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Égalité femmes-hommes

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Adoption il y a 20 ans de la Loi sur l’équité salariale : un moment phare pour les travailleuses du Québec. Actualité | lundi 21 novembre 2016 Le Conseil du statut de la femme souligne le 20e anniversaire de l’adoption de la Loi sur l’équité salariale. « Cette loi a été une grande avancée pour les femmes. Elle a permis d’améliorer les conditions salariales de nombreuses travailleuses. Le Conseil est fier d’avoir contribué avec les milieux communautaires, syndicaux et politiques aux débats de société qui ont mené à son adoption », a déclaré la présidente du Conseil du statut de la femme, Mme Eva Ottawa. Le Conseil rappelle que la Loi ne peut à elle seule enrayer les inégalités salariales qui subsistent entre les femmes et les hommes. Communiqué – L’adoption de la Loi sur l’équité salariale, il y a 20 ans : un moment phare pour les travailleuses du Québec. Action travail des femmes. L’équité salariale, 20 ans plus tard. Le 21 novembre 1996, Québec adoptait la Loi sur l’équité salariale, afin que les métiers majoritairement ou traditionnellement féminins soient rémunérés à leur juste valeur.

Bonne nouvelle pour les caissières, adjointes administratives, coiffeuses, préposées aux bénéficiaires… Mais 20 ans plus tard, l’équité est-elle pleinement réalisée? La Gazette des femmes fait le point. Retour dans les années 1990. Les syndicats et les groupes de femmes font pression pour qu’une loi sur l’équité salariale soit adoptée. Après la marche Du pain et des roses en 1995, le gouvernement s’active.

Faisant fi de la partisanerie, les députées péquistes comme libérales offrent leur appui, et en novembre 1996, la loi est adoptée à l’unanimité, portée par la ministre de l’Emploi, de la Solidarité et de la Condition féminine, Louise Harel. En réalité, il était déjà protégé par la Charte des droits et libertés de la personne depuis 1975. L’époque du père pourvoyeur n’était pas non plus très loin. Sisyphe - Les États-Unis haïssent vraiment les femmes. Proches aidantes du baby-boom : le piège financier.

Selon des estimations du Vérificateur général du Québec datant de 2001, mais toujours utilisées aujourd’hui, les proches aidants feraient économiser 4 milliards de dollars au système de santé québécois chaque année. Le poids réel des pertes financières des proches aidants, lui, est moins connu – pertes surtout assumées par les femmes de plus de 45 ans. Une Québécoise sur deux aura à tenir ce rôle au cours de sa vie. Peut-on éviter l’appauvrissement de la prochaine génération d’aînées? Chaque semaine au Canada, 2,2 millions d’heures de travail sont perdues pour les quelque 8 millions de proches aidants qui s’occupent de gens ayant une incapacité, qu’elle soit causée par une maladie, la vieillesse ou un handicap.

Entre janvier et mai 2016 seulement, 95 500 Québécois ont abandonné leur emploi en raison d’« obligations personnelles et familiales », dont 73 500 femmes, estime Statistique Canada. Cinquantenaires sous pression Entreprises embêtées, système de santé engorgé Pression démographique. La femme invisible. Lundi soir, à En mode Salvail, Charles Lafortune nous apprenait que cet été, dans les coulisses de l’émission Déjà Dimanche, François Legault – celui qui voulait faire passer un test sur les valeurs d’égalité homme–femme aux nouveaux arrivants – avait demandé à Sophie Prégent si SON MARI avait déjà pensé se lancer en politique. C’est alors que la maquilleuse du plateau aurait fait remarquer au politicien qu’il s’adressait à la présidente de l’Union des artistes. Les femmes semblent dotées d’un superpouvoir: le don d’invisibilité.

M. Legault avait devant lui la candidate idéale, mais il ne la voyait pas. Pourtant, de tous les chefs de parti au Québec, c’est lui qui devrait être le plus à l’affût des candidatures féminines: avec seulement 23% de candidates, c’est une des critiques qu’on assène le plus souvent à la CAQ. Il n’y a pas qu’en politique que les femmes sont invisibles. Non seulement les femmes sont invisibles, mais leur absence l’est aussi. « En Iran, l’existence d’une femme vaut deux fois moins que celle d’un homme »

La professeure montréalaise Homa Hoodfar, emprisonnée et libérée par le régime iranien, n’a jamais eu peur de se montrer critique envers son pays d’origine. Dans un article cosigné en 2012 avec la dissidente Shadi Sadr, elle décrit une société déchirée entre les forces démocratiques et religieuses, où les femmes doivent lutter sans relâche pour défendre leurs droits. Ce texte, publié dans une revue scientifique française, s’est révélé prémonitoire : Homa Hoodfar évoque la toute-puissance des religieux, qui peuvent opprimer les intellectuels en toute impunité malgré la présence d’un fort courant libéral en Iran. « L’histoire récente de l’Iran montre qu’à défaut de structures démocratiques, un gouvernement religieux tend à glisser vers un fonctionnement dictatorial, usant à la fois de l’appareil d’État et de l’idéologie religieuse pour réprimer la dissidence, en particulier sur les questions de genre fortement contestées », écrivent les auteures.

La volonté de Dieu Monnaie d’échange. Les femmes et l’éducation : qualifications, compétences et technologies. Par Sarah Jane Ferguson Date de diffusion : le 6 juillet 2016 Passer au texte Début du texte Introduction L’économie du savoir canadienne continue de croître, particulièrement dans les domaines de la science, de la technologie, du génie et des mathématiques (STGM).

Parallèlement à ces changements, les femmes au Canada sont de plus en plus instruites et la part de la population active qu’elles représentent est aujourd’hui plus importante que jamais. Le parcours scolaire et le cheminement de carrière des femmes peuvent être analysés au moyen de la métaphore du « pipeline ». Le niveau de scolarité atteint par les femmes a fortement augmenté Les femmes maintiennent leur tendance à long terme vers des niveaux plus élevés de scolarité en étant de plus en plus nombreuses à terminer leurs études postsecondaires (graphique 1a)Note 1. La proportion de femmes de 25 à 64 ans titulaires d’un certificat ou d’un grade universitaireNote 2 s’est accrue plus rapidement que celle des hommes. Fin de l'encadré 4. Femmes et marche du travail au quebec 2016. Oui à l'ambition, disent les femmes! Mais des obstacles persistent... - L'effet A. Communiqué de presse Une première : Sondage L’effet A – Léger sur l’ambition et les Québécoises Oui à l’ambition disent les femmes,mais cela ne suffit pas pour combler leur retardà la haute direction des entreprises Montréal, le 8 septembre 2016 – L’effet A dévoile un tout premier sondage qui porte sur la relation que les Québécoises entretiennent avec l’ambition.

Les résultats sont sans équivoque : 73 % des femmes se disent ambitieuses comparativement à 78 % des hommes. Une question persiste : pourquoi, malgré l’ambition généralisée des femmes, ces dernières occupent-elles seulement 18 % des postes de haute direction et 37 % des postes de gestionnaires au Québec (contre 82 % et 63 % pour leurs collègues masculins*) ? Le sondage jette un regard nouveau sur cette réalité. Pourquoi parler d’ambition ? En somme, c’est en prenant acte de la dynamique actuelle que les entreprises pourront aider les femmes à développer leur plein potentiel et ainsi, à grimper les échelons. Légendes et bonnes ambitions. Le prochain qui me dit que si les femmes n’occupent pas plus de postes de direction dans les entreprises, c’est parce qu’elles ne veulent pas de ces jobs-là, je lui fais avaler page par page le nouveau sondage Léger Marketing mené à la demande de L’effet A.

