a conduit une enquête sur la pertinence et la qualité des vidéos YouTube consacrées à la maladie.
Figurez-vous que sur le panel de vidéos sélectionnées, 1 sur 4 contenaient des informations non-factuelles, et trompeuses, pour un total de plus de 62 millions de vues. Heureusement, les réseaux sociaux ne sont pas qu’une route épineuse qui mène vers l’enfer de la désinformation. La crise sanitaire a donné une nouvelle ampleur à des vulgarisatrices ou teurs qui ont effectué un travail sérieux et sourcé, et qui ont vu leur nombre d’abonné s’envoler. Alors : les réseaux sociaux : enfer ou paradis de l’information scientifique ? Réseaux sociaux, l’autre pays de la science. C’est le programme influencé qui est le nôtre pour l’heure qui vient, bienvenue dans La Méthode scientifique. Le reportage du jour Écouter 6 min LA_METHODE_SCIENTIFIQUE - Reportage Vincent Rey, Dirtybiology Les bases documentaires. Les réseaux sociaux fixent-ils l'agenda du débat ? L’affaire Mila, du nom de cette jeune fille de seize ans menacée de mort pour avoir attaqué violemment la religion musulmane dans un échange sur Instagram, a montré comment médias traditionnels et réseaux sociaux interagissaient à grande vitesse pour créer un scandale de première ampleur dont le dernier rebond a eu lieu ce matin avec la publication dans le Dauphiné Libéré d’un entretien avec le Président de la République qui y réaffirme le droit au blasphème et à la critique de la religion.
Cet échauffement médiatique et politique renverse une hiérarchie traditionnelle des médias qui s’étaient donnés pour but d’éclairer le débat démocratique en en choisissant les termes et en ne réagissant pas immédiatement à tous les scandales. Les réseaux sociaux choisissent-ils désormais le rythme et l'ampleur de nos débats ? Fixer l'agenda n'est pas cadrer le débat Un contre-espace public La cure de silence ou la possibilité de s'extraire des réseaux sociaux. Peut-on militer sur les réseaux sociaux ? Ceux qui fréquentent assidûment les réseaux sociaux ont pu remarquer une récente vague de portraits de femmes en noir et blanc. En s’arrêtant sur l’une de ces images, postées sur Instagram, Twitter ou Facebook, on découvre deux hashtags : #ChallengeAccepted et #WomenSupportingWomen.
L’idée derrière ce “challenge” : promouvoir la sororité et l’empowerment féminin - que l’on a essayé de traduire par “empouvoirement”. Loin de s’enthousiasmer pour cette initiative, Taylor Lorenz, journaliste au New York Times, critique cette forme de performative activism - en français “activisme performatif" - qui n’accomplirait rien, mis à part la promotion de soi. Pourtant cet “activisme performatif” ne doit pas occulter le très large spectre des pratiques militantes sur les réseaux sociaux : le hashtag #MeToo a ainsi provoqué un mouvement planétaire, et les groupes Facebook furent l’autre lieu de rendez-vous du mouvement des Gilets jaunes. Pour aller plus loin : Baptiste Kotras. « L’opinion autorisée. Peut-on militer sur les réseaux sociaux ? Données personnelles et réseaux sociaux - Vidéo Sciences numériques et technologie. Philosophie des réseaux sociaux.
Cette émission a été enregistrée le mardi 19 février à la Sorbonne à Paris, en public, à l’occasion d’un forum organisé par France Culture : Participation, représentation, information #Le nouvel âge de la politique ? L’histoire des réseaux sociaux est très récente et s’il nous est impossible aujourd’hui d’imaginer vivre sans réseaux, nous allons aujourd’hui prendre la mesure du changement voire même de la révolution qu’a entraîné l’apparition et l’utilisation des réseaux sociaux. Mais les réseaux ne sont pas forcément sociaux, l’organisation en réseaux qu’on appelle réticulaire ne concerne pas seulement la société mais aussi la nature, le savoir, un circuit électrique, l’organisation d’une ville… L’organisation dite réticulaire implique un mode de fonctionner, une logique qui est très particulière… Quelle est-elle ?
