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Technologie apprentissage

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Bp childrenandtheinternet 20129017 en FR. CAS – Central Authentication Service. The effects of social media on cognitive development in undergraduate economics students | ERSA. L’impact des loisirs des adolescents sur les performances scolaires. L’enquête sur les loisirs des élèves de 3e Cette enquête en 2008 chez des enfants de 11 ans, ne révélaient pas d’impact des loisirs, mêmes fréquents sur les performances scolaires et cognitives.

Mais depuis les technologies du numérique ont explosé et envahi notre quotidien. C’est pourquoi la DEPP avait prévu une nouvelle enquête trois ans plus tard (en 2011) sur un large échantillon représentatif de 27 000 adolescents français (14 ans et demi) en classe de 3e de collège. Cette enquête est l’objet de cet article. Dans cette étude, le questionnaire a été conçu pour détailler les thèmes ou les genres des loisirs, par exemple, si les jeux vidéo sont des jeux d’action/combat/plateforme ou des jeux de stratégie, ou de sports. Tableau 1 : Exemples de questions concernant les activités extrascolaires De nombreux tests ont été utilisés : deux tests de lecture/compréhension, douze tests de maths répartis en trois catégories (arithmétique, algèbre, géométrie), un test de mémoire, etc.

Conclusion. Bavelier. CAS – Central Authentication Service. Enfants et écrans : psychologie et cognition. L’Académie des sciences vient de publier un rapport (.pdf) sur la relation des enfants aux écrans (disponible également sous la forme de livre aux éditions Le Pommier), un rapport qui tord le cou à nombre d’idées reçues sur le sujet et fait le point sur les connaissances scientifiques, éducatives et neurobiologiques. Comme le précisait Jean-François Bach, secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences lors de la présentation publique du rapport, l’Académie a souhaité éclaircir les bases scientifiques de nos usages excessifs des écrans (voir les vidéos des présentations). Un rapport qui a voulu insister pas seulement sur les effets délétères des écrans – des effets qui existent, qui influent par exemple sur le temps de sommeil, l’attention, mais de manière plus rare qu’on a tendance à le penser – mais surtout sur les effets positifs de notre exposition aux écrans et notamment de l’exposition des plus jeunes aux écrans.

A l’inverse, chaque culture apporte également son lot d’avantages. Is Google Making Us Stupid? Illustration by Guy Billout "Dave, stop. Stop, will you? Stop, Dave. Will you stop, Dave?” So the supercomputer HAL pleads with the implacable astronaut Dave Bowman in a famous and weirdly poignant scene toward the end of Stanley Kubrick’s 2001: A Space Odyssey. Bowman, having nearly been sent to a deep-space death by the malfunctioning machine, is calmly, coldly disconnecting the memory circuits that control its artificial “ brain. I can feel it, too. I think I know what’s going on. For me, as for others, the Net is becoming a universal medium, the conduit for most of the information that flows through my eyes and ears and into my mind. I’m not the only one.

Bruce Friedman, who blogs regularly about the use of computers in medicine, also has described how the Internet has altered his mental habits. Anecdotes alone don’t prove much. Reading, explains Wolf, is not an instinctive skill for human beings. But the machine had a subtler effect on his work. Also see: Where does it end? Les écrans, les parents et leurs bébés, Serge Tisseron.

Rêve et réalité : une clinique du jeu vidéo comme médiation thérapeutique. « L’occupation la plus chère et la plus intense de l’enfant est le jeu. Peut-être sommes-nous autorisés à dire : chaque enfant est un poète, dans la mesure où il se crée un monde propre, ou, pour parler plus exactement, il arrange les choses de son monde suivant un ordre nouveau, à sa convenance.

L’opposé du jeu n’est pas le sérieux, mais… la réalité. L’enfant distingue très bien son monde ludique, en dépit de tout son investissement affectif, de la réalité, et il aime étayer ses objets et ses situations imaginés sur des choses palpables et visibles du monde réel. Ce n’est rien d’autre que cet étayage qui distingue encore le “jeu” de l’enfant de la fantaisie » (Freud, 1908, p. 34). Le jeu vidéo est un objet ludique où l’enjeu (game) et le jeu (play) se mêlent. Dans la clinique de l’agir, l’image de soi, l’image que l’on donne à voir sont autant d’éléments qu’il est intéressant d’analyser comme les rêves apportés par nos patients. Les sites de rencontres ou l'antre de la misère sexuelle. Quand je vous ai appelé et que vous n’avez pas répondu, vous surfiez sur un site de rencontres ? Non, je me baignais dans l’océan. Je ne pratique plus les sites de rencontres depuis plusieurs années.

