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Systéme de santé

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Sans titre. Dépenses en médicaments : le Québec devance toujours le Canada | Avantages. 21 juin 2010 | Cory Cowan | Commenter Alourdies par l’utilisation de médicaments phares pour le traitement de maladies chroniques courantes, les dépenses en médicaments sur ordonnance au Canada ont affiché des taux d’augmentation supérieurs à 10 % au début des années 2000. À la fin de la décennie, les taux d’augmentation avaient passé sous la barre psychologique des 10 %, un grand nombre de ces médicaments ayant perdu la protection de leur brevet et été remplacés par des médicaments génériques à prix plus modique. En dépit de ce ralentissement, il ressort de l’analyse annuelle de ESI Canada sur les tendances en la matière que les dépenses en médicaments progressent plus rapidement d’une année à l’autre au Québec que dans le reste du pays. Le Québec continue à devancer le reste du Canada au chapitre des dépenses… Au début de la décennie, les dépenses moyennes en médicaments par demandeur, au Canada, se montaient à 329 $.

Elles ont plus que doublé depuis. Tableau 1. Tableau 2. Comment définir une position progressiste sur les transferts canadiens en santé ? L’actuel débat sur les transferts fédéraux de santé accapare beaucoup d’attention. Et pour cause, les sommes en jeu sont considérables, elles soulèvent des questions idéologiques importantes, et les confrontations entre Ottawa et les provinces sur cet enjeu donnent parfois l’impression de dater du paléolithique.

Le nœud du problème actuel provient de la décision unilatérale du gouvernement conservateur de réduire à 3% la croissance annuelle des transferts fédéraux aux provinces pour la santé. Plusieurs nourrissaient l’espoir que le gouvernement libéral de Justin Trudeau révise la décision de son prédécesseur. Mais la ministre fédérale de la santé, Jane Philpott, a annoncé que son gouvernement avait décidé de maintenir l’approche conservatrice, concédant seulement de possibles montants extra en fonction de priorités décidées par Ottawa, notamment les soins à domicile. La ministre Philpott défend sa position en affirmant qu’elle veut vérifier où va l’argent. Médecins québécois pour le régime public —­­­ Publications. Comment définir une position progressiste sur les transferts canadiens en santé ? CHC » Kiosque en ligne – partage de son expérience. Centre justice et foi, activités publiques.

​Solidarité avec Haïti. Suite au passage de l’ouragan Matthew, Haïti a besoin d’aide d’urgence. Nous pouvons envoyer des dons via : Le Bureau des Missions jésuites, via PayPal ou par chèque libellé à Bureau des Missions jésuites (25 Jarry Ouest, Montrél, QC, H2P 1S6 Développement et Paix-Caritas Canada, qui a lancé une campagne majeure pour Haïti. Projection, suivie d’un débat, du documentaire La tourmente grecque II, qui enquête sur la situation de la Grèce. Face au fait que le gouvernement de Syriza s’est finalement plié aux exigences des institutions de la zone euro, en dépit du « Non » massif que les Grecs ont manifesté lors du référendum, le film essaie d’expliquer cette décision, tout en se demandant en quoi une alternative était possible. ​ Jeudi, le 27 octobre de 17 h à 19 h 30 au Centre St-Pierre Actvitié organisée par le Centre de formation populaire, en collaboration avec le Centre St-Pierre et le Réseau pour un discours alternatif en économie.

Plus d’informations. CSBE Communiqué Panier services Voix Citoyenne. Les Québécois entre drogue, dépression et obésité. De plus nombreux Québécois sont obèses, accros aux drogues ou en détresse psychologique qu’en 2008, révèle l’enquête sur la santé de la population québécoise, réalisée en 2014-2015, par l’Institut de la statistique du Québec. Dans le cadre de cette enquête, 45 760 personnes âgées de 15 ans ou plus, réparties dans 17 régions du Québec, ont répondu par téléphone ou par Internet à un questionnaire portant sur leurs habitudes de vie et leur état de santé physique et mentale. La compilation des données a montré que le nombre des Québécois en détresse psychologique s’est accru depuis 2008 et que ce sont surtout les femmes, plus précisément les jeunes femmes, qui sont affectées.

En 2015, 33 % des Québécoises se situaient au niveau élevé de l’échelle de détresse psychologique, contre 24 % des hommes. Le cannabis populaire Obésité Autre signe de détérioration de l’état de santé des Québécois : l’obésité. L’économie : le malade imaginé. Ce qui surprend dans ce reportage, aussi pertinent et instructif soit-il, c’est le fait que le phénomène relaté soit qualifié d’épidémie. Le mot a peut-être été choisi au hasard ; il n’en demeure pas moins que ce choix révèle la manière dont nous appréhendons couramment diverses réalités socioéconomiques, soit comme des phénomènes d’ordre naturel ou physique. Selon cette perspective fort répandue, la pauvreté est ainsi une maladie que l’on « attrape », par manque d’éducation par exemple. L’économie peut quant à elle être « malade du pétrole » ou accroc aux énergies fossiles comme d’autres s’entichent de la drogue ou de l’alcool.

Et les marchés boursiers, qui sont dotés de vie, ont comme vous et moi une « humeur » variable. Ces expressions font image et on pourrait croire qu’elles nous aident à mieux comprendre des phénomènes économiques autrement fort complexes. Ce qui m’amène au deuxième article qui a retenu mon attention. « Allez donc voir ailleurs... » Dernièrement, j’ai eu la chance de jaser un brin avec une sympathique travailleuse sociale du CLSC de la région. Elle faisait suite à une demande d’aide que j’avais placée avec l’aide de mon médecin, quelques semaines plus tôt. Je vous épargne les détails, mais l’échange qui suivit fut constructif, agréable, rassurant. Elle prenait le temps… Jusqu’à ce qu’elle n’ait plus le temps. Les minutes ont filé et on a esquissé un beau tableau de mon histoire, de mes attentes, de mes besoins… Puis elle m’a demandé si j’avais accès à des assurances grâce à mon travail.

Je lui répondis par la négative. Ensuite, elle me dit qu’il y avait beaucoup de ressources intéressantes au privé. Finalement, elle m’a fourni une liste d’organismes communautaires qui pourraient potentiellement m’aider, parce qu’« on ne se le cachera pas, pour avoir des services au CLSC, ça prend des mois et des mois ». Alors, elle m’a conseillé d’aller voir ailleurs. Eh bien, n’en déplaise à M. Médicaments : plus efficaces chez les hommes que chez les femmes. Les médicaments soignent mieux les hommes que les femmes. C'est ce que révèle une enquête publiée dans le mensuel Science & Vie du mois d'août. Par exemple, l'organisme féminin élimine moins vite les somnifères et autres psychotropes (antidépresseurs, anxiolytiques, etc.) que celui des garçons, il réagit à une demi-dose de vaccin contre la grippe alors qu'il faut une dose pour les hommes, l'aspirine prévient surtout l'infarctus chez eux tandis qu'il protège plutôt le cerveau et de l'AVC chez elles...

Ce médicament « devrait donc être prescrit différemment selon le sexe et le type de pathologie encourue », indique le magazine. Une différence de métabolisme En cause, la différence de métabolisme entre les deux sexes. Celle-ci est démontrée dans de nombreuses études scientifiques. Mais si les traitements n'agissent pas de la même manière, leurs effets indésirables non plus.

Des tests cliniques surtout masculins Les maladies aussi sont sexistes L'infarctus sous diagnostiqué chez les femmes. Quand les médicaments menacent la santé des femmes. Avant leur mise en marché, les médicaments sont testés sur des animaux de laboratoire, puis sur des humains. Dans les deux cas, les femelles et les femmes demeurent largement sous-représentées, quand elles ne sont pas carrément exclues des recherches scientifiques. Une omission qui met chaque année la santé de millions de femmes à risque. Fluctuations hormonales, risques associés à la grossesse : jugées trop complexes, les femmes ont longtemps été exclues des études sur les médicaments. Si les biologistes savent que le corps des femmes et des hommes ne réagit pas de la même façon, la communauté médicale, elle, a longtemps ignoré cette réalité. Un phénomène qui pose problème puisqu’on sait aujourd’hui que les femmes ne métabolisent pas les médicaments de la même manière que les hommes. « En science, on essaie d’éliminer les facteurs confondants et variables.

