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Loisirs

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Figurez-vous cette scène : dans l’amphithéâtre, un après-midi d’il y a presque 2000 ans, Kalendio le rétiaire (à droite sur l’image), affronte un autre gladiateur en combat singulier, Astyanax, un secutor, (à gauche). La lutte est âpre, et dans un premier temps, Kalendio réussit à emprisonner Astyanax dans son filet. Il le menace alors de son trident… Astyanax est en mauvaise posture, mais il peut compter sur son grand bouclier pour tenter de parer les attaques. Dans un incroyable retournement de situation, Astyanax réussit à se dépêtrer du filet et prend l’avantage sur son adversaire, qu’il blesse à la jambe avec son glaive court. Kalendio, à terre, essaye de se défendre, mais la fin du combat est proche… Il lève son pugio (poignard) en direction de l’adversaire, comme pour se rendre. “ASTYANAX VICIT KALENDIO” (Astyanax a vaincu Kalendio) ! L’auteur de cette mosaïque n’a pas représenté l’ultime étape du combat mais on sait que Kalendio n’aura pas la vie sauve.

A. B. C. J. Les origines du Colisée Rome était friande des spectacles, notamment des combats de gladiateurs. Sous le règne d’Auguste fut construit à Rome un premier amphithéâtre en pierre. Le règne de l’empereur Néron (54-68 après J. -C.) fut particulièrement destructeur pour la ville. De nombreux incendies survenaient régulièrement à Rome, mais celui de 64 détruisit de nombreux quartiers, et notamment l’amphithéâtre. Après l’incendie, Néron s’attribua des terrains dévastés et priva le peuple romain de jardins et de terres au centre de la ville. Quelques années plus tard, l’empereur Vespasien entendit redonner au peuple ce qui lui avait été retiré. La façade du Colisée Il est d’abord à noter qu’une dizaine d’années suffirent à construire cet amphithéâtre, ce qui atteste déjà du génie des Romains.

Le Colisée est composé de quatre niveaux distincts, encore visibles aujourd’hui sur la partie Nord de l’édifice, mais incomplets sur la partie Sud. Une place pour chacun à l’intérieur du Colisée. Les riches Romains, amateurs de fontaines et de bassins, possèdent des bains dans leur maison privée. Les premiers thermes publics sont construits pour l'usage d'une population modeste puis se développent pour devenir un élément essentiel de l'urbanisme romain, symbole de puissance et de richesse. Ils illustrent le modèle de vie du citoyen, attentif aux soins du corps et avide d'échanges sociaux et amicaux. S'y accomplit un "rite de socialité" (P. Veyne, Le Pain et le cirque, Sociologie historique d'un pluralisme politique, Paris, Seuil, 1976) qui participe à la diffusion de la culture romaine dans l'empire. La multiplication des thermes dépend du développement du réseau hydraulique.

En 19 av. L'hypocauste (16) est perfectionné pour s'adapter aux vastes constructions publiques. Sous l'Empire, tout Romain se rend aux bains quotidiennement. Les thermes ne sont pas mixtes mais les femmes accèdent aux bains par des salles réservées en périphérie du bâtiment central. 1. Le théâtre grec Lors des représentations antiques, à la dualité fondamentale chœur / personnages des pièces jouées, correspondait une dualité architecturale dans l’espace théâtral : réservée aux évolutions du chœur, l’orchestra, aire parfaitement circulaire en terre battue (d'environ 20 m de diamètre) avec en son centre l’autel rond de Dionysos ; pour les acteurs, une longue estrade, haute d’un ou deux mètres, assez étroite, le proskenion ; entre les deux, sans doute, quelques marches, permettant aux acteurs et au chœur de communiquer et d'échanger entre eux au cours de la représentation.

Généralement adossés au flanc d'une colline, les gradins pour les spectateurs, le théâtron proprement dit (l'espace où "on regarde", du verbe theaomai) dessine autour de l'orchestra un peu plus d'un hémicycle. Plan du théâtre de Dionysos (où se déroulaient les Grandes Dionysies) à Athènes, à l'époque de Périclès (Ve siècle avant J. -C.). 2. Le théâtre romain En 55 avant J. Les combats de gladiateurs sont un point de civilisation largement étudié et commenté. Ils ont suscité et suscitent encore la curiosité, l’admiration ou à l'inverse : le mépris.

Les documents qui témoignent de ces combats et de leurs protagonistes sont nombreux : textes, inscriptions et iconographies, de toutes époques à partir du IIIe siècle avant J. -C. C’est l’ensemble de ces documents qui nous permettent d’avoir une idée assez précise de ce que furent les combats de gladiateurs pour les Romains. Qui sont les gladiateurs ? Comme Cicéron le rappelle dans les Tusculanes, les gladiateurs sont des hommes déchus de leur citoyenneté romaine, des prisonniers de guerre, des condamnés à mort, ou encore des esclaves.