Qu’est ce qui fait l’essence des réseaux sociaux ? Les invités du jour : Petite histoire des réseaux Il y a une faiblesse du concept de réseau. Addictions aux réseaux sociaux. Les portables. La philosophie des réseaux sociaux. La graisse humaine : de la nécessité à l'excès En France, 44 % des femmes et 54 % des hommes sont en situation de surcharge pondérale avec un important excédent de graisse, soit environ un adulte sur deux.
La plupart des causes de cet état de fait sont directement liées aux changements apportés par notre société moderne, notamment de la profonde mutation des modes de vie, de la facilité d’accès à l’alimentation et d’une importante réduction du niveau d’activité physique. Répondez présent ! Campagne de promotion de la carrière d'enseignant 3 vidéos de promotion de la carrière d'enseignant. Village de l'emploi, une carrière s'ouvre à vous, entrez par la grande porte . Au lieu des formations classiques, les programmes sont développés pour aider les étudiants, chômeurs, professionnels en réorientation de carrière, bref de toutes les couches sociales, à créer des profils adaptés reconnus et qui répondent à un besoin réel dans le marché des compétences.
Se soigner grâce au chimpanzé. Philosophie des réseaux sociaux. « Le dilemme des réseaux sociaux » : le documentaire Netflix sur les dangers d'internet. Ce mercredi 9 septembre, Netflix a sortit un nouveau documentaire sur les dangers des réseaux sociaux. Avec la parole de nombreux experts, il dévoile l'impact négatif d'internet sur nos vies. « The Social Dilemma », ou « Le dilemme des réseaux sociaux », est le nouveau documentaire proposé par Netflix. Réalisé par Jeff Orlowski, il dénonce les dangers de l'utilisation d'internet et conséquences négatives qu'elle peut avoir sur notre vie quotidienne.
Les dangers d'internet sont exposés Le documentaire suit l'histoire d'une famille qui utilise les réseaux sociaux et dévoile les pires conséquences qu'ils peuvent avoir sur une personne : atteinte à la vie privée, manipulation, suicide, discours haineux... Crédit photo : Netflix Jeff Orlowski a eu l'idée de réaliser ce documentaire après avoir rencontré des personnes qui réfutaient totalement l'existence du changement climatique, affirmant qu'il n'existait pas. Des créateurs de réseaux sociaux témoignent Un ancien employé de Google. Addictions numériques : tous accros à l’écran. Vous êtes forcément déjà tombés ces 40 dernières années sur un reportage, un magazine, un expert dénonçant les méfaits de la télévision, du jeu vidéo, d’Internet, des téléphones portables, avec témoignages à l’appui, anonymes de préférence, pour décrire les tourments que l’irruption de ces technologies ont créés chez les personnes sensibles.
Mais qu’en est-il vraiment ? Alors qu’il est incontestable que les écrans se sont multipliés de façon exponentielle autour de nous et que les usages numériques ont changé : sommes-nous devenus tous accro à l’écran ? Addictions numériques : tous accros à l’écran : c’est le problème qui va occuper La Méthode scientifique pour l’heure qui vient. Le reportage du jour L’addiction aux écrans n’est à l’heure actuelle pas reconnue comme une pathologie sur le plan médical. Écouter 7 min LA_METHODE_SCIENTIFIQUE - Reportage " La cyberaddiction" avec Alain Dervaux Le fil de l'émission Les références musicales Le tire du jour : « Tv Addict » par Niagara.
Éducation aux médias et FLE - Parler des réseaux sociaux. Addiction au numérique : quand la connexion crée la déconnexion | La e-réputation vue par Influenceurs du web. La révolution numérique a transformé nos vies, le savoir et les échanges. De fait l’outil informatique est devenu la ressource la plus utilisée pour accéder à l’information. 85% des français sont internautes et 99% des 12-39 ans ont déjà eu recours à internet.
Les raisons d’utiliser internet, aussi bien professionnellement que personnellement, sont diverses et variées et tout le monde y trouve ce qu’il recherche. Cependant, cette accoutumance aux écrans nous fait nous interroger sur ses dangers. Force est de constater que l’utilisation à outrance d’internet peut créer une sorte de bulle qui nous coupe du reste du monde, cela se remarque principalement chez les plus jeunes. En effet, la génération Z (15/25 ans) paraît être la plus exposée au risque de la dépendance à internet. Internet est aujourd’hui indispensable, une première forme d’addiction de société L’omniprésence d’internet dans notre quotidien facilite grandement nos moyens d’échanges.