Bienvenue à la médecine de genre « Il faut changer la façon dont nous voyons la médecine et la santé. Les femmes plus médicamentées. Les entreprises de l’industrie. Le secteur des industries des produits pharmaceutiques et biotechnologiques du Québec compte environ 172 entreprises ce qui représente 17 000 emplois. Le secteur se divise en trois grands sous-secteurs composés des entreprises pharmaceutiques innovatrices et génériques, des entreprises de biotechnologie en santé animale et humaine, en agroalimentaire et nutraceutiques, en environnement et biomatériaux, des centres de recherche clinique ainsi que des fabricants d’ingrédients actifs.

Pharmaceutique innovatrice Les entreprises pharmaceutiques innovatrices ont pour la plupart leur siège social mondial hors du Canada. Elles opèrent dans différents types activités tels : la recherche fondamentale, le développement de produits, la recherche clinique, la synthèse chimique, la fabrication et la mise en marché de produits d’ordonnance et de médicaments en vente libre.

Entreprises - INNOVATRICES Canlac (Abbott) Pharmaceutique générique et entreprises de fabrication sous contrat Biotechnologie. 160605 bullinfo. Les médecins mieux rémunérés pour les patients vulnérables. Québec modifiera la rémunération des médecins pour favoriser les visites à domicile pour les patients les plus vulnérables, au détriment des autres. Alors que le tarif d’une visite à domicile pour un patient en perte considérable d’autonomie passera de 85 à 127 $, il diminuera légèrement pour les autres, confirme la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ), qui a négocié cet arrangement avec le ministre de la Santé et des services sociaux Gaétan Barrette. Si sur place une deuxième personne nécessite un examen, souvent le conjoint, le tarif passe de 66 à 98 $ la visite. L’enveloppe globale de rémunération des médecins qui font des visites à domicile augmentera, passant de 25 à 30 millions de dollars, affirme la FMOQ, qui y voit une mesure positive pour les patients qui en ont le plus besoin.

Cette nouvelle grille de rémunération doit être approuvée incessamment par le Conseil du trésor. Elle doit entrer en vigueur en juin prochain. Baisse pour les réguliers. Un service victime de la nouvelle grille tarifaire. À Saguenay, le service Jonquière-Médic, qui effectue plus de 11 000 visites médicales « d’urgence » à domicile par an, est en péril. La raison ? La nouvelle façon de rémunérer les omnipraticiens à compter du 1er juin favorise la prise en charge, mais décourage les médecins de pratiquer uniquement en sans rendez-vous ou de faire des examens annuels, jugés inutiles.

Un changement de paradigme qui bouleverse les façons de faire. « Le service est devenu indispensable dans la municipalité », a lancé un de ses médecins fondateurs, le Dr Roger Gagnon, en conférence de presse à Saguenay lundi. En entrevue, le Dr Gagnon explique que le simple fait d’éviter le transport ambulancier de plusieurs personnes âgées habitant en résidence par semaine rentabilise totalement Jonquière-Médic pour Québec, selon lui. Le cri d’alarme a suscité l’appui du maire de Saguenay, Jean Tremblay, et du député de Jonquière et chef intérimaire de l’opposition officielle, Sylvain Gaudreault.

Modifications tarifaires. Les délais pour le transfert des ressources jugés irréalistes. Coincés par l’échéancier que leur impose le ministre de la Santé, près d’une dizaine de directeurs de centres de santé et de services sociaux (CISSS et CIUSSS) ont décidé de repousser le calendrier ministériel de transfert de personnel vers les Groupes de médecine de famille (GMF), et ce, même si Gaétan Barrette assure n’avoir donné aucune directive en ce sens. « On a affaire à des humains », ont répété, tour à tour, les porte-parole de la dizaine de CISSS et CIUSSS que Le Devoir a contactés jeudi.

Par cette affirmation, ils tentaient de justifier les retards qu’ils accumulent dans le transfert de ressources des CLSC vers les GMF. Parce qu’il considère que les CLSC ont failli à leur mandat d’offrir des services de première ligne, le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, a annoncé en mars qu’il forcerait le transfert de professionnels des CLSC — surtout des travailleurs sociaux — vers les GMF. Des délais allant jusqu’à un an Un recul du ministre ? Qui se préoccupe des services sociaux à Québec ? Claude Leblond Travailleur social, président de l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec En avril dernier, nous demandions une rencontre avec le ministre de la Santé et des Services sociaux, M.

Gaétan Barrette, afin de faire le point avec lui sur un ensemble de situations qui mettent en péril l’accessibilité, la quantité et la qualité des services sociaux généraux offerts par le réseau public de santé et de services sociaux. Cette demande étant demeurée sans réponse, nous souhaitons faire partager nos inquiétudes avec la population. Les services sociaux font de plus en plus office de parent pauvre dans le tandem santé et services sociaux. Ce déséquilibre entre les deux missions du ministère de la Santé et des Services sociaux se traduit par un recul de la défense des droits sociaux et économiques et de la promotion de la justice sociale. Qui se préoccupe des services sociaux à Québec ? Ma place en santé, j’y tiens ! – Confédération des syndicats nationaux (CSN) Depuis deux ans, notre réseau public de santé et de services sociaux est mis sous pression comme jamais. En plus des compressions budgétaires et des politiques d’austérité, les réformes lancées par le gouvernement Couillard menacent l’universalité et l’accessibilité à des services publics de qualité.

La privatisation tranquille de notre joyau collectif est bel et bien en marche ! L’effritement de nos services publics doit nous inquiéter toutes et tous. Parfaitement conscient que les Québécoises et les Québécois tiennent à leur réseau public, le Dr Gaétan Barrette jure, la main sur le cœur, qu’il ne vise pas la privatisation et que la qualité des services ne sera pas affectée par sa réforme. La réforme Barrette a également fait disparaître la plupart des lieux où la population, les gens du milieu et les utilisateurs des services pouvaient interagir et faire valoir leurs besoins particuliers au sein du système. Contrer le démantèlement du réseau Affiches de la campagne. Le mystère des frais imposés aux patients. Notre système de santé est gratuit, mais les médecins facturent tout de même beaucoup de frais à leurs patients, selon les circonstances. Combien ? C’est LA question, pourtant fondamentale, à laquelle personne ne peut vraiment répondre.

Quand je dis personne, je veux dire ni Gaétan Barrette, ni la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ), ni même le Vérificateur général (VG), qui vient pourtant de déposer un rapport étoffé sur le sujet. Mystère. Le VG a analysé les 388 actes médicaux les plus susceptibles de donner lieu à des factures aux patients. Les 388 actes ne représentent qu’une fraction du total, ne l’oublions pas, puisque les médecins prodiguent, dans les faits, 11 000 actes médicaux différents chaque année. Alors, combien de frais pour ces 388 actes ? Devant l’ampleur de la tâche, le VG a pris un échantillon de 14 actes, pour lequel il a pu avoir un aperçu des frais facturés aux patients. Alors combien ?

Dans le cas des spécialistes, la situation est tout autre. Barrette et « l’échec » des CLSC | Mots Sociaux. Les GMF recevront deux fois plus par patient. Y a-t-il de la place au Québec pour des cliniques dirigées par des infirmières? | Désautels le dimanche. L’arrogance ne séduit pas. Les dessous de la poursuite contre Ottawa pour interdire les frais accessoires en santé. Les frais accessoires échappent à tout contrôle, dénonce le VG | Tommy Chouinard | Santé. Des professionnelles de CLSC lancent un cri du coeur. Au bout du rouleau. Moins d'infirmières, plus de morts? | Mathieu Perreault | Santé. Comment la santé est devenue un enjeu géopolitique, par Dominique Kerouedan. Frais accessoires - Recours judiciaire pour forcer le gouvernement fédéral à faire cesser la.