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Art et culture

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Art21. Culture - Programme du mois - Instituto Cervantes de Paris. Pour la première fois à Paris, une exposition sur le Juan Gris dessinateur de presse, c’est-à-dire le Juan Gris pré-cubiste des années 1904-1914. La compilation de la collection de dessins satiriques de Juan Gris, d’Emilio Ferré, a demandé de nombreuses années de recherche, de suivi et d’authentification. Elle constitue le socle de cette exposition.Se plonger dans ces singuliers dessins pré-cubistes, très bien étudiés dans le catalogue de l’exposition par Serge Fauchereau, grand connaisseur du cubisme et de la presse satirique de l’époque, c’est découvrir également ce graphisme raffiné, géométrisant, anguleux, qui parfois préfigure les sublimes réalisations du Juan Gris cubiste. Le 10 avril à 18h30 aura lieu une table ronde de présentation de l'exposition avec la participation de Serge Fauchereau, critique d'art, Emilio Ferré, collectionneur et Juan Manuel Bonet, directeur de l'Instituto Cervantes de Paris.

EL CULTURAL. Revista de actualidad cultural. Le Beau Vice. Les pas perdus. « Elle est retrouvée. Quoi ? – L’Éternité. C’est la mer allée. Avec le soleil. » Rimbaud « Les lourdes voitures massives, espèces de carrosses à la Louis XIV, dorés et agrémentés par le caprice oriental, d’où jaillissent quelquefois des regards curieusement féminins, dans le strict intervalle que laissent aux yeux les bandes de mousseline collées sur le visage ; les danses frénétiques des baladins du troisième sexe (jamais l’expression de Balzac ne fut plus applicable que dans le cas présent, car, sous la palpitation de ces lueurs tremblantes, sous l’agitation de ces amples vêtements, sous cet ardent maquillage des joues, des yeux et des sourcils, dans ces gestes hystériques et convulsif, dans ces longues chevelures flottant sur les reins, il vous serait difficile, pour ne pas dire impossible, de deviner la virilité). » Baudelaire Lire la suite → Revue art contemporain - revue art contemporain.

Le blog espace-holbein. Paris Photographies | A la découverte des expositions photographiques à Paris. Découverte Villes éteintes de Thierry Cohen Expositions Lynette Yiadom Boakye à la biennale de Lyon Quai Branly Luis Carlos Tovar à Photoquai Latest Posts. Ouvretesyeux. Photo Sensible. Xavier Barral publie ce qui pourrait être l'ouvrage le plus complet à ce jour de l'oeuvre de Stephen Shore, avec 200 images, dont certaines présentées pour la première fois. C'est le catalogue accompagnant l'exposition du photographe américain à la fondation Mapfre, cette année. Le livre court des années 70 et sa série Uncommon Places, jusqu'à aujourd'hui et les images prises en Ukraine. A partir des années 70, Stephen Shore décide d'utiliser la couleur, jusque là réservée à la photographie commerciale, publicitaire.

Cet artiste inspiré par Walker Evans et passé par la Factory d'Andy Warhol, s'intéresse au banal, à l'anodin, à l'invisible, comme Eugène Atget s'intéressait à ce qui n'était pas considéré comme un sujet photographique. Le livre comporte également un très long entretien avec le critique David Campany, couvrant toute sa carrière. STEPHEN SHORE, éditions Xavier Barral. 320 pages. 49€ Trail's End Restaurant, Kanab, Utah, August 10, 1973. Du fil à retordre.

Paradoxe de notre époque : dans les lieux dévolus à l’art, on trouve de plus en plus de "morceaux de haute fiente", selon l'expression de Céline, mais en revanche les objets du quotidien n’ont jamais été aussi beaux. Des smartphones aux lampes, des voitures au mobilier urbain, nous évoluons dans un environnement de plus en plus stylisé et scénographié. L’activité artistique se voit désormais incorporée à l’univers marchand.