Publiée hier, la recherche menée auprès de 2002 Québécois en mai dernier montre en effet qu’il y a très peu de différence entre les ambitions professionnelles des hommes et des femmes : 73 % des femmes sondées se disent ambitieuses contre 78 % des hommes. Si seulement 18 % des postes de direction et uniquement 37 % des postes de gestionnaires au Québec sont occupés par des femmes, ce n’est pas donc pas par manque d’envie. Légende urbaine, légende humaine… Appelez ça comme vous voulez. Ce n’est juste pas vrai. Est-ce donc par manque de formation que les femmes ne progressent pas ? Alors que se passe-t-il ? Non. Sauf que voilà. Parce que le changement, explique la femme d’affaires, passera beaucoup par là. Le Quotidien — Femmes au Canada : éducation, qualifications, compétences et technologies.

Diffusion : 2016-07-06 Les jeunes femmes représentent une plus grande part des titulaires d'un baccalauréat ou d'un grade supérieur en sciences, en technologie, en génie et en mathématiques (STGM) que leurs homologues des générations précédentes. Par exemple, en 2011, les femmes constituaient 39 % des diplômés âgés de 25 à 34 ans titulaires d'un grade en STGM, comparativement à 23 % des diplômés âgés de 55 à 64 ans titulaires d'un grade en STGM. Ces constatations proviennent d'un nouveau chapitre intitulé « Les femmes et l'éducation : qualifications, compétences et technologies », publié aujourd'hui dans Femmes au Canada : rapport statistique fondé sur le sexe. Ce chapitre examine les expériences des femmes en matière d'éducation et met l'accent sur les études et les compétences dans les domaines des STGM, qui font partie intégrante de l'innovation et de la compétitivité au Canada.

Le revenu d'emploi augmente selon le niveau de scolarité. Note aux lecteurs Produits. L'Assemblée nationale est sexiste et en voici la preuve. Les femmes ont le droit de se présenter aux élections provinciales depuis 1940, mais sept décennies plus tard, les politiciennes québécoises sont loin d’être les égales de leurs collègues masculins. Temps de parole, postes d’influence et budgets: le pouvoir est encore entre les mains des hommes, révèle une enquête inédite de L’actualité.

Toutes proportions gardées, un homme député intervient en moyenne 33 % plus souvent à l’Assemblée nationale qu’une députée, ses prises de parole sont 40 % plus longues et il dépose également 25 % plus de projets de loi. Une élue prononce en moyenne 185 mots au cours d’une séance de l’Assemblée nationale, et un homme, 245. Autrement dit, 29 hommes seulement auraient suffi pour tenir des propos équivalant — en nombre de vocables — à ceux de l’ensemble des 38 femmes qui ont siégé ces deux dernières années.

Une analyse plus fine des données révèle que l’écart est encore plus grand au sein du cabinet ministériel. Quand les femmes mènent la danse Méthodologie. Analyse différenciée selon les sexes. Les Brutes et les privilèges | Les brutes | Télé-Québec. Vitrine sur le vieillissement - Revenu - Coefficient de Gini du revenu disponible, Québec, 1993-2011. Vitrine sur le vieillissement - Revenu - Revenu disponible des particuliers, Québec, 1993-2011. Importants progres et iniquites tenaces. D’importants progrès et des iniquités tenaces. Elles sont les championnes à l’école, gagnent un meilleur salaire qu’avant et prennent davantage leur place sur le marché du travail.

Les femmes progressent, oui, même si la parité n’est pas atteinte et qu’elles gagnent toujours moins que les hommes, constate un rapport du Conseil du statut de la femme (CSF), qui dresse leur portrait socio-économique avec les plus récentes statistiques. La présidente du CSF, Julie Miville-Dechêne, accueille positivement ces « bonnes nouvelles », même s’il y a encore beaucoup à faire. Premier constat qui frappe dans ce « Portrait des Québécois en 8 temps »,dition 2016 » : même si le salaire horaire moyen des femmes (22 $) n’est pas au niveau de celui des hommes (24 $), l’écart salarial se rétrécit.

L’écart du revenu médian annuel des femmes et des hommes a aussi diminué au cours des 15 dernières années. « Ce n’est pas l’égalité à 100 %, mais on est quand même dans une montée », fait remarquer Mme Miville-Dechêne. Championnes à l’école Le pouvoir aux hommes. Portrait national egalite 2016. Portrait statistique Égalité Ensemble du Québec.