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TRANSITION ENERGETIQUE

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"Un signal exécrable" : la nomination d’Edouard Philippe au poste de Premier ministre inquiète les défenseurs de l'environnement. Edouard Philippe a été nommé Premier ministre par le président Emmanuel Macron, lundi 15 mai. Une nomination qui inquiète les associations de protection de l’environnement. Pour Charlotte Mijeon, porte-parole du réseau Sortir du nucléaire, "c’est un signal exécrable qui a été envoyé". D’après elle, l'ancien maire du Havre a un profil très pro-nucléaire, ayant notamment travaillé pour Areva, en tant que directeur des affaires publiques du géant de l’énergie spécialisé dans le nucléaire.

Toujours selon Charlotte Mijeon, Edouard Philippe aurait joué un rôle de lobbyiste, pour Areva, auprès des élus de l’assemblée nationale au sujet des mines d’uranium au Niger. Charlotte Mijeon s’interroge sur la politique écologique que mènera le gouvernement d’Edouard Philippe car "en tant que député du Havre, il a voté contre la loi de transition énergétique et contre la loi sur la biodiversité. " Macron veut changer le mix énergétique dans le long terme-EDF. PARIS, 9 mai (Reuters) - L'objectif d'Emmanuel Macron de modifier le mix énergétique de la France s'inscrit dans le long terme et pas précisément à l'horizon de 2025, a estimé mardi le directeur financier d'EDF Xavier Girre. La loi de transition énergétique prévoit la réduction de la part du nucléaire dans la production électrique française de 75% à 50% à l'horizon 2025, mais une source proche de l'équipe de campagne du nouveau président avait indiqué le 3 mai à Reuters qu'il pourrait reporter l'atteinte de cet objectif en cas de besoin.

"(Il est prévu) dans son programme et dans des déclarations publiques un développement des renouvelables à travers des investissements, ainsi qu'un objectif clair pour le mix énergétique sur le long terme, et pas précisément à l'horizon de 2025", a déclaré Xavier Girre lors d'une conférence téléphonique avec les analystes sur le chiffre d'affaires trimestriel d'EDF. "Ces points sont clairs et positifs", a-t-il ajouté. La France pourrait produire 100 % d’énergie renouvelable en 2050. Selon l’association d’experts négaWatt, l’Hexagone pourrait s’affranchir du nucléaire et des fossiles au milieu du siècle. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Le Hir A l’heure où la France, grelottante, s’inquiète de son approvisionnement en électricité, affirmer qu’elle pourrait à terme se passer du nucléaire et des fossiles ressemble à une gageure.

C’est pourtant la perspective que trace l’association négaWatt, pilotée par une vingtaine d’experts indépendants dont les travaux font référence dans leur domaine. Son « scénario 2017-2050 », dévoilé mercredi 25 janvier, projette un mix énergétique 100 % renouvelable à l’horizon du milieu du siècle. Elle avait déjà présenté, depuis 2003, plusieurs trajectoires faisant la part belle aux énergies vertes. Les énergéticiens de négaWatt ne prônent évidemment pas le retour à la chandelle. Plus de combustibles fossiles Comment satisfaire une demande en énergie même réduite de moitié ? Une France neutre en carbone. L’incroyable histoire de la loi de transition énergétique, que vous raconte une frise exclusive.

Une loi annoncée comme une priorité par le nouveau président Hollande mais votée seulement trois ans plus tard, un débat public quitté par les grandes associations écologistes, un parcours législatif qui a vu les deux chambres s’écharper sur fond de nucléaire... L’adoption de la loi de transition énergétique, votée mercredi 23 juillet par les députés, fut longue et pleine de rebondissements. Reporterre vous en propose une synthèse chronologique et interactive : Les grands objectifs fixés par la loi Voici les principaux objectifs devant maintenant guider la politique énergétique : 1 - Réduire les émissions de gaz à effet de serre de 40 % entre 1990 et 2030 et de diviser par quatre les émissions de gaz à effet de serre entre 1990 et 2050. 2 - Réduire la consommation énergétique finale de 50 % en 2050 par rapport à la référence 2012, en visant un objectif intermédiaire de 20 % en 2030. 5 - Réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité à 50 % à l’horizon 2025.

ADEME : "Vers un mix électrique 100% renouvelable en 2050", l'étude que le lobby nucléaire a voulu censurer ! - Transition Energétique. Mercredi 8 avril, Médiapart dévoilait le rapport d’une étude technique sur une France 100 % renouvelables (pour son bouquet électrique) en 2050, commandée et financée par l'Ademe pour 294 000 euros. Épilogue en fanfare de 3 mois de rebondissements, qui ont fait d’un exercice technique une affaire politico-médiatique. Tel était le titre de la séquence de 30 minutes, prévue entre les tables rondes 3 et 4 du colloque de l’ADEME (désormais) intitulé « Les énergies renouvelables dans le mix électrique français » (les 14 et 15 avril 2015 à Paris). Malgré sa modeste emprise sur le programme, le service presse de l’Ademe, ne se trompant pas sur l’intérêt des professionnels comme du grand public sur le sujet, indiquait précédemment dans sa communication numérique : « le point d’orgue de ce colloque est la présentation d’une étude inédite commandée par l’ADEME et qui fournit les pistes pour une production d’électricité 100% renouvelable ».

Le rapport 100% énergies renouvelables. Particuliers et éco-citoyens, Financer mon projet, Rénovati, Quel professionnel RGE choisir pour vos travaux ? Particuliers et éco-citoyens, Financer mon projet, Rénovati, Crédit d'impôt pour la Transition énergétique. Mis à jour le 16/01/2015 Depuis le 01/09/2014, le crédit d’impôt développement durable a évolué pour devenir le crédit d’impôt pour la Transition énergétique. Ce dispositif fiscal est en vigueur jusqu'au 31/12/2015. Découvrez toutes les conditions exigées pour en bénéficier. Une aide sans condition de ressources Ce dispositif fiscal permet aux ménages de réduire leur impôt sur le revenu d’une partie des dépenses occasionnées lors de travaux d’amélioration énergétique réalisés dans leur habitation principale. Les contribuables, qu’ils soient imposables ou pas, peuvent bénéficier du crédit d’impôt.

Les conditions pour en bénéficier Votre situation vous êtes locataire, propriétaire occupant ou occupant à titre gratuit ; vous êtes fiscalement domicilié en France. Votre logement c'est une maison individuelle ou un appartement ; c'est votre résidence principale ; le logement est achevé depuis plus de deux ans. Les professionnels réalisant les travaux Un taux de 30 % sur un montant de dépenses plafonné. Financement de la transition énergétique : nos propositions. Ce lundi 23 juin, Ségolène Royal et Michel Sapin organisent la conférence bancaire et financière pour la transition énergétique annoncée par François Hollande lors de la conférence environnementale de septembre 2013. Les propositions sur la table sont loin de pouvoir financer et enclencher une transition énergétique qui soit à la hauteur des enjeux des exigences climatiques et de justice sociale.

Analyse et propositions. Le financement de la transition écologique n’est pas un sujet technique et comptable. C’est une question politique qui conditionne l’efficacité écologique et la viabilité sociale de la transition. Annoncée en grande pompe par François Hollande lors de la conférence environnementale de septembre 2013, la conférence bancaire et financière qui devait avoir lieu au printemps se tient finalement ce lundi 23 juin, pendant deux petits heures où seuls les représentants du secteur privé, bancaire et financier seront amenés à s'exprimer (voir le programme). Projet_de_loi_avec_article_35.pdf.

Le site de l'écologie. Transition énergétique : le texte définitif du projet de loi et son exposé des motifs. Ségolène Royal v(i)olée par les lobbies du nucléaire dans la soirée. Après sa conférence de presse Ségolène Royal, sommée de corriger SON projet de Loi, se fait enfouir les déchets radioactifs. Qui est derrière ce stratagème ? La version « finale » du projet de Loi qui circulait dans la journée ne parlait ni de déchets, ni d’enfouissement. Premiers rebondissements à 17h35. Un mail transmis aux membres de la section de l’environnement du CESE comprenait une nouvelle version de l’exposé des motifs de ce projet de Loi. 21h50, on enfonce le clou et on autorise tout ! C’est dans un mail transmis bien tardivement aux membres de la commission spécialisée du CNTE en charge de ce projet de Loi et qui se réunissent le lendemain que le pot-aux-roses est révélé.

Les membres du CESE qui tenaient une réunion exceptionnelle ce matin à 10h30 et auditionnaient Ségolène Royal à 11h30 ne sont même pas au courant que cet article existe. Quand était-elle sincère ? La réponse est claire. Annexes et notes : 140618_Document_Nouveau_modle_nergtique.pdf. Publication Energie-legal - Lettre Energie-Legal Juin 2014.pdf. Les territoires, leviers de la transition énergétique. Document : les conclusions du débat national sur la transition énergétique. Il vous aura sans doute échappé que depuis huit mois se tient en France un « grand débat national » sur la transition énergétique. Ses conclusions seront rendues ce jeudi 18 juillet, mais le site Reporterre a obtenu la dernière version de travail en date du 9 juillet.

Document transitoire, dont les grandes lignes ne devraient pas bouger. Et dont on voit déjà que, à force de vouloir ne fâcher personne, le gouvernement ne contentera pas grand monde. De quoi s’agit-il ? Il s’agissait aussi de respecter les engagements de la France en matière de réduction des émissions de CO2. Baisser de moitié la consommation, vraiment ? « Réduire de moitié notre consommation énergétique d’ici 2050 », telle est l’ambition affichée par le Conseil national.

. « Si on veut vraiment atteindre cet objectif, cela nous oblige à changer de mode de vie, à opérer une véritable mue, d’un capitalisme basé sur la consommation d’énergie sans limite à un monde plus sobre. » Quid du nucléaire et des gaz de schiste ? Transition énergétique: l’avant-projet de loi déjà amputé - Page 1.

Loi sur la transition : révolution énergétique ou greenwashing gouvernemental. Imaginez un pays où les citoyens participent à 20 % du capital des projets éoliens ou solaires. Où les entreprises, dont l’État est un actionnaire de poids, comme EDF ou GDF, sont contraintes d’abandonner tout projet d’exploitation de charbon, de sables bitumineux, de gaz et huiles de schiste. Où le gouvernement vise les 100 % d’énergies renouvelables d’ici à 2050. Où 20 réacteurs nucléaires – la moitié du parc atomique – sont définitivement arrêtés d’ici 2020, économisant ainsi 40 milliards d’euros, le coût de leur prolongement jusqu’à 40 ans d’activité.

Où tous les grands projets autoroutiers et aéroportuaires sont mis au placard tandis que sont soutenus les transports collectifs moins polluants. Ces propositions sont celles du « vrai projet de loi » sur la transition énergétique, initié en février dernier par neuf associations [1] désireuses d’en finir avec les atermoiements du gouvernement. On consulte sur le titre de la loi mais pas sur son contenu Résultat ? Une belle idée...