Apple est l’emblème de cette nouvelle ère. Son fondateur, Steve Jobs, n’a-t-il pas été présenté comme le Leonard de Vinci du XXIe ? « Nos voitures sont de véritables objets d’art », proclame une publicité pour Mercedes. En son temps déjà, Baudelaire vantait « la haute spiritualité de la toilette ». Cette Esthétisation du monde, pour reprendre le titre de l’essai passionnant de Gilles Lipovetsky et Jean Serroy publié par Gallimard, serait le nouveau visage du capitalisme. L’« individu hypermoderne » ne saurait se résumer à son goût de la facilité et de l’immédiateté. Musiques-Opéra-Danses. Art et caetera. Inicio. Derecho y Cultura. Por Carlos Padrós Reig Profesor del Departamento de Derecho Público y de Ciencias Historicojurídicas, Área de Derecho Administrativo, Universidad Autónoma de Barcelona La semana pasada se presentó la obra “EL CANON DIGITAL A DEBATE.

Revolución tecnológica y consumo cultural en un nuevo marco jurídico-económico” elaborada bajo la dirección de Carlos Padrós Reig y Jordi López Sintas. Desde hace casi una década, el Centro de Estudios e Investigación en Humanidades se dedica a investigar varios aspectos de las ciencias sociales en relación a las manifestaciones culturales, su producción y consumo.

Uno de los sectores de la Cultura contemporánea actual que se somete a más debate público es precisamente el de la propiedad intelectual, la remuneración de los creadores y los nuevos modos de acceso y consumo culturales. Para leer la reseña completa de esta obra puede consultarse el siguiente enlace. Cuerpo y tiempo. Desmontar el espacio –con la pintura El trabajo me ha llevado a Chile durante unas semanas, y aquí, en Santiago, he tenido ocasión de ver las dos hermosas exposiciones dedicadas a Roberto Matta (1911-2002), que suponen todo un reencuentro de este gran artista con su nación de origen en el centenario de su nacimiento. En realidad Matta fue un nómada: partió de Chile en 1933 para instalarse en París. A partir de 1939, vivió en Nueva York. Y, finalmente, desde 1949 hasta el final de su vida, residiría entre Francia e Italia. En el Centro Cultural La Moneda se presenta una muestra con más de cien obras, provenientes de importantes museos y colecciones, que permite una sólida visión de conjunto de su trayectoria, desde la década de los treinta hasta los años finales.

Roberto Matta: Morfología psicológica (1939). Óleo sobre lienzo, 90 x 116 cm. Colección Mrs. En el Centro Cultural La Moneda, Santiago de Chile. Roberto Matta: El ojo del alma es una estrella roja (1970). El arte de husmear de Carlos Jiménez. Hermano Cerdo: Literatura y Artes Marciales » Las Lecturas de 2010. Llegó el momento. Esta es la tercera convocatoria dirigida a nuestros lectores y colaboradores para que nos manden sus lecturas de 2010. Desde que la revista The Millions lanzara su serie “A Year in Reading”, saber qué es lo que los otros leen se ha convertido en una experiencia sorprendente, una lectura algo neurótica y a veces un ejercicio de profunda envidia. Quienes conforman la piara desean que si ninguno de ustedes pudo ganarse la lotería ni el premio Planeta al menos sí hayan tenido grandes lecturas en lo que va del año. Si quieren colaborar con nosotros lo único que tienen que hacer es mandarnos sus lecturas a hermanocerdo (en) gmail con el subject: “También soy un/a cerdo/a lector/a” Adicionalmente, tendremos disponible una entrada en el blog para que aquellos que lo consideren justo nos compartan en los comentarios sus “No lecturas de 2010″, aquellos libros que abandonaron por aburrimiento, enojo, envidia, tristeza o lo que sea.

Comenzamos: 14. - Javier G. 27.- Javier A. 31.- J. Amateur d'art | Lunettes Rouges.