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Jalon - Mémoires et histoire d'un conflit : la guerre d'indépendance algérienne

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Guerre d’Algérie : les origines profondes de la colère. 1954 - 1962 : l'histoire de la guerre d'Algérie - Résumé rapide du déroulé de la guerre - TV5 Monde 2012. La guerre d'Algérie (1954-1962) - Chronologie de la guerre (L'Express 2014) 1er novembre: proclamation du Front de libération nationale (FLN), qui fixe les objectifs de la lutte armée pour l'indépendance nationale par la restauration de l'Etat algérien souverain. Une vague d'attentats contre les Français en Algérie marque le début de la guerre. 5 novembre: le gouvernement français envoie des renforts militaires en Algérie. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement 24 novembre : François Mitterrand, alors ministre de l'Intérieur, prône le recours à la force. Décembre: création du Mouvement nationaliste algérien (MNA) de Messali Hadj. 26 janvier:Jacques Soustelle est nommé gouverneur général d'Algérie. 31 mars: l'état d'urgence est proclamé dans les Aurès et la Grande Kabilie et la censure est instaurée. 18-24 avril: le FLN participe à la conférence du Tiers-monde à Bandoeng. 16 mai: les effectifs de l'armée française en Algérie sont portés à 100 000 hommes. 20 août: massacres dans le Philippevillois. 20 janvier: manifestations violentes à Tlemcen.

Video Rappel historique des massacres répressifs à Sétif en mai 1945. La bataille d'Alger. Contexte historique De janvier à octobre 1957, l'armée française s'efforce de juguler le terrorisme du Front de libération nationale (FLN) par le démantèlement de ses réseaux à Alger et par une répression massive. Si la bataille d'Alger s'achève par une victoire militaire de l'armée française, l'usage massif de la torture suscite de vives protestations de la communauté internationale ainsi que de la métropole. Au commencement de 1957, les tensions sont particulièrement vives à Alger entre les différentes communautés.

Dès lors, le 7 janvier, une ordonnance de Robert Lacoste confie au général Massu les pleins pouvoirs sur le Grand Alger. La 10e division parachutiste, division élitiste qui compte en son sein de nombreux hommes nés en Algérie, anciens combattants d'Indochine, reçoit alors la mission de « pacifier » la ville. Le FLN réplique à l'entrée de l'armée dans la ville par la multiplication d'attentats concentrés à Alger, où l'impact médiatique est plus important. Éclairage média. La rafle et le massacre du 17 octobre 1961 à Paris | Archive INA. Charonne: les témoins d'un "massacre d'Etat" à Paris. Le massacre de Charonne en 1962. Détournement d'avion : quand l'armée française jouait les pirates de l'air. Après l'interception d'un avion Ryanair, dimanche 23 mai, par la Biélorussie, pour arrêter le journaliste et opposant Roman Protassevitch qui se trouvait à bord, on a aussitôt parlé de “détournement”.

Le mot, qui ramène les autorités biélorusses à des pratiques de pirates de l'air, signait très vite le désaveu et l'arbitraire de la méthode. Il s'est disséminé jusque dans les nombreuses déclarations, issues de l’Union européenne ou des Etats-Unis par exemple, qui ont toutes appelé à la libération immédiate du militant de 26 ans en exil, arrêté tandis qu'il rejoignait la Lituanie. On n'avait pas non plus dit "arraisonnement" (plus légitime et régalien) mais bien "détournement", en 1956, lorsque c'est la France qui inventait en fait le processus en s'improvisant pirate de l'air sur fond de guerre d'Algérie. Ce précédent qui plonge dans l’histoire militaire et coloniale française est resté comme "le détournement de l’avion du FLN”.

