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Des expositions virtuelles | du côté du cinéma

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Sélection d'expositions virtuelles

Www.beauxartsmagazine.com/beaux-arts-magazine/5-magazine.htm. Le Cinéma Expressionniste Allemand. Le néoréalisme italien. L'atelier des photographes. David Cronenberg : exposition virtuelle. Peau d'Ane, Demy et le merveilleux. Amos Gitai - Des territoires à venir. Ainsi, les personnages rencontrés par Amos Gitai lors du tournage de Wadi en 1981, notamment Miriam et Youssouf, réapparaissent en 1991 (Wadi, dix ans après) et de nouveau en 2001 (Wadi Grand Canyon).

Wadi Rushmia devient un lieu de coexistence où la caméra se focalise peu à peu sur le personnage de Miriam, suivie par la suite sur son nouveau lieu d’habitation, dans l’évolution de son rapport au Wadi. Mais plus que des suites, ces films sont l’approfondissement de thèmes fondamentaux dans l’univers du cinéaste. Wadi, dix ans après (1991) Photographie de plateau Les personnages, les thèmes et les lieux ne sont pas les seuls à circuler dans la filmographie de Gitai. L’Ecclésiaste« Il y a un moment pour tout, et un temps pour chaque chose sous le ciel : Un temps pour engendrer, et un temps pour mourir ; un temps pour planter, et un temps pour arracher. Golem, l’esprit de l’exil (1991) Hanna Schygulla. Liron Levo (1972-)Cet acteur israélien débute sa carrière à la télévision en 1998. Stanley Kubrick, aux croisements d'une œuvre.

Roberto Rossellini , une passion didactique. Une affiche pour Mon Oncle par Pierre Etaix. Carte du site | David Cronenberg : exposition virtuelle. Exposition virtuelle sur le cinéma d'animation. Zoom sur... Le Théâtre optique d'Emile Reynaud. Story-board de cinéma : des esquisses pour un film. Le portrait en photographie. Censure et cinéma | Sciences Po. Présentation - Brune Blonde, l'exposition virtuelle. Le cinéma a fait des cheveux de femmes un motif essentiel de son esthétique et de sa mythologie. Héritier de la peinture et de la littérature, il prolonge cette fascination pour la chevelure féminine et la gestuelle qui lui est liée. Dès son origine, les cinéastes et leurs chefs opérateurs ont vu tout le parti qu'ils pouvaient tirer des cheveux comme forme et matière privilégiées dans la construction plastique de leurs plans.

Les grands cinéastes de la chevelure (Hitchcock, Mizoguchi, Buñuel, Antonioni, Bergman, Godard, Lynch, Fassbinder et d'autres) se sont emparés de la richesse émotionnelle des cheveux de femmes, auxquels était donnée pour la première fois la grâce du mouvement. Ce motif détenant dans leurs films une part du mystère de ce que leur création a de plus intime et singulier.

Cet intérêt du cinéma pour la chevelure traverse aussi la grande Histoire dont elle accompagne les mutations et les heures les plus sombres. Alain BergalaCommissaire de l'exposition Brune/Blonde.