Il existe de nombreux types de gladiateurs avec des équipements plus ou moins lourds. Lorsque les gladiateurs se distinguent, les combats peuvent rapporter beaucoup d’argent au combattant et à celui qui l’a formé. Les spectacles étaient souvent offerts par de riches Romains. Les Romains n’ont pas toujours été connus dans l’Histoire pour être de fins gastronomes : peuple de paysans et de soldats, ils sont appelés dans une pièce de Plaute les « mangeurs de bouillie » ! Au contact des Grecs et des autres civilisations de l’Empire, leurs goûts vont cependant s’affiner, s’enrichir de nouveaux aliments, au point que nous avons gardé dans la littérature des récits de véritables festins et même un manuel culinaire ! Les ingrédients de la cuisine romaine Grâce à l’archéologie, à l’étude des images et textes antiques, il est possible de connaître le contenu des assiettes. Beaucoup de farines et légumineuses, peu de légumes verts, de poissons ou de viandes fraîches : la nourriture du peuple devait être dans l’ensemble peu variée voire carencée.

Les plats étaient assez grossiers mais consistants, à base surtout de fèves, pois chiche, lentilles, graines de lupin, choux, lard… La cuisine se faisait à l’huile, conservée dans des amphores en terre cuite. Etait-elle bonne ? Les loisirs à Rome *. Voir "En deux-mots" : les thermes romains, les gladiateurs, le théâtre grec/ le théâtre romain, la cuisine à Rome. | Odysseum. QUIZZ Les jeux romains. Circus maximus. Aqueduc romain. La cuisine romaine - Civilisation romaine. L'alimentation Sous la Royauté, les repas sont simples. Les Romains consomment essentiellement des bouillies de céréales.

Ce sont des bouillies épaisses, parfois de la bouillie de farine. Il consomment également des fèves, légumes, du lard et un peu de vin. Progressivement, la composition des repas évolue. Les gens du peuple se contentent de repas plus simples, le plus souvent fournis par leur patron. Les repas A l'époque royale et sous la République, les jeunes filles romaines ne peuvent pas participer à des repas où sont conviées des personnes mariées. A l'époque royale, les repas sont pris dans l'atrium. Les riches Romains organisent parfois des banquets. Cependant, sous l'Empire, certains hôtes peu délicats n'hésitent pas à se réserver les meilleurs morceaux et à servir des plats de piètre qualité à leurs invités. Les esclaves reçoivent quotidiennement leur ration.

Il y a trois repas dans la journée du Romain. a) Le petit déjeuner C'est le jentaculum. B) Le repas de midi Loirs. Fromages. Les repas de tous les jours : leur déroulement chez les Romains. D'après les textes dont nous disposons, nous pouvons voir que les Romains de l'époque classique prennent en général trois repas par jour même si certain empereur, particulièrement vorace en prenait parfois quatre et des plus abondants (Suétone, Vitellius). Ces trois repas sont : au réveil le jentaculum (petit déjeuner), vers midi, le prandium (déjeuner) et vers 15 heures la cena (dîner) qui se termine, en principe, à la tombée de la nuit. En fait, comme aujourd'hui pour ceux qui pratiquent le journée continue, le petit déjeuner se réduit à l'absorption d'une coupe d'eau pure accompagnée d'un morceau de pain ; le déjeuner est soit supprimé soit avalé sur le pouce et sans qu'on se mette à table ; il est composé de pain accompagné d'un morceau de fromage, d'olives ou de fruits.

Le seul repas où l'on mange des plats chauds est donc la cena que l'on prend au sortir des thermes, détente après les activités journalières. Revenons en ville et entrons dans le triclinium. Repas dans la Rome antique. Un repas léger possible à l'époque romaine. Les Romains prenaient leur repas principal (cena, la « cène ») en soirée. Ils pouvaient le prolonger tard dans la nuit, un peu comme en Espagne ou d'autres pays méditerranéens aujourd'hui. On distribuait gratuitement, sous l'empire, du pain aux pauvres pour améliorer l'image publique de l'empereur. Les différents repas[modifier | modifier le wikicode] Le petit déjeuner : Jentaculum[modifier | modifier le wikicode] Chez les Romains, le petit déjeuner (jentaculum) est frugal : on y mange un peu de pain, du fromage, quelques olives ou des biscuits. Le déjeuner : Prandium[modifier | modifier le wikicode] Jusqu'au soir, les Romains ne mangent que peu de chose.

Le dîner : Cena[modifier | modifier le wikicode] La cena, le dîner du soir, est le seul vrai repas de la journée. Les pauvres et les riches ne mangent pas les mêmes choses ni aux mêmes endroits. Les repas sont préparés par les esclaves chez "les riches" et par les femmes chez "les plus pauvres". Cuisine romaine - LEGION VIII AUGUSTA. Recettes romaines -> Sur la cuisine romaine peu de sources nous sont parvenues, puisque qu’un ouvrage complet a été conservé : le « De re coquinaria » d’Apicius (gourmet qui vécut sous le règne de Tibère). D’autres recettes nous sont parvenues, notamment les traités d’agriculture de Caton (234-149 av. J. -C.), Varron (116-27 av. J. -C.), Columnelle (Ier s.) et Palladius (VIe s.) donnent des informations sur les ingrédients utilisés.

L’ouvrage de Pline l’Ancien (23/24 – 79 apr. La littérature culinaire romaine est tardive car la cuisine n’a commencé à être » tenue pour un art » (Tite-Live) qu’à partir du IIIe siècle avant J.C., époque à laquelle les administrateurs et officiers romains ramenèrent de leurs expéditions en Grèce et en Asie le goût des bons petits plats. Le rapport des Romains à l’art culinaire n’est cependant pas exempt de questionnements. Sénèque, dans le texte qu’il a écrit pour sa mère, tient ainsi des propos particulièrement sévères par rapport à ses contemporains :