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Les chevaliers et les tournois - LeMoyenAge.com. Les cheveaux au Moyen âge. Les titres de noblesse. - ÉCUYER : L'écuyer, du latin scutiger ou "scutarius"(on trouve aussi comme synonyme scutifer ou armiger) est, à l'origine, un gentilhomme qui accompagnait un chevalier et portait son écu. De là, écuyer a été employé comme titre pour un jeune homme qui se prépare à devenir chevalier. Le terme est ensuite devenu, à l'époque moderne, un rang détenu par tous les nobles non titrés (abréviation : Ec.). - CHEVALIER : La chevalerie se rapporte à l'institution féodale des chevaliers et aux idéaux qui lui sont associés, ou lui sont devenus associés par le biais de la littérature, notamment l'honneur, la bravoure et la notion d'amour courtois. Le mot vient du latin caballarius dont les mots cavalerie et cavalier sont dérivés.

L'intention est, en tous cas, de distinguer le noble chevalier combattant à cheval, du paysan, soldat d'infanterie ou artilleur. La chevalerie est codifiée par certaines coutumes, notamment par la cérémonie de l'adoubement. Un vicomte était : => soit le fils cadet d'un comte, Architecture d'un château fort. Vidéo des Châteaux Forts. Personnages Historiques. Guy de Lusignan (1129 - 1194). Guy de Lusignan est né en 1129 à Lusignan. Il est le fils du seigneur Hugues VIII de Lusignan (v.1110-v.1165) et de Bourgogne de Rançon ( morte en 1169).

On ne sait que peu de choses sur le début de sa vie, excepté le fait qu'en 1163 il accompagne son père et ses frères en Terre Sainte, où il va vivre à la cour du roi Amaury de Jérusalem. A la mort du roi, en 1174, son fils Baudouin IV lui succède. En 1179 ou 1180, le roi remarie sa sœur à Guy de Lusignan, qui devient alors Comte de Jaffa et d'Ascalon. La situation du royaume est alors des plus graves. Fin 1186, Châtillon, reprenant ses pillages, attaque une caravane de Damas, s'empare du butin, et jette les voyageurs et les marchands en prison, rompant ainsi la trêve signée par le régent en 1185. En mai 1187, 150 templiers, dirigés par leur grand-maître, Gérard de Ridefort, sont défaits par plusieurs milliers de musulmans à Séphorie, près de Nazareth. Ancien Français. Histoire du français Chapitre 3 Plan du présent article Les caractéristiques principales du régime féodal furent le morcellement et la fidélité.

Afin de s'assurer la fidélité de ses vassaux, un suzerain (seigneur) accordait à chacun d'eux un fief (une terre) qui leur servait de moyen de subsistance; en retour, les vassaux s'engageaient à défendre leur seigneur en cas d'attaque extérieure. Quelles furent les conséquences politiques de ce système? Le morcellement du pays et la constitution de grands fiefs, eux-mêmes divisés en une multitude de petits fiefs; les guerres entre seigneurs étaient très fréquentes parce qu'elles permettaient aux vainqueurs d'agrandir leur fief.

Chacun vivait par ailleurs relativement indépendant dans son fief, sans contact avec l'extérieur. Dans un tel système, la monarchie demeurait à peu près sans pouvoir. 1 La naissance du français 1.1 L'avènement des Capétiens 1.2 Le premier «roi de France» 1.3 L'expansion du français en Angleterre - L'assimilation des Vikings. L'amour Courtois. L'amour courtois trouve d'abord son épanouissement dans la littérature, puis ses personnages, ses codes et ses images envahissent progressivement le cadre de vie de l'aristocratie. La cour C'est au XIIe siècle, époque d'essor économique et commercial, que la noblesse découvre, à côté des émotions fortes de la guerre, les plaisirs du confort, du luxe, des étoffes rares et des bijoux précieux. Elle se plaît à un raffinement de manières et de sentiments, dont les dames sont les inspiratrices. Ainsi s'élabore un nouvel art de vivre qui s'épanouit dans les cours royales et princières, et qui tient son nom de la vie de cour : la courtoisie.

Aliénor d'Aquitaine, mariée d'abord au roi de France puis au roi d'Angleterre, protège les troubadours et favorise l'essor des romans. La poésie lyrique des troubadours Poètes et musiciens, petits chevaliers ou princes puissants ont allié le raffinement artistique au raffinement amoureux. Les romans en vers. Définition de l'amour courtois. Étymologiquement, le terme « courtois » fait référence à la cour (de l’ancien français cort). En vieux français, le mot corteis prend le sens d'« honnête », « loyal ».

Par ailleurs, ce qui est courtois s'oppose à ce qui est « vilain », c'est-à-dire le monde rude et grossier du paysan. Enfin, la notion de courtoisie renvoie à un ensemble de valeurs, de règles de savoir-vivre et surtout à une conception bien particulière de l'amour, car nul ne peut être parfaitement courtois sans aimer. L'amour courtois L’amour courtois est une conception de l'amour d'un homme pour une femme qui est née au xiie s., dans le midi de la France, avec les troubadours occitans, et qui s'est éteinte dans la seconde moitié du xiiie s. Amour courtois et fin’amor La fin'amor (« amour parfait ») désigne plus précisément une religion de l'amour. Une conception de l'amour issue du modèle féodal : la dame suzeraine La relation amoureuse est régie par un véritable code du « savoir aimer ».

La littérature courtoise La tenso. Légendes médiévales: Merlin. Personnage-clé de la mythologie arthurienne, Merlin (aussi appelé Myrddin) est l'enