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Evaluation par QCM : intérêts, limites et mise en oeuvre

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View. TraAM 2017/2018 : L'évaluation des apprentissages en économie et gestion avec le numérique. Les ressources proposées par les enseignants du groupe de travail sont le fruit d’un travail conséquent.

TraAM 2017/2018 : L'évaluation des apprentissages en économie et gestion avec le numérique

Elles peuvent contenir quelques coquilles malgré le soin apporté par leurs auteurs. Elles sont mises à disposition dans une perspective de partage et d’amélioration continue. Compte tenu du volume de questions (plus de 180 en STMG) une convention de nommage des questions a été mise au point. Cette convention a également pour objectif de faciliter la mutualisation. Vous avez exploité ces questions dans des quiz proposés à vos élèves ? Evaluer par QCM. Le QCM : Méthode d’évaluation efficace ? Depuis longtemps utilisée dans les pays anglo-saxons, l’évaluation par Questionnaire à Choix Multiple (QCM) se développe de plus en plus.

Le QCM : Méthode d’évaluation efficace ?

L’une des raisons étant la rapidité de correction dans le cas d’évaluations répétées, ou lorsque le nombre d’apprenants est important. Peut-on tout évaluer par QCM ? L’évaluation par QCM se prête particulièrement bien au test de connaissances « brutes » ou de notions apprises par cœur. On évalue alors la capacité de mémorisation et de restitution de l’apprenant. Le QCM peut aussi être utilisé dans l’évaluation des savoir-faire qui demandent de la technicité (habitude et automatisation, ou procédure), comme par exemple les conversions.

Pour cela, on va soumettre l’élève à un ensemble de questions qui portent sur le même savoir-faire afin de vérifier que la procédure ou le raisonnement est bien maitrisé(e). Dans ce problème, un élève devrait se dire que la totalité du fût vaut 10/10. Le blog et actualités. André de Peretti était un homme aux multiples facettes et aux immenses ressources.

Le blog et actualités

Né à Rabat – dans un pays auquel il restera toujours profondément attaché –, polytechnicien et docteur ès lettres, sous-lieutenant d’artillerie fait prisonnier dans la poche de Dunkerque en 1940 et député à la Libération, auteur dramatique (une de ses pièces a même été jouée à la Comédie française) et poète (plusieurs de ses textes ont été mis en musique), farouche militant pour l’indépendance du Maroc et haut fonctionnaire, consultant auprès de l’ONU et créateur d’une association de psychosociologie (l’ARIP), formateur hors pair et auteur prolifique, compagnon de François Mauriac, d’Emmanuel Mounier ou Max Pagès, infatigable militant pédagogique jusqu’au bout, il aura eu – et, sans aucun doute, continuera à avoir – une influence considérable sur de très nombreux enseignants, formateurs et chercheurs en pédagogie.

Il est difficile de résumer son travail, tant il fut riche. Philippe Meirieu Philippe Meirieu. Un tableur pour suivre les scores de travaux en îlots bonifiés. Tous ensemble ? La pratique de l’enseignement mixte ou hybride (dans l’espace de la classe et dans l’espace numérique) fait réfléchir à la spécificité des activités ne pouvant avoir lieu que dans la salle de classe. La question est : que pouvons-nous faire à plusieurs dans une salle de classe et que nous ne pourrions pas faire ailleurs ? Peut-on vraiment travailler en groupe ? Une première réponse est bien entendu le face-à-face pédagogique entre un enseignant et un groupe. Une seconde réponse est la possibilité de travaux de groupes. J’avais […] commencé ma carrière en mettant les élèves par îlots de quatre […]. Le blason : outil pour les représentations. Astolfi : L’erreur, un outil pour enseigner.

" Qu’y a-t-il de commun entre une expression algébrique, l’expression d’un gène et une expression familière ?

Astolfi : L’erreur, un outil pour enseigner

Entre une fonction digestive, une fonction affine et une fonction grammaticale ? Entre l’expansion du groupe nominal et celle des Trente Glorieuses ? Entre un pronom réfléchi, un rayon réfléchi et un élève réfléchi ? " Voilà quelques raisons bien communes de commettre des erreurs en classe. Car les erreurs sont le pain quotidien de l'enseignant. " Dans bien des activités qu’ils pratiquent, du sport aux jeux électroniques, les jeunes considèrent (l'erreur) comme source de défis, comme objet de compétitions amicales et passionnées, comme occasion de dépassement de soi. Pourtant l'erreur est au coeur d etout acte d'enseignement. Il ne se contente pas d'une réflexion sur l'erreur en pédagogie, il en donne une typologie éclairante et efficace pour les professionnels du traitement des erreurs que sont les enseignants.

F Jarraud. Théorie de la motivation Viau. Nous avons l’habitude d’entendre que tel élève n’est pas motivé, qu’il ne veut pas travailler etc. … Mais savons nous exactement ce que signifie « être motivé » ?

Théorie de la motivation Viau

En réalité, ce concept simple à décrire à première vue, cache une certaine complexité : la motivation à l’école est le fruit de divers facteurs que les théories actuelles nous permettent de mieux comprendre. En tant que futur enseignant, il semble indispensable de faire référence à ces théories afin d’adapter au mieux son action pédagogique en classe et motiver au mieux les élèves à apprendre. 1. Antibi : la constante macabre. André Antibi poursuit ses efforts pour dénoncer les injustices persistantes des évaluations scolaires qui restent avant tout sélectives.

Antibi : la constante macabre

Le correspondant du CRAP-Cahiers pédagogiques en Belgique nous propose un écho de son intervention lors d’un colloque sur la réussite scolaire à Bruxelles. Le 21 janvier 2010, nous avons eu le plaisir d’entendre André Antibi, professeur à l’université Paul Sabatier de Toulouse et auteur du livre La constante macabre (éd. Math’aurore, 2003). Moodle : évaluer par QCM.