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France en villes

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Les premiers bâtiments de la cité phocéenne archaïque Aux origines de la plus vieille ville de France : Marseille. Les archéologues ont rapidement fait apparaître les niveaux d'occupation de la ville archaïque ( 600-480 av.

Les premiers bâtiments de la cité phocéenne archaïque Aux origines de la plus vieille ville de France : Marseille

J. -C.), conservés dans une stratigraphie de trois mètres d'épaisseur. Vers 550 av. J. -C., le quartier est remanié autour d'un vaste édifice public, peut-être le podium d'un temple. Aux origines de la présence grecque La zone concernée se situe au pied de la butte Saint-Laurent, dans le périmètre initial de la ville grecque, à quelques mètres de la rive nord antique du port. Le podium d'un temple ? Vers 550 avant notre ère, un édifice monumental s'élève sur le site. Le mobilier archéologique Les céramiques constituent l'essentiel du mobilier retrouvé, productions locales et importées. Le contexte de la découverte Récemment, les navires et les quais des places Jules-Verne et Villeneuve-Bargemon ont été fouillés, et d'autres constructions de la période grecque archaïque (VI e-V e siècles av.

Archéologue responsable d'opération : Philippe Mellinand (Inrap). Les assises des ruralités : portraits de la diversité. Retour sur les Assises des ruralités. Si urbanisation et biodiversite pouvaient faire bon menage. Pour qu’une espèce d’abeille soit présente en milieu urbain, elle doit être capable d’y trouver des ressources alimentaires et des sites de nidifications adéquats.

si urbanisation et biodiversite pouvaient faire bon menage

Certaines espèces d’abeilles nichent dans le sol (terricoles), comme par exemple les andrènes, alors que d’autres nichent dans des cavités au-dessus du sol (cavicoles), comme les osmies. En plus du comportement de nidification, chaque espèce d’abeille a ses propres caractéristiques biologiques. Ainsi, chaque espèce peut répondre différemment à l’urbanisation. Les espèces et leurs caractéristiques sont donc des éléments essentiels pour étudier l’impact de l’urbanisation sur la structure de la communauté d’abeilles sauvages, définie comme l’ensemble des espèces trouvées dans un milieu. Dans le cadre du programme européen LIFE Urbanbees1, la communauté d’abeilles sauvages a été étudiée sur 24 sites le long d’un gradient d’urbanisation dans le Grand Lyon. 1 www.urbanbees.eu.

« Friches reconverties, bâtiments rénovés : le recyclage urbain est désormais majoritaire » Valérie Mancret-Taylor, directrice générale de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France, explique les contrastes et le dynamisme de la « région parisienne ».

« Friches reconverties, bâtiments rénovés : le recyclage urbain est désormais majoritaire »

LE MONDE | • Mis à jour le | Propos recueillis par Laetitia Van Eeckhout Alors que la carte des régions françaises est en train d’être redessinée, le mode d’occupation des sols (MOS) de l’Ile-de-France révèle-t-il un territoire cohérent ? Valérie Mancret-Taylor L’Ile-de-France est faite de dizaines d’urbanités différentes.

Elle présente une grande diversité de paysages qui ne la rend pas pour autant hétérogène. Diverse, cette région affiche une exceptionnelle résilience. L’urbanisation en Ile-de-France a longtemps été polarisée par les villes nouvelles et les grandes infrastructures (autoroutes, TGV…). L’urbanisation se fait pour l’essentiel par le renouvellement de la ville sur son propre territoire. Pourquoi et comment analyser les villes moyennes. Dossier : Villes moyennes Entre 1973 et 1982, plus de 70 communes françaises de 20 000 à 100 000 habitants, dites « villes moyennes », ont bénéficié d’un contrat avec l’État dans le cadre d’une politique nationale d’aménagement du territoire initiée par la DATAR.

Dans un contexte de forte croissance de ces villes, fondée notamment sur l’arrivée de populations issues du monde rural et sur la déconcentration industrielle, les objectifs étaient alors l’amélioration de la qualité de la vie, la réalisation d’équipements et le développement économique et social. Ainsi, en France, la notion de « ville moyenne » renvoie d’abord à une catégorie – incertaine et fluctuante – des politiques d’aménagement du territoire (Béhar 2010). Mais ces villes ont-elles aussi été un objet d’étude et de controverse des sciences sociales ? Quel est le regard de la recherche urbaine sur les villes moyennes à l’heure où le fait métropolitain accapare les débats ?

Une catégorie hétérogène, des enjeux communs ?