Reconnaissance et ligne de crête Bases arrière. La guerre d’Algérie a commencé à Sétif le 8 mai 1945, par Mohammed Harbi (Le Monde diplomatique, mai 2005) Désignés par euphémisme sous l’appellation d’« événements » ou de « troubles du Nord constantinois », les massacres du 8 mai 1945 dans les régions de Sétif et de Guelma sont considérés rétrospectivement comme le début de la guerre algérienne d’indépendance. Cet épisode appartient aux lignes de clivage liées à la conquête coloniale. La vie politique de l’Algérie, plus distincte de celle de la France au fur et à mesure que s’affirme un mouvement national, a été dominée par les déchirements résultant de cette situation. Chaque fois que Paris s’est trouvé engagé dans une guerre, en 1871, en 1914 et en 1940, l’espoir de mettre à profit la conjoncture pour réformer le système colonial ou libérer l’Algérie s’est emparé des militants.

Si, en 1871 en Kabylie et dans l’Est algérien et en 1916 dans les Aurès, l’insurrection était au programme, il n’en allait pas de même en mai 1945. Cette idée a sans doute agité les esprits, mais aucune preuve n’a pu en être avancée, malgré certaines allégations. Les mémoires de la Guerre d'Algérie - A. Moumen. Une exposition numérique sur les mémoires de la guerre d'Algérie. Collection En guerre(s) pour l’Algérie. Algérie, les ineffables mémoires – série de podcasts à écouter – France Culture.

Pas une famille française de métropole n’a été épargnée par la guerre d'Algérie. Et que dire des Européens d’Algérie, des Musulmans, des Juifs, des Harkis, des Algériens eux-mêmes, ceux du FLN ou d’ailleurs ? Si l’année 1962 marque la naissance de l’Algérie moderne débarrassée, d’une France présente depuis 1830 – la France se préservant une partie du Sahara pour ses essais nucléaires et ses hydrocarbures – elle est également le début d’une nouvelle histoire.

Celle de ceux qu’on a appelé les "rapatriés", plus d’un million de personnes qui n’avaient pour la plupart jamais mis les pieds dans l’hexagone. Un exil forcé et des familles éclatées, éparpillée, celle des "pieds noirs". Sans oublier la tragédie des Harkis trahis et le mauvais accueil des derniers appelés symboles de la défaite, une fois de plus, et de la perte du navire amirale de l’empire colonial français. Une série documentaire d'Alain Lewkowicz réalisée par Somany Na. La mémoire des appelés de la guerre d’Algérie. Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 13 mars 2012 Contexte historique La guerre d’Algérie a été une guerre d’appelés. Le contingent y a en effet été massivement engagé : sur deux millions d’hommes envoyés en Algérie entre 1954 et 1962, près de 1,2 million d’appelés y ont servi. Les régiments français en Algérie ont par conséquent été principalement composés de jeunes hommes âgés entre 18 et 22 ans, sans aucune expérience du combat. 80 % d’entre eux ont pourtant pris part à des opérations.

Les conscrits ressortent ainsi profondément marqués par l’expérience du conflit algérien. De son côté, l’Union nationale des combattants et des anciens d’Afrique du Nord (UNC-AFN), créée en 1956 comme émanation de l’Union nationale des combattants, réunit quelque 250 000 membres. Quelles que soient leurs différences, ces associations ont toutes œuvré en faveur de l’obtention d’un statut pour les soldats d’Algérie et leur reconnaissance comme anciens combattants. Gisèle Halimi - Archive INA.

La(les) mémoire(s) des harkis

La(les) mémoire(s) des Pieds-noirs. Les violences de la guerre. 17 octobre 1961. Polémique sur le « rôle positif » reconnu à la colonisation par la loi du 23 février 2005. Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 28 nov. 2005 Une proposition de loi socialiste vise à abroger l’article 4 de la loi du 23 février 2005 stipulant que « les programmes scolaires reconnaissent (…) le rôle positif de la présence française outre-mer. » Défendu par Christian Vanneste, député UMP du Nord, cet article est critiqué par l’historien Pascal Blanchard et le président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, Jean-Marc Ayrault.

