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Cerveau

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Notre cerveau si fantastique (cours) Physiologie : Neurone - partie 1. Neuroplasticité. Introduction : Un siècle environ d’études neuroanatomiques de plus en plus résolutives ont conduit à préciser l’organisation du système nerveux avec une très grande définition, mais en donnant en contrepartie la notion d’une fixité et d’une constance forte dans l’architecture cérébrale.

Le fait que le cerveau soit constitué quasi exclusivement de neurones postmitotiques renforce cette notion de rigidité structurale, favorisant la recherche de gènes de structure à la base de la mise en place des réseaux nerveux. À ces idées sur le déterminisme génétique de l’organisation anatomique du système nerveux sont associées celles relatives à l’organisation fonctionnelle, relevant d’une conception localisationniste des fonctions cérébrales, issue notamment des travaux de Broca, à la fin du siècle dernier.

Notion de neuroplasticité : considération du caractère dynamique de l’organisation cérébrale et de son fonctionnement – au-delà des questions de régénérescence 1- Prolifération : – interleukine-1, Percer l'un des grands mystères du cerveau. Des chercheurs de l'Université McGill de Montréal découvrent un lien déterminant entre l'hippocampe et le cortex préfrontal. L'une des clés du mystère entourant certains troubles cognitifs et mentaux pourrait mettre en jeu deux structures du cerveau (Le cerveau est le principal organe du système nerveux central des animaux.

Le cerveau traite les informations en provenance des sens, contrôle de nombreuses fonctions du corps, dont la...) que l'on croyait jusqu'à maintenant indépendantes l'une de l'autre, selon un groupe de chercheurs de l'Université (Une université est un établissement d'enseignement supérieur dont l'objectif est la production du savoir (recherche), sa conservation et sa transmission (études supérieures). Aux États-Unis, au moment...)

McGill dirigé par la professeure Yogita Chudasama, spécialiste au Laboratoire du cerveau et du comportement du Département de psychologie. Référence: Apprentissage et mémorisation: le rôle des néo-neurones. La motivation, enfouie au plus profond du cerveau ? L'équipe de Mathias Pessiglione, chargé de recherche Inserm du "Centre de recherche en neurosciences de la Pitié-Salpêtrière" (Inserm/UPMC-Université Pierre et Marie Curie/CNRS) a identifié la partie du cerveau impliquée dans la motivation lors d'une action mêlant effort physique (La physique (du grec φυσις, la nature) est étymologiquement la « science de la nature ». Dans un sens général et ancien, la...) et mental: le striatum ventral. Les résultats de leur étude ont été publiés dans PLoS Biology le 21 février 2012. Les résultats d'une activité (Le terme d'activité peut désigner une profession.) (physique ou mentale) dépendent en partie des efforts consacrés à cette activité qui peuvent être motivés par une récompense.

Par exemple, le sportif est susceptible de s'entrainer "plus intensément" si le résultat lui apporte un prestige social ou monétaire. Représentation 3D du système motivationnel (striatum ventral) activé lors d'un effort physique ou mental. © M. Référence: Neurosciences: approfondir la compréhension de nos souvenirs. Pensée nom féminin (de penser) Ensemble des processus par lesquels l'être humain au contact de la réalité matérielle et sociale élabore des concepts, les relie entre eux et acquiert de nouvelles connaissances.

Définie comme la représentation des idées et de leurs liaisons par l'esprit, la pensée apparaît comme le propre de l'homme – selon la formule célèbre de Pascal : « L'homme est un roseau pensant. » Elle est donc absolument essentielle, et, pour cette raison, elle fait l'objet de nombreuses analyses et critiques. L'éloge de la pensée Pensée et conscience Au sens large, la pensée est l'opération par laquelle le sujet s'aperçoit de ce qui lui advient : « Par le mot de penser, j'entends tout ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l'apercevons immédiatement par nous-mêmes ; c'est pourquoi non seulement entendre, vouloir, imaginer, mais aussi sentir, est la même chose que penser » (Descartes, Principes de la philosophie). Dans cette mesure, elle est ce par quoi le sujet prend conscience de lui-même.

Une mémoire à toutes épreuves ? - Testez votre mémoire. Test_fonctionnement_cognitif.pdf (Objet application/pdf) Les émotions favorisent l’apprentissage. Texte adapté de Même les émotions négatives aident à l’apprentissage publié sur le site de l’Université de Montréal le 17 janvier 2011Le chercheur Claude Frasson de l’Université de Montréal s’intéresse aux effets des émotions sur la mémoire. Par ses travaux, il cherche à concevoir des systèmes tutoriels intelligents qui intègrent la dimension émotionnelle de l’apprentissage. « Pour le chercheur, si les émotions sont la clé qui donne accès à la mémoire, c’est aussi dire qu’elles sont essentielles à l’apprentissage.

On ne peut apprendre sans émotions, qu’elles soient positives ou négatives, affirme-t-il. Ce sont elles qui impriment les évènements dans notre mémoire. » Dans le cadre de sa recherche de maitrise, Ramla Ghali sous la direction de Frasson, a voulu connaitre les émotions les plus susceptibles de favoriser l’apprentissage. Selon que les enfants sont délicats ou agressifs, les stratégies d’apprentissage ne doivent pas être les mêmes. Dernière modification : 11 août 2021. Intérêt du Personnal Knowledge Management en organisation. Résumé : Un grand mérite de la Gestion Personnelle des Connaissances* (PKM) est de remettre l’utilisateur au centre du dispositif KM. Certes ses enjeux en organisation paraissent modestes relativement à d'autres leviers d'action KM. Mais, peu coûteux en moyens, le PKM permet d'obtenir des résultats rapides auprès des opérationnels.

Idéal pour le Knowledge Manager qui doit d'abord faire ses preuves. I. Gagner en performance dans l'utilisation de l'information Les promoteurs du PKM n'hésitent pas à s'opposer aux approches centrées sur la codification ou sur l'échange de connaissances. La surabondance d’informations est l'obstacle majeur rencontré par un grand nombre de collaborateurs. Le PKM se distingue en apportant des outils et des méthodes applicablespar l'opérationnel, pour l'opérationnel, à son niveau individuel. II. Le PKM optimise donc le travail de consommation des informations et des connaissances. III. Le PKM est donc une corde parmi d'autres à l'arc du Knowledge Manager. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX!