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Coronavirus

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L'Autorité sanitaire australienne met en garde contre l'utilisation de l'hydroxychloroquine pour traiter le COVID-19. The Australian government's health authority has warned against the use of the anti-malarial drug hydroxychloroquine in the treatment of COVID-19.

L'Autorité sanitaire australienne met en garde contre l'utilisation de l'hydroxychloroquine pour traiter le COVID-19

The Australian Health Protection Principal Committee (AHPPC) said experimental use of medications such as hydroxychloroquine for coronavirus prevention and treatment was not recommended. The body added the drug should only be prescribed as part of a clinical trial. "Due to safety concerns, and the unknown effects of prescribing these medications for off-label usage, such as for COVID-19 infection, there are no current recommendations to treat patients with mild to moderate COVID-19 illness," the AHPPC said in a statement. "Appropriate dosage of medications for use in COVID-19 are not yet determined, and there is concern that if used inappropriately, off-label use of medications may cause toxicity and lead to adverse patient outcomes.

" The University Hospital Center of Nice was trialing hydroxychloroquine in COVID-19 patients. L'hydroxychloroquine classée «thérapie la plus efficace» par les médecins pour le coronavirus: enquête mondiale. An international poll of more than 6,000 doctors released Thursday found that the antimalarial drug hydroxychloroquine was the most highly rated treatment for the novel coronavirus.

L'hydroxychloroquine classée «thérapie la plus efficace» par les médecins pour le coronavirus: enquête mondiale

The survey conducted by Sermo, a global health care polling company, of 6,227 physicians in 30 countries found that 37% of those treating COVID-19 patients rated hydroxychloroquine as the “most effective therapy” from a list of 15 options. Le Pr. Raoult et la Chloroquine : les failles. Covid-19 : de nouvelles pistes de traitement. Des marqueurs permettraient d'anticiper l’aggravation du Covid-19 chez certains patients. Les médecins savent désormais qu’une des particularités du Covid-19, dû au coronavirus SARS-CoV-2, est dans une proportion importante de cas le déclenchement d’un « orage de cytokines » (aussi nommée lymphohistiocytose hémophagocytaire secondaire).

Des marqueurs permettraient d'anticiper l’aggravation du Covid-19 chez certains patients

Il s’agit d’une hyperinflammation qui se traduit par la libération massive et autoentretenue de cytokines (les interleukines IL6, IL2, IL7, IL10, le TNF-alpha…), des molécules impliquées dans l’activation et le contrôle du système immunitaire. Cette réponse aberrante au virus entraîne une hypertension artérielle, une désorganisation de la paroi des capillaires sanguins, des œdèmes tissulaires, une hypoxie… conduisant à la défaillance d’un ou plusieurs organes qui peut être fatale. Il est donc urgent de mieux comprendre les mécanismes de cet orage cytokinique. Le nouveau virus apparu en Asie inquiète les scientifiques. Les scientifiques sont de plus en plus préoccupés par le nouveau virus qui se propage en Asie.

Le nouveau virus apparu en Asie inquiète les scientifiques

Le nombre de personnes atteintes de cette maladie respiratoire a plus que doublé ces derniers jours. Le 20 janvier, les responsables chinois ont signalé 136 nouveaux cas à Wuhan, où l’épidémie a démarré, ainsi qu’une série de nouveaux cas ailleurs en Chine. La Corée du Sud a également rapporté son premier cas d’infection. Le nombre total de cas confirmés est maintenant de 221, dont 217 en Chine. Coronavirus : un vaccin en un temps record ? À Seattle, dans l’État de Washington, aux États-Unis, quatre adultes ont déjà reçu une injection.

Coronavirus : un vaccin en un temps record ?

Ils sont les premiers d’un groupe de 45 participants qui, dans les prochains jours, recevront une dose d’un vaccin expérimental mis au point dans le cadre d’un partenariat entre l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et l’entreprise Moderna, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, à l’autre bout du pays. C’est ainsi que le premier essai clinique de phase I pour un éventuel vaccin contre le SARS-CoV-2 a commencé. Rappelons que la phase I n’est que le début d’un long processus visant à tester la sécurité et l’efficacité d’un produit à visée thérapeutique. Un antigrippal contre le Covid-19 ? Dans la course mondiale à la mise au point d’un traitement contre le nouveau coronavirus, il est beaucoup question de repositionnement de médicaments connus pour d’autres effets, et dont on cherche à tester l’efficacité contre le SARS-CoV-2.