Ressources pédagogiques utilisant ce média Contexte historique La loi du 23 février 2005 portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés visait principalement à rendre hommage « aux femmes et aux hommes qui ont participé à l’œuvre accomplie par la France » dans ses anciennes colonies. Éclairage média. La thérapie mémorielle des petits enfants de la guerre d'Algérie.

Commémorations en France : pourquoi plusieurs dates ?

Le regard du pouvoir algérien sur la guerre d’Algérie. Condamner le système colonial et son héritage de racisme. Dans une tribune collective publiée par Le Monde à l’occasion du 60e anniversaire du cessez-le-feu en Algérie, diverses personnalités, dont des historien.ne.s, soulignent les limites des initiatives mémorielles d’Emmanuel Macron et lui demandent « un discours de reconnaissance et de clarification de notre rapport moral et politique à la colonisation ».

Ils soulignent aussi que « le travail mémoriel ne doit pas se substituer à une transformation du réel », alors que « la lutte contre le racisme est au point mort, si ce n’est suspecte ». Par ailleurs, l’historienne Sylvie Thénault et le politiste Paul Max Morin débattent des mêmes questions dans une émission vidéo de Mediapart. « La confrontation au système colonial, à ce qu’il a produit et à ce qu’il charrie encore, est le seul chemin pour faire passer le passé » Publié par Le Monde, le 18 mars 2022. Source. Tribune. Cet anniversaire revêt une double importance pour la société française. Indéniables avancées. La très compliquée restitution des sabres de l’émir Abdelkader, héros de la résistance à la conquête française de l’Algérie. Derrière la vitre s’étalent des reliques orientales à la puissante symbolique. Il y a un burnous pourpre ramené par le général Bugeaud, un fez piqué d’un pompon vert à franges dont le général de Lamoricière s’était entiché, ou la clé de Laghouat (une ville située à 400 km au sud d’Alger) saisie par le général Pélissier.

Il y a surtout un majestueux sabre en acier damassé à la courbure légère, glissé dans un fourreau en métal doré ciselé. L’arme était celle de l’émir Abdelkader, le chef emblématique de la résistance à la conquête française de l’Algérie, contraint à la reddition le 23 décembre 1847. Aujourd’hui encore, son ombre portée hante la relation diplomatique entre la France et l’Algérie, à l’heure de la montée des revendications de restitutions. Troublante est cette mémoire du face-à-face, par pièces muséales interposées, entre le héros national algérien et ses adversaires de l’époque, officiers d’une « armée d’Afrique » en pleine expansion coloniale.

E. Macron Algérie Août 2022

Discours du président algérien Abdelaziz Bouteflika devant l’Assemblée nationale en 2000. En Algérie, le Front de libération nationale (FLN) au pouvoir dès 1962 impose une mémoire de la guerre « de libération ». Celle-ci devient prédominante dans la construction de la nation algérienne. De nombreux monuments commémoratifs sont ainsi érigés en Algérie dans les années 1970 et 1980, dont le Mémorial du martyr à Alger, édifié en 1982 en mémoire des combattants algériens morts pendant la guerre d’indépendance. Puis à partir des années 1980, les mémoires de la guerre d’Algérie commencent à se libérer. Chadli Bendjedid, président de la République algérienne de 1979 à 1992, réhabilite certains héros de la guerre qui avaient été emprisonnés ou écartés en raison de leur opposition au FLN, comme le premier président Ahmed Ben Bella.

Ce mouvement est toutefois interrompu par la « décennie noire » (1991-2002), marquée par le conflit sanglant entre des groupes terroristes islamistes et l’État algérien, au cours duquel plusieurs dizaines de milliers de personnes trouvent la mort. Discours de François Hollande pendant sa visite officielle en Algérie en 2012. Certaines visites de présidents de la République française en Algérie ont constitué des jalons marquants dans la reconnaissance par l’État français de la guerre d’Algérie et des différentes mémoires de ses victimes. Si Valéry Giscard d’Estaing fut en avril 1975 le premier chef d’État français à se rendre sur le sol algérien après l’indépendance, c’est Jacques Chirac qui a effectué la première visite d’État d’un président de la République française en Algérie, du 2 au 4 mars 2003. Cette visite a marqué un tournant dans la relation franco-algérienne. Dans un discours prononcé le 3 mars 2003 devant les parlementaires algériens, au Palais des Nations, à Alger, Jacques Chirac a en effet évoqué le « passé commun » des deux pays : « Oui, nos deux peuples ont une histoire commune, avec ses ombres et ses déchirures, mais aussi avec ses pages de vie et d’harmonie ».

François Hollande, lui aussi venu en visite d’État en Algérie en décembre 2012, est allé plus loin que Nicolas Sarkozy. Le Monde 2018 - Entre la France et l’Algérie, les plaies toujours ouvertes de la mémoire. En reconnaissant la responsabilité de la France dans la mort de Maurice Audin et le recours à la torture pendant la guerre d’Algérie, le président Emmanuel Macron fait un pas décisif dans un travail de mémoire lent et délicat entre les deux pays.

Lire aussi Article réservé à nos abonnés Torture en Algérie : le geste historique d’Emmanuel Macron Les massacres de Sétif, Guelma et Kheratta Les massacres perpétrés à partir du 8 mai 1945 dans l’Est algérien sont considérés comme le véritable premier acte de la guerre d’Algérie. Ce jour-là, alors que la France fête la victoire contre le nazisme, l’histoire tourne au drame à Sétif, mais aussi à Guelma et à Kheratta, où des manifestations sont réprimées dans le sang. En 2005, une première reconnaissance est formulée par l’ambassadeur de France à Alger, Hubert Colin de Verdière, qui évoque une « tragédie inexcusable ». La responsabilité française dans la guerre et la colonisation Le déplacement de M. L’assassinat des moines de Tibéhirine. 2018 Guerre d’Algérie : Emmanuel Macron reconnaît la responsabilité de la France dans la disparition de Maurice Audin.

Proposé par Institut national de l’audiovisuel Date de diffusion : 13 sept. 2018 Emmanuel Macron reconnaît, le 13 septembre 2018, la responsabilité de la France dans la disparition de Maurice Audin en 1957 pendant la guerre d’Algérie. Cette reconnaissance suscite des réactions contrastées : Cédric Villani et Sébastien Jumel s’en réjouissent, Marine Le Pen la dénonce, Bruno Retailleau la regrette, Guy Darmanin, de la FNACA, prend la défense de l’armée en Algérie. Ressources pédagogiques utilisant ce média Contexte historique Maurice Audin, enseignant de mathématiques à l’université d’Alger âgé de vingt-cinq ans, est arrêté au soir du 11 juin 1957 à son domicile par des parachutistes français.

Éclairage média Dans son journal télévisé de vingt heures du 13 septembre 2018, la rédaction de France 2 a choisi de consacrer deux sujets enchaînés à la reconnaissance par Emmanuel Macron de la responsabilité de la France dans la disparition de Maurice Audin en 1957. Le Monde 2021 - Alger réclame toujours la « repentance » de la France pour sa période de colonisation. Alger maintient son exigence d’une repentance de la France pour les crimes commis durant les cent trente-deux ans de colonisation de l’Algérie, a déclaré le ministre de la communication algérien et porte-parole du gouvernement, à l’occasion de la célébration, samedi 8 mai, de la « Journée nationale de la mémoire ». « L’Algérie reste attachée au règlement global du dossier mémoriel » qui repose sur « la reconnaissance officielle, définitive et globale, par la France, de ses crimes (…) la repentance et des indemnisations équitables », a déclaré M.

