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INTERNET révolutionne la DIFFUSION d'INFORMATIONS

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Identité numérique (Internet) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'identité numérique ou IID (pour Internet Identity en anglais) peut être définie comme un lien technologique entre une entité réelle (personne, organisme ou entreprise) et des entités virtuelles (sa ou ses représentation(s) numériques). Le développement et l’évolution des moyens de communication, au travers notamment de la multiplication des blogs et des réseaux sociaux, changent le rapport de l’individu à autrui.

Ainsi, l’identité numérique permet l’identification de l’individu en ligne et la mise en relation de celui-ci avec cet ensemble de communautés virtuelles qu’est Internet. Dès lors, l’identité numérique peut être divisée en trois catégories: Le décalage ou du moins les divergences qui peuvent subsister entre l’identité déclarative et l’identité agissante soulèvent une question majeure. Qui est vraiment l’individu auquel nous avons affaire sur la toile ? Quatre types d’identité numérique ressortent de ces deux axes : NoFollow. Open Directory Project. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir ODP. Logo L'Open Directory Project, abrégé ODP, plus connu sous le nom de dmoz[1] (Directory Mozilla qui donne son nom au site, dmoz.org), est un répertoire de sites web créé en 1998, sous licence Open Directory. Il est géré par une vaste communauté d'éditeurs bénévoles provenant du monde entier, chacun étant responsable de vérifier l'exactitude et la catégorisation des sites dans une ou plusieurs catégories.

Au 17 février 2011, dmoz contient dans son ensemble 4 838 135 ressources[2] d'adresses de sites, classées dans plus de 1 005 146 catégories. Fonctionnement[modifier | modifier le code] L'ODP est entièrement gratuit. L'ODP est géré par des éditeurs, qui vérifient les sites proposés, les classent dans la catégorie appropriée et en ajoutent d'autres au gré de leurs visites sur le web. Les Mozzies[modifier | modifier le code] Début septembre 2008, il existait déjà plus de 2 300 Mozzies. Portail d’Internet. Nos mémoires ne valent pas un cloud. La circulation des informations et des biens culturels a toujours (en tout cas depuis les premières bibliothèques) été régie par un ordre documentaire.

Dans notre histoire contemporaine s'est imposé un "ordre documentaire antérieur dominé par l’édition qui vend des objets et protège le contenu par la propriété intellectuelle. " (Source) Avec le numérique, cet ordre ancien est bouleversé. Quelles sont actuellement, les différentes "variables" du nouvel ordre documentaire inauguré par le numérique ? Il peut être caractérisé par (au moins) 3 grands régimes : Ceux-ci concernent à la fois les ordres lexicométriques (dont l'outil Culturomics et son "n-gram viewer" sont emblématiques et avec eux la question de la maîtrise des corpus), et les ordres linguistiques (mes billets sur l'affaire DSK attestaient, parmi d'autres, des spécificités et des variabilités de ces ordres linguistiques) ** L'autoritativité est à distinguer de "l'autorité". Et le stock devint le flux.

Nouveaux gardiens du temple. Archiver le web ? la mémoire du Web. La plupart des moteurs de recherche, dont l'indispensable Google, ont depuis longtemps renoncé à comptabiliser le nombre de pages Web: Internet est pour eux à peu près sans mémoire (en constante augmentation depuis la fin des années 1990, la durée de vie moyenne d'une page Web a longtemps été de cent jours à peine). Pour prendre la mesure de l'histoire du Web, le site Archive.org a pour sa part archivé près de 86 milliards de p., correspondant à 65 millions de sites Web, en 37 langues. Sa base de données pèse près de 2 pétaoctets, soit 2 millions de gigaoctets, l'équivalent de deux cents fois le contenu de la Bibliothèque du Congrès américain. Au-delà du Web, la richesse d'Archive.org se mesure aussi à l'aune de la diversité de sa bibliothèque multimédia, forte de près de 45 000 concerts et de plus de 100 000 films, 200 000 enregistrements audio et 290 000 livres et textes...

(D'après un article paru sur le site du journal Le Monde). HathiTrust. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. HathiTrust est une bibliothèque numérique mettant en commun le contenu de plusieurs bibliothèques numériques d'universités des États-Unis et d'Europe, ainsi que de Google Livres et d'Internet Archive. Présentation[modifier | modifier le code] Le concept d'HathiTrust naît au sein du Committee on Institutional Cooperation et sa mise en œuvre est menée par l'université de l'Indiana et celle du Michigan, qui financent largement le projet. Une cinquantaine d'universités américaines participent au projet. À l'automne 2010, l'université de Madrid est la première université européenne à s'y joindre[1].

Le directeur du HathiTrust est John Price Wilkin, qui a travaillé à la numérisation à grande échelle à l'université du Michigan depuis le milieu des années 1990. En août 2011, HathiTrust proposait environ 9,5 millions de volumes, dont 2,5 millions du domaine public. Hathi signifie « éléphant » en Hindi - l'animal étant renommé pour sa grande mémoire. Twitter : un patrimoine superflu(x) ? Ce billet - un peu long - vise à étudier une actualité, l'annonce de l'archivage de l'intégralité du service Twitter par la bibliothèque du Congrès (LoC), et à poser un questionnement sur ce que la nature même de ce type d'archivage change dans notre rapport à une mémoire "collective" et peut être même à la mémoire ... tout court.

Le lecteur est averti que les questions soulevées sont beaucoup plus nombreuses que les réponses apportées. C'est parti :-) 1537. Par un édit en date du 28 décembre 1537, François 1er "invente" le dépôt légal, qui permettra - beaucoup plus tard tout de même - d'assurer un contrôle bibliographique universel. 1996. Les pionniers. 2001.

**Bibliothèque publique d’information (texte collectif), « Babel ou le choix du caviste : la bibliothèque à l’heure du numérique. », in Colloque virtuel « Text-e » de la BPI Georges Pompidou. ============T=W=I=T=T=E=R============= ==> Mars 2006. ==> Février 2010. ==> 4 Mars 2010. 1er Août 2006. "PATRIMOINE DU TEMPORAIRE". 1. 2. 3. Internet Archive: Digital Library of Free Books, Movies, Music & Wayback Machine. Google N-Gram : des choses cachées depuis le commencement du monde. Etes-vous déjà allé tester le service Google N-Gram mis en ligne sur le GoogleLabs ? C'est assez fascinant, et c'est une belle illustration de ce que je commençais à évoquer dans mon dernier billet sur les big data. Comme l'expliquent les responsables du projet sur le blog officiel, Google vient tout simplement de mettre à la disposition des chercheurs un invraisemblable corpus. 5 millions de livres ont été numérisés soit, paraît-il, environ 4% des livres imprimés depuis l'aube de l'humanité.

Je suppose que la distribution de ces ouvrages, censément en six langues, est accessibles quelque part. Google Research a ensuite trié les 1000 milliards de mots concernés, pour en construire le modèle n-gram pour n=5. En gros, ils créé le corpus de toutes les séquences de 1 à 5 mots disponibles. 1000 milliards de mots, 13 millions de mots différents, 1 milliard de séquences apparaissant au moins 40 fois, le tout disponible pour la recherche ou même accessible en ligne sur le GoogleLabs. Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Internautes par millier d'habitants dans le monde en 2009. Visualisation des multiples chemins à travers une portion d'Internet. Internet est le réseau informatique mondial accessible au public.

C'est un réseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux, eux-mêmes regroupés, en 2014, en 47 000 réseaux autonomes. L'information est transmise par Internet grâce à un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données, qui permet l'élaboration d'applications et de services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée, le pair-à-pair et le World Wide Web. Internet ayant été popularisé par l'apparition du World Wide Web (WWW), les deux sont parfois confondus par le public non averti. Le World Wide Web n'est pourtant que l'une des applications d'Internet. Terminologie[modifier | modifier le code] Dans l'Union européenne : Invisible web invisible.

Des moteurs comme Google, MSN/Live Search, Yahoo! Search ou des répertoires tels que Yahoo! Directory ne vous donnent accès qu'à une petite partie (inférieure à 10%) du web, le Web Visible. La technologie de ces moteurs conventionnels ne permet pas d'accéder à une zone immense du web, le Web Invisible, espace beaucoup plus important que le web visible. Lors d'une navigation en Antarctique pour prélever des échantillons de glace sur des icebergs, si vous vous limitez à leur partie émergée, vous vous privez de la surface immergée, en moyenne 50 fois plus importante. Sur le web, c'est la même chose !

> Une partie du web est non accessible aux moteurs parce que : • Les documents, pages et sites web ou bases de données sont trop volumineux pour être entièrement indexés. . • des pages sont protégées par l'auteur (balise meta qui stoppe le robot) . • les pages sont protégées avec une authentification par identifiant (login) et mot de passe. Anonymity Online. WikiLeaks imprime sa marque. Jamais ce site n'avait autant fait parler de lui. A la Une à plusieurs titres : les "révélations" qu'il distille, les polémiques que cela provoque et les péripéties judiciaires de son co fondateur australien Julien Assange, désormais visé via Interpol pour répondre d'un "viol et agression sexuelle" en Suède. Avant le décryptage et les réactions ci-dessous, voyons d'abord son principe : Ecoutez ensuite "Place de la Toile" de Xavier de la Porte, du 14 novembre dernier, sur Le "data-journalisme" ou comment faire du journalisme avec les données : Et regardez "Les Matins" de Marc Voinchet de ce mardi intitulés ce mardi "Journalisme et démocratie : y-a-t-il une révolution WikiLeaks ?

" : C’est donc un nouveau chapitre dans une histoire déjà longue puisque WikiLeaks a été lancé fin 2006 ! Jusqu'ici très critiqué, en particulier pour avoir livré des noms d'informateurs et des masses d'informations brutes d'un coup, WikiLeaks vient de changer de stratégie. Réseau social. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme provient de John Arundel Barnes (en) en 1954[1]. L’expression « médias sociaux » recouvre les différentes activités qui intègrent la technologie, l’interaction sociale (entre individus ou groupes d'individus), et la création de contenu. Andreas Kaplan et Michael Haenlein définissent les médias sociaux comme « un groupe d’applications en ligne qui se fondent sur la philosophie et la technologie du net et permettent la création et l’échange du contenu généré par les utilisateurs »[2]. Les médias sociaux utilisent l’intelligence collective dans un esprit de collaboration en ligne.

Par le biais de ces moyens de communication sociale, des individus ou des groupes d’individus qui collaborent créent ensemble du contenu web, organisent ce contenu, l’indexent, le modifient ou le commentent, le combinent avec des créations personnelles. Applications en sciences sociales[modifier | modifier le code] Règle de 150[modifier | modifier le code] E. La carte et le réseau social.

Ce n’est pas tous les jours que nous découvrons une nouvelle carte. Au IIIe siècle avant Jésus-Christ en Alexandrie, Ératosthène dessina le premier planisphère. Cette innovation ne fut digérée que 1800 ans plus tard par Christophe Colomb. Depuis quelques années, nous avons découvert un autre type de carte : le graphe social. Quand est-ce qu’il révolutionnera le monde ? C’est à ma connaissance l’écrivain hongrois Frigyes Karinthy qui le premier supposa que nous étions tous connectés les uns avec les autres par l’intermédiaire des amis de nos amis.

En 1929, dans la nouvelle Láncszemek (« Chaînes ») publiée dans le recueil Minden másképpen van, il imagina que plutôt que de recevoir des informations venant d’en haut (gouvernement, journaux, patron…), nous étions capables de communiquer transversalement les uns avec les autres. Mais en 1967, Milgram avait une toute autre idée. Comme l’intuition de Frigyes Karinthy, l’expérimentation de Milgram n’eut pas de conséquence immédiate. Psychodynamique des groupes sur le réseau internet. The Evolution of CRM v2 (Social Studies Blog) Look what’s under the tree! Like Jeff said earlier this week, we grabbed everybody’s feedback and revised the infographic. Compare to previous. Click the image for the full size version: Comprendre les typologies de réseaux communautaires. Observant avec plaisir sur ma timeline Twitter que les articles sérieux sur les typologies des réseaux sociaux commencent à remplacer les listes qui expliquent comment gagner 10000 followers sur Twitter en 3 jours ou comment développer sa marque sur Facebook en 15 points, je me prends au jeu.

Pourquoi est-ce si important, avant même de parler techniques de community management de comprendre la communauté au sein de laquelle on souhaite s’engager? Parce que cela permet de comprendre s’il vaut mieux s’appuyer sur le bouche à oreille ou sur les leaders d’opinion. Parce que cela permet d’anticiper la façon dont un message va être transmis. Parce que cela permet de comprendre si les réseaux qui composent la communauté vont permettre à un buzz de se développer. Parce que cela permet de prévoir la façon dont un bad-buzz pourrait s’étendre, et donc comment agir au mieux pour tuer le poussin dans l’œuf (j’adore cette expression, miam…).

Un petit rappel, pour commencer. Les réseaux sociaux sur Internet. Suite au récent article consacré au groupe « J’aime ma ville, Lisle-sur- Tarn …!! » crée sur Facebook, et en discutant avec plusieurs personnes, il me semble important de faire un petit dossier consacré aux réseaux sociaux sur Internet. Loin d’être exhaustif, ce rapide tour d’horizon va peut-être vous permettre d’y voir plus clair et vous apportera sans doute quelques éléments de réflexion.

N’hésitez pas à donner votre avis dans les commentaires… Qu’est-ce qu’un réseau social : Un réseau social est un ensemble d’entités sociales telles que des individus ou des organisations sociales reliées entre elles par des liens créés lors des interactions sociales. Le réseautage social se rapporte à une catégorie des applications d’Internet pour aider à relier des amis, des associés, ou d’autres individus employant ensemble une variété d’outils. Les différents types de réseaux sociaux : Eric Delcroix dans son blog « les z’ed » classe les réseaux sociaux en 7 catégories : Facebook Viadeo Copains d’avant.

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Liste des services en ligne de Google. iGoogle. Google preuve »est Dieu - Eglise de Google. Le Dieu Google / les mutations de la lecture. Google God, Ariel Kyrou | Temps réel. Le Dieu Google. 10 preuves que Google est bien Dieu. Bing. Moteurs de recherche : sortir de Google. Moteurs de recherche dans le Monde. Voxalead : la vidéo "Accessible !" Voxalead. Faire de la VEILLE. Choisir un outil de curation de contenus web | CommentCaMarche.

Les ordinateurs simplifiés. Doudoulinux. Seniors et Internet, des connexions multiples. Ordissimo. Connectons les générations! | TOOTI Family. Zeitgeist 2010. Sérendipité. La curation, un terme neuf et à la mode pour un concept déjà ancien. Le Guide de la curation (1) - Les concepts.