Un antigrippal contre le Covid-19 ?

C’est le cas d’antiviraux contre le VIH, de l’antipaludéen chloroquine, mais aussi du favipiravir, prescrit d’ordinaire contre la grippe dans les pays d’Asie orientale (Chine, Japon…). Le 18 mars 2020, les autorités chinoises, et notamment Zhang Xinmin, le directeur du centre national pour le développement des biotechnologies, ont annoncé que ce dernier médicament serait efficace contre le SARS-CoV-2. Un essai clinique mené auprès de 320 malades, à Wuhan et à Shenzhen, aurait donné de bons résultats. Le sang des patients guéris du Covid-19 pourrait sauver des vies. Les hôpitaux de New York se préparent à utiliser le sang de patients ayant surmonté le Covid-19 comme antidote potentiel à la maladie.

Le sang des patients guéris du Covid-19 pourrait sauver des vies

Les chercheurs espèrent que l’approche consistant à transfuser les malades avec le sang chargé d’anticorps de ceux qui ont survécu à l’infection aidera la métropole – l’épicentre de l’épidémie aux États-Unis – à éviter le sort de l’Italie, où les unités de soins intensifs sont tellement saturées que les médecins doivent choisir les patients qui bénéficieront des respirateurs artificiels. Ces efforts font suite à des études menées en Chine portant sur le plasma sanguin de patients guéris du Covid-19. Covid-19 : le point sur les tests de diagnostic. Les tests de diagnostic du Covid-19 sont un outil essentiel pour suivre la propagation de la pandémie.

Covid-19 : le point sur les tests de diagnostic

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a demandé à plusieurs reprises aux agences sanitaires de faire du dépistage du coronavirus une priorité absolue, mais la réponse internationale a été inégale. Grâce à une combinaison de réglementation propice et de préparation logistique, certains pays, comme la Corée du Sud et Singapour, ont pu déployer rapidement des campagnes massives de tests portant sur des milliers d’individus ; mais ailleurs, plusieurs pays ont eu du mal à se mettre au diapason. Pendant ce temps, aux États-Unis, face aux retards de plusieurs semaines des hôpitaux et des fabricants, les laboratoires de recherche universitaires ont développé leurs outils diagnostiques afin de répondre aux besoins.

Covid-19 : le point sur les tests de diagnostic. Hydroxychloroquine : un essai qui déçoit. La chloroquine et son dérivé moins toxique, l’hydroxychloroquine, sont au centre d’un débat passionné qui divise la population et jusqu’à la communauté scientifique.

Hydroxychloroquine : un essai qui déçoit

Ces composés à l’origine antipaludéens sont-ils, oui ou non, efficaces ? Pour répondre, une seule solution : comme pour tous les médicaments, ils se doivent d’être testés dans des conditions rigoureuses répondant aux standards partagés par tous les chercheurs afin de mieux permettre les vérifications et les contre-expertises. Un avis ne peut s’établir que sur la base de la littérature scientifique regroupant les articles validés par les pairs. À ce titre, une étude récente est un peu passée inaperçue : on la doit à l’équipe de Hongzhou Lu, de l’université Fudan, à Shanghai, en Chine. Ils ont évalué l’efficacité et la dangerosité de l’hydroxychloroquine (déjà prescrite contre le lupus et la polyarthrite rhumatoïde) chez 30 malades atteints du Covid-19 n’ayant jamais été traités par un autre médicament. Résultat ?

Des marqueurs permettraient d'anticiper l’aggravation du Covid-19 chez certains patients. Des marqueurs permettraient d'anticiper l’aggravation du Covid-19 chez certains patients. Le BCG, une protection contre le SARS-CoV-2 ? Au tout début des années 1920, Albert Calmette et Camille Guérin mettent au point le vaccin contre la tuberculose.

Le BCG, une protection contre le SARS-CoV-2 ?

Il s’agit d’une souche de bacille tuberculeux bovin (Mycobacterium bovis, proche de Mycobacterium tuberculosis, à l’origine de la tuberculose humaine) qui a perdu de sa virulence en croissant sur un milieu particulier, au départ riche en bile. Devenu depuis un « médicament essentiel » selon l’Organisation mondiale de la santé, il est revenu sur le devant de la scène dans le cadre de la pandémie de Covid-19, à la faveur d’une étonnante observation : les effets secondaires positifs.

Tout part d’observations épidémiologiques faites par l’équipe de Gonzalo Otazu, de l’institut de technologie de New York, aux États-Unis, et rapportées dans une prépublication (non examinée par les pairs) publiée le 28 mars 2020. Le groupe met en avant une corrélation entre la gravité de la pandémie, et notamment le nombre de décès, et la vaccination par le BCG. Une mémoire de l’immunité innée ! Les eaux usées, un indicateur de l’ampleur de la pandémie. Dans le monde, plus d’une dizaine d’équipes de recherche ont commencé à analyser les eaux usées pour détecter le nouveau coronavirus. Ils souhaitent ainsi estimer le nombre total d’infections dans une communauté, et ce d’autant plus que la majorité de la population ne sera pas testée. Cette méthode serait également indiquée pour détecter le retour du coronavirus. Les chercheurs ont en effet trouvé des traces du virus aux Pays-Bas, aux États-Unis et en Suède. Comment fonctionnent les masques de protection respiratoire.

Norme FFP2, masque chirurgical ou encore masque fabriqué maison… Ces mots ont envahi notre quotidien avec la pandémie de Covid-19. En tant que physiciens, il ne nous appartient pas de donner des recommandations sur l’usage de ces protections pour minimiser les risques de contamination. En revanche, nous pouvons nous intéresser aux mécanismes physiques mis en œuvre dans leur fonctionnement. Les routes du Covid-19 révélées par les gènes. Le 28 février 2020, Christian Drosten, directeur de l’institut de virologie à l’hôpital universitaire de la Charité, à Berlin, indique sur son compte Twitter qu’il a, avec son équipe, séquencé le nouveau coronavirus, le SARS-CoV-2, provenant d’un patient berlinois infecté en Italie.

Le génome ressemblait beaucoup à celui du virus d’un autre malade, habitant quant à lui Munich, en Bavière. Or ce patient était un maillon de la première chaîne d’infection découverte en Allemagne à la fin du mois de janvier. Le virologue en a déduit que l’épidémie en Bavière n’avait pas été complètement vaincue et que le virus avait franchi les Alpes pour atteindre l’Italie sans être détecté. De fait, les deux séquences portaient les trois mêmes mutations qui les distinguaient des premiers échantillons venus de Chine. Une autre explication était toutefois possible : une variante chinoise du virus déjà porteuse des trois mutations aurait pu atteindre les deux pays simultanément. Plus lent que la grippe. Les routes du Covid-19 révélées par les gènes. Microbiote et SARS-CoV-2 : des liens insoupçonnés. Le Covid-19 est essentiellement une infection du système respiratoire, des muqueuses nasales jusqu’au plus profond des poumons et les symptômes sont localisés dans cette région, de la toux à la détresse respiratoire.

Pour autant, le système digestif et les intestins ne sont pas toujours épargnés. De fait, plusieurs malades souffrent de désordres gastro-intestinaux : diarrhées, vomissements… De tels symptômes sont-ils rares ? Non, à en croire une étude chinoise menée par Lei Pan, de l’université de Binzhou, en Chine. Le suivi de 204 malades (confirmés par RT-PCR) a révélé que près de la moitié d’entre eux souffraient de troubles digestifs qui sont allés s’aggravant à mesure que l’infection par le coronavirus empirait.

On a également découvert de l’ARN viral dans les selles de malades et même des virus « vivants ». Une autre observation relie le coronavirus aux intestins. Des transplantations de microbiote plus contrôlées. Un ver marin contre la détresse respiratoire. L’idée peut déconcerter, mais le ver arénicole Arenicola marina, le même dont on repère la présence sur les plages par les petits tortillons laissés à la surface du sable, pourrait aider les malades du Covid-19 en détresse respiratoire dans les hôpitaux.

De quelle façon ? Grâce à son hémoglobine ! C’est ce que pensent certains réanimateurs qui ont contacté la société Hemarina, basée à Morlaix, et fondée par Franck Zal, ancien chercheur en biologie marine au CNRS, qui promeut depuis longtemps les qualités de cette hémoglobine spéciale, dénommée M101.