Ammar Belhimer, dans un message diffusé par l’agence de presse officielle Algérie Presse Service (APS). L’Algérie célèbre samedi sa première « Journée nationale de la mémoire » pour honorer les victimes de la répression sanglante par la France de manifestations indépendantistes le 8 mai 1945. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Mémoire entre la France et l’Algérie : les deux fronts de la bataille des archives M. Le Monde avec AFP. Comment le piège algérien s’est refermé sur Emmanuel Macron – Un si Proche Orient. La volonté du président français de réconcilier les mémoires autour de la guerre d’Algérie aboutit paradoxalement à une crise sans précédent entre Paris et Alger. « L’Algérie n’est pas à vendre », pancarte anti-française lors dune manifestation à Alger, le 9 avril 2021 (Riyad Kramdi, AFP) L’enfer est pavé de bonnes intentions. La détermination d’Emmanuel Macron à tourner enfin la page des querelles mémorielles franco-algériennes vient de déboucher sur une crise sans précédent entre Paris et Alger.

Ce n’est pas la première fois que la parole présidentielle, mêlant l’officiel à l’informel, suscite trouble et incompréhension sur la scène internationale, entraînant de la part de l’Elysée de laborieux efforts de clarification des « malentendus ». Le président français paie aujourd’hui des années d’aveuglement sur la nature réelle du régime algérien. Dans un tel contexte, les mots qu’Emmanuel Macron prononcera le 17 octobre prochain sont très attendus. Mémoire franco algérienne irradiés Sahara.

La France restitue vingt-quatre crânes à l’Algérie, mais la réconciliation est encore loin. Guerre d'Algérie : Emmanuel Macron reconnaît que l'avocat algérien Ali Boumendjel a été "torturé et assassiné" La jeunesse, clef de la réconciliation franco-algérienne ? Après les propos de Macron, l’Algérie rappelle son ambassadeur à Paris « pour consultations » France-Algérie : « Les débats historiques ne se plient pas aux appartenances nationales » La disparition forcée, arme de guerre de l’armée française durant la « bataille d’Alger » - Malika Rahal - Fabrice Riceputi.

Rapport Stora Janvier 2021

Histoires d’Algérie. «On ne peut pas répondre à des questions qui ne sont pas posées», interview de l'historienne Raphaëlle Branche, Libération 2020. "Papa, qu'as-tu fait en Algérie ?" de Raphaëlle Branche : confidences de guerre. Ecrire l'histoire France-Algérie - Mediapart (8 articles) Nommer les fantômes de l’Algérie – Tribune de l'historien Tramor Quemeneur - Libération. L'accès aux archives de la guerre d'Algérie: Macron contre Castex? L'ombre du général Massu menace-t-elle toujours ceux qui travaillent sur la guerre d'Algérie ?

Les guerres civiles de la guerre d'Algérie (2002) Malika Rahal - 60 ans Accords d'Évian - France Culture 19 mars 2022. 231. L’année 1962 en Algérie, avec Malika Rahal. Pierre Vidal-Naquet : "Dans la guerre d'Algérie la torture n'était pas un accident, il s’agissait d'un système dans lequel l'état tout entier s'était trouvé engagé" Pour tenter de guérir la blessure mémorielle de la guerre d'Algérie. L’enseignement de la guerre d’Algérie en France: entre histoire et mémoire - RFI Mai 2021.

Guerre d’Algérie, guerre des images, guerre des mémoiresCinéma et Histoire | Cinéma et Histoire.

La bataille d'Alger, Film de Gillo Pontecorvo, 1966

Avoir 20 ans dans les Aurès (bande-annonce), film de René Vautier (1972) Le Coup de Sirocco d'Alexandre Arcady (1979) (BA) LES HARKIS de Philippe Faucon - Bande-annonce - Sortie le 12 octobre 2022. Portraits de femmes algériennes - Marc Garanger, photographe. Raymond Depardon. "Souvenir, souvenir" Court-métrage Bastien Dubois. « Louisette » ou le dernier tabou de la guerre d’Algérie : le premier film d’animation du « Monde » avec « La Revue dessinée » France-Algérie : une histoire en chansons. Episode 1 : 1954-1980. France-Algérie : une histoire en chansons. Episode 2 : 1980-2021.

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