Comment se caractérise cette phobie ? Addiction aux écrans : qui nous rend accros et comment décrocher ? – Les clés du numérique. Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. (376) Société numérique : les risques d’une vie en accéléré. Addiction aux écrans : qui nous rend accros et comment décrocher ? Dépendance au numérique. Addiction numérique : comment les écrans endommagent le cerveau.
Les scientifiques sont de plus en plus nombreux à s’intéresser à l’addiction des plus jeunes aux médias numériques. Est-ce que ces pratiques modifient le cerveau ? « Absolument, répond sans hésiter le Dr Kardaras, interrogé par « Envoyé spécial ». Il y a une douzaine d’expériences d’imagerie cérébrale qui montrent que le cortex frontal rétrécit si vous passez trop de temps devant les écrans. » Ce psychologue expert en addictologie a écrit un livre sur l’addiction et les enfants qui a réveillé les Etats-Unis. Il va jusqu’à parler d’« héroïne numérique » dans un de ses ouvrages. Quelles sont les conséquences de cette modification ? VIDEO. Addiction numérique : comment les écrans endommagent le cerveau. Cet article date de plus de cinq ans.
Publié le 19/01/2018 09:34 Mis à jour le 19/01/2018 09:34 Durée de la vidéo : 2 min Accros aux écrans, lâchez votre smartphone ou votre tablette pour votre téléviseur le 18 janvier. "Envoyé spécial" vous montre les ravages des pratiques numériques sur votre cerveau – et tout d'abord sur celui des enfants et adolescents. Voici un extrait. Les scientifiques sont de plus en plus nombreux à s'intéresser à l'addiction des plus jeunes aux médias numériques.
Est-ce que ces pratiques modifient le cerveau ? Quelles sont les conséquences de cette modification ? Depuis cinq ans, les études sur l'impact des pratiques numériques sur le cerveau sont de plus en plus précises. Pourquoi, même en connaissant ces dangers, est-il si difficile de s'arrêter ? Le numérique, une « drogue » qui fait débat.
Vade retro jeux vidéo, réseaux sociaux… ? Ces temps-ci, les dangers des technologies numériques sont sur le devant de la scène, pointés par les professionnels de santé, mais aussi par ceux du secteur. On ne compte plus les charges virulentes d’anciens cadres de la Silicon Valley. « Je crois que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social », a ainsi lâché Chamath Palihapitiya (ex-vice-président de Facebook chargé de la croissance de l’audience) en novembre 2017 lors d’une conférence. Mettant en cause, comme d’autres, la surstimulation des circuits neuronaux à dopamine (neurotransmetteur impliqué dans les addictions) par les « like » et autres notifications des réseaux sociaux, Chamath Palihapitiya a interdit à ses enfants d’utiliser « cette merde ».
En janvier, c’est Tim Cook, l’actuel directeur général d’Apple qui, dans une intervention publique, s’est dit opposé à ce que son neveu (il n’a pas d’enfant) fréquente un réseau social. Les risques numériques. Addiction au smartphone : quels effets sur notre vie sociale, notre santé ? Pratiques numériques | Mildeca. Réseaux sociaux, tous accros ? - Décod'actu. b2 conversation lexclusion numc3a9rique. Dessine-moi l'éco - La presse papier va-t-elle disparaître ? Demain, serons-nous trop abrutis pour lire ? Elon Musk, Twitter et le danger des homonymes — The Interest. Trump banni de Twitter : la liberté d’expression en danger.
Twitter : un danger pour nos démocraties ? Manque d'empathie, démocratie en danger & violences : Twitter a fait de nous des moralistes sans nuance - neonmag.fr. L’addiction numérique racontée par ceux qui l’ont créée.
Devrait-on encourager l’apprentissage via les outils technologiques (applications sur smartphone, tablettes…) ou l’apprentissage doit-il se faire avec des méthodes plus classiques (livres) ?