Download Undercover-Economist-Stakes-in-kidneys-FT.com_.pdf for free - Ebookbrowse.com - Ebook Search & Free Ebook Downloads. Roth-lecture_slides.pdf (Objet application/pdf) Alvin Roth and Lloyd Shapley Win Nobel in Economic Science. Nobel prize for economics won by Alvin Roth and Lloyd Shapley. How to find a mate is one of the oldest problems in the world and one of many modern answers is to go on a speed dating evening.
But most speed daters would be surprised to learn that the concept was based on academic work by an economist and a mathematician who have been honoured for their pioneering work with the Nobel prize for economics. Fifty years ago, Lloyd Shapley became the godfather of modern matchmaking when he wrote a paper in which he sought to answer the question of how individuals in a group of people could be paired up when all had different views on who might be their best partner. His work was later developed by Alvin Roth, who found other practical uses for the approach, including matching kidney donors with patients, and to make sure that students were allocated one of the schools of their choice. Roth, 60, is a professor at Harvard Business School, but currently is a visiting professor at Stanford University. "Now, I'm ahead of my father," Shapley said. Le prix Nobel d'économie consacre deux spécialistes de la théorie des jeux.
LE MONDE | | Par Jean-Marc Daniel - professeur à l'ESCP Europe Après avoir récompensé en 2011 des macro-économistes, le jury Nobel a décidé, cette année, de revenir à ce qui fut le fondement de la pensée économique, à savoir la théorisation des ressorts profonds de l'action humaine.
Et le ressort initial de cette action est l'intérêt. Les deux Prix Nobel de cette année – les deux Américains Lloyd Shapley et Alvin Roth – ont consacré leurs recherches à ce sujet, au coeur de la vie quotidienne. Lors d'un échange, par exemple, le consommateur consent un sacrifice, en abandonnant une partie de son revenu. Quant à l'augmentation de sa richesse personnelle, elle s'identifie à la satisfaction que lui procurent les objets acquis – ce qui est plus difficile à quantifier.
Les limites du gouvernement Sachs. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Marc Roche (correspondant à Londres) La nomination de Mark Carney, le patron de la Banque du Canada, au poste de gouverneur de la Banque d'Angleterre, a relancé la polémique sur la puissance de la banque d'affaires américaine Goldman Sachs.
En effet, à l'instar de Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne (BCE), d'Antonio Borges, chargé des privatisations au Portugal ou de Mario Monti, président du conseil italien, le futur responsable de "la vieille dame de Threadneedle Street" est un ancien de Goldman Sachs. Les détracteurs du célèbre établissement financier new-yorkais ont beau jeu de souligner dans la foulée que ledit Mark Carney a succédé à Mario Draghi à la tête du Conseil de stabilité financière créé par le G20 en vue de surveiller les institutions financières. Voilà donc Goldman Sachs qui occupe de nouveau le devant de la scène. Les maladresses de son PDG, Lloyd Blankfein, qui affirme "faire le travail de Dieu", ont écorné son image. Goldman Sachs, le trait d'union entre Mario Monti, Lucas Papadémos et Mario Draghi. Volcker sec 619 study final 1 18 11 rg.pdf (Objet application/pdf)
Secret Goldman Team Sidesteps Volcker After Blankfein Vow. Sitting onstage in Washington’s Ronald Reagan Building in July, Lloyd C.
Blankfein said Goldman Sachs Group Inc. (GS) had stopped using its own money to make bets on the bank’s behalf. “We shut off that activity,” the chief executive officer told more than 400 people at a lunch organized by the Economic Club of Washington, D.C., slicing the air with his hand. The bank no longer had proprietary traders who “just put on risks that they wanted” and didn’t interact with clients, he said. Goldman Sachs, enquête sur une société secrète. M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Marc Roche CONTENT DE LUI, de son sort, de son employeur, Yoël Zaoui affirmait sans broncher que tout allait bien dans le meilleur des mondes.
C'était en octobre 2008, la clameur de la crise financière semblait bien éloignée de la salle de réunion glacée de Goldman Sachs International à Londres où le Français, à l'époque codirecteur de la banque d'investissement en Europe, nous avait longuement reçu dans le cadre d'une enquête du Monde sur la banque la plus puissante de la planète. Trois ans et demi plus tard, le petit prince de cette finance impitoyable est tombé de son piédestal. Après vingt-quatre ans de bons et loyaux services à Goldman Sachs, celui qui avait obtenu le statut d'associé en 1998 avant d'être désigné au saint des saints de la banque d'affaires - le management committee (comité de gestion) – a démissionné début avril, à 51 ans. L'histoire – et celle des entreprises n'y échappe pas – a souvent de mordantes ironies. Comment Goldman Sachs contourne la loi sur le "prop trading" Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Les banquiers peuvent bien battre leur coulpe, comme le patron de la branche d'investissement d'UBS, qui a reconnu avoir été trop "arrogant", ou comme la Banque d'Espagne, qui a admis des "carences" et des "imprécisions" dans son travail de supervision du secteur, business as usual, la régulation attendra.
L'enquête de l'agence Bloomberg montre à quel point les grands noms savent contourner la loi quand il s'agit de reprendre les vieilles habitudes. Visé dans cette enquête, le plus grand, le plus prestigieux de ces noms, celui de la banque d'affaires Goldman Sachs. Il y a à peine six mois, son président, Lloyd Blankfein, jurait ses grands dieux que la banque avait cessé le trading pour compte propre. Devant plus de quatre cents personnes, à Washington, le responsable affirmait avoir "supprimé cette activité". 3-24042012-AP-FR.PDF (Objet application/pdf)
ENTREPRISE. BANQUE. Ces 147 sociétés qui dominent le monde. L’économie mondiale est hyperconcentrée, selon une équipe de chercheurs de Zurich.
Leur étude souligne la fragilité d’un système financier contrôlé par un petit groupe de multinationales, liées entre elles par des participations croisées. La science apeut-être bien confirmé les pires craintes des indignés qui ont manifestécontre le pouvoir financier. L’étude des relations entre 43 000 multinationales a en effet mis en évidence l’existence d’un groupe relativementrestreint de sociétés – pour la plupart des banques – jouissant d’une influencedisproportionnée sur l’économie mondiale.
Selon lesspécialistes des systèmes complexes que nous avons interrogés, ces travaux, quifournissent une remarquable tentative d’analyse du pouvoir économique mondial,pourraient servir de base de travail pour définir les moyens de renforcer lastabilité du capitalisme. L’idée qu’unepoignée de banquiers contrôle de vastes secteurs de l’économie mondiale n’estpas nouvelle pour les militants d’Occupy Wall Street.