Je me suis réinscrit pour les besoins du livre, au frais de mon éditeur, je précise. Je ne pratique plus parce que ça m‘a saoulé et aussi parce que je ne suis ni un polyamoureux ni un libertin et que j’ai quelqu’un. C’est l’un de principaux conseils que vous donnez dans le bouquin : quand on trouve un ou une partenaire, il faut se désinscrire.

Oui, à moins d’être dans une volonté de ne pas s’engager. Pourquoi avez-vous voulu écrire ce livre ? C’est une vieille histoire. "On a l’impression que l’exclusion est décuplée tellement on se mange de râteaux. " J’aimerais qu’on dresse les portraits-robots des quatre catégories d’utilisateurs que vous décrivez dans le livre. C’est d’une violence extrême cette succession de râteaux ! Oui, c’est tout le problème des sites de rencontres. Oui, c’est ça. Les TIC : une solution miracle pour le développement des compétences ? Des DOI (Digital Object Identifier) sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions abonnées à l'un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lesquelles Bilbo a trouvé un DOI.

Le service d'export bibliographique est disponible pour les institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : access@openedition.org. Albero, B. (2004). Technologies et formation : travaux, interrogations, pistes de réflexion dans un champ de recherche éclaté, Savoirs, 5, 11-69. DOI : 10.3917/savo.005.0009 Arsac, (1987). Les machines à penser, des ordinateurs et des hommes. Baron, G. Becta & Ramboll Management (2006). Bélisle, C., & Rosado, E. (2007).

Bétrancourt, M. (2007). Bruillard, E. (1997). Chaptal, A. (2003). E publicite SFSIC Toulon 2014 3. Langues des signes, enseignement et nouvelles technologies. Sommes-nous multitâches ? (2/2) : Peut-on mesurer les bénéfices de la distraction. Par Hubert Guillaud le 27/05/09 | 7 commentaires | 10,528 lectures | Impression Comment réinscrire les moments d’inattention dans un processus d’attention ? “Toutes les expériences multitâches ne sont pas désastreuses”, nous explique le psychanalyste Yann Leroux… Un bon exemple du multitâche réussi, c’est celui des mères de famille : qui pensent au petit dernier, surveillent la cuisson du repas et téléphonent en même temps… Souvent, c’est assez harmonieux. Sauf quand l’un des éléments se met à disfonctionner : le petit dernier pleure, le rôti brûle… “Il suffit d’un stress pour que l’harmonie qu’il peut y avoir à accomplir plusieurs tâches en même temps transforme d’un coup l’ambiance de toute la maison.” “Certes, l’attention n’est pas une ressource infinie”, souligne-t-il.

Comme le conclut l’article du Time, tout cela semble surtout encore question d’éducation et d’accompagnement des personnes, des parents et des éducateurs dans l’utilisation de ces outils numériques. Hubert Guillaud. Sommes-nous multitâches ? (1/2) : Comment apprendre à maîtriser notre attention. Par Hubert Guillaud le 26/05/09 | 20 commentaires | 17,106 lectures | Impression Avec le ton assez personnel auquel il nous a accoutumé, Howard Rheingold, l’auteur des Foules intelligentes, dans un récent billet évoque son métier de professeur à l’heure des téléphones et des ordinateurs connectés.

Non par pour dénoncer l’inattention de ses élèves – “une salle pleine de gens qui ne sont pas en train de me regarder ou de se regarder, mais qui semblent être hypnotisés par quelque chose sur leur écran d’ordinateur” – et leur propension à accomplir plusieurs tâches à la fois, mais pour interroger les méthodes d’enseignement à l’heure des ordinateurs connectés, dont Howard Rheingold encourage l’utilisation en cours. Comment les utiliser et à la fois prêter attention au professeur et veiller à ce que les étudiants ne sortent pas du cours via les écrans ?

Comment être attentif dans un monde où les sollicitations sont multiples ? Mais le but doit rester clair, selon lui : Image : CC.