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ECONOMIE

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L'économie collaborative n'est pas sociale et solidaire. L'économie collaborative n'a pas toutes les vertus qu'on lui prête souvent.

L'économie collaborative n'est pas sociale et solidaire

Cette économie de services à la demande à travers des plateformes d'intermédiation numérique cache en réalité un idéal principalement mercantile, bien éloigné des notions d'intérêt général induites par le terme « collaboratif ». « Il y a une certaine confusion de langage subtilement entretenue », dénonce dans une interview très intéressante à Rue 89 Hugues Sibille, le président de Labo de l'économie sociale et solidaire. « Les gens utilisent de manière synonyme, économie collaborative, économie du partage et économique sociale et solidaire. Données Economiques. VII. Le chômage résulte-t-il de dysfonctionnements sur le marché. Économie. «Contre-Courant» : le débat Badiou-Piketty. Emploi & Travail. Aurélie Filippetti : la loi Macron est "dangereuse pour les salariés" Economie / Finance. Bienvenue en Post-Capitalisme -

Decroissance. Revenu garanti. Capitalisme. Piketty. Décroissance | BASE de réflexion. Methologie. Economie collaborative. L'actualité économique. ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE. 9. Politiques économiques. Taxe sur les transactions financières : l'Europe avance à reculons. LA BALANCE DES BIENS ET DES SERVICES DE LA SUISSE. La balance des biens et des services de la Suisse comprend plusieurs éléments : la balance commerciale et les différentes composantes de la balance des services.

LA BALANCE DES BIENS ET DES SERVICES DE LA SUISSE

Les caractéristiques de cette balance des biens et des services sont les suivants. La balance commerciale de la Suisse est très excédentaire (+15,5 milliards de francs suisses en 2012), ce qui montre la compétitivité de ce pays dans le domaine industriel. La Suisse se caractérise également par un très grand dynamisme en matière de services. Pour l'année 2012, les services ont dégagé un excédent de 41,2 milliards de francs suisses qui se décomposent de la façon suivante (en milliards de francs suisses) : +2 milliards pour le tourisme, +13,5 milliards pour les services financiers des banques et +25,6 milliards en ce qui concerne les "autres services" (communication, ingénierie, transport, informatiques, culturels, etc.). L'ancien ministre des Affaires étrangères socialiste Hubert Védrine lui aussi favorable à des petits boulots payés en dessous du Smic.

Socialistes, mais pas trop.

L'ancien ministre des Affaires étrangères socialiste Hubert Védrine lui aussi favorable à des petits boulots payés en dessous du Smic

Après Pascal Lamy, directeur général de l'Organisation mondiale du Commerce, l'ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine se déclare lui aussi favorable à des petits boulots en France, payés en-dessous du Smic. Interrogé par le Lab lors de l'émission PolitiqueS sur LCP, Hubert Védrine a néanmoins reconnu que cette proposition, telle quelle, pouvait être considérée comme "choquante". Voir la réponse d'Hubert Védrine, en tout début d'interview : Voilà ce que répond Hubert Védrine à propos de la proposition de Pascal Lamy : Les Français préfèrent que des gens aient la même somme en étant assistés sans rien faire, qu'en ayant cette même somme en travaillant.

Voilà ce pour quoi Pascal Lamy plaidait, admettant ne pas être "en harmonie" avec ses caramades : Partagez. 1 Million Strong for the Robin Hood Tax - Oxfam. La Cour des comptes n'exclut pas un nouveau dérapage budgétaire. Par Jean-Baptiste Vey PARIS (Reuters) - La France pourrait rater son objectif de réduction du déficit public à 3,6% du PIB cette année en raison d'une prévision de recettes fiscales optimiste, estime la Cour des comptes, tout en saluant des efforts historiques pour redresser les comptes.

La Cour des comptes n'exclut pas un nouveau dérapage budgétaire

Dans son rapport public annuel présenté mardi, elle estime qu'il pourrait manquer cette année jusqu'à 6 milliards d'euros de recettes fiscales par rapport aux prévisions du gouvernement, soit 0,3 point de PIB, et que le déficit de 2013 pourrait être plus important que le 4,1% prévu jusqu'à présent. Un tel dérapage supplémentaire sur 2013 fragiliserait encore plus l'objectif de ramener le déficit à 3,6% du PIB fin 2014 et le retour sous la limite européenne de 3% en 2015, sur lequel la France s'est engagée devant ses partenaires européens. Le montant du déficit public 2013, qui agrège les comptes de l'Etat, des administrations de sécurité sociale et des collectivités locales, sera connu fin mars.

L'ardoise réglée par les banques aux USA atteint 100 mds USD (presse) Stiglitz : « Aucune économie n'est jamais revenue à la prospérité avec des mesures d'austérité » LA TRIBUNE - Comment définiriez-vous l'économie positive et en quoi est-elle nécessaire en ces temps de crise ?

Stiglitz : « Aucune économie n'est jamais revenue à la prospérité avec des mesures d'austérité »

JOSEPH STIGLITZ - L'économie positive milite pour un changement de la structure de notre économie vers une vision à plus long terme, génératrice d'une croissance plus pérenne, ce qui est indispensable. Notre société est pour l'instant trop concentrée sur le court terme, cette conception du système a d'ailleurs provoqué la crise financière. Nous n'avons donc pas tiré les leçons de la crise... Nous avons créé cette terrible récession nous-mêmes, ce n'était pas un tsunami accidentel... et la menace demeure. Fleur Pellerin à Marseille, mercredi 7 mars 2012 à 18h. Government debt explained (in a few minutes) Comprendre la dette publique (en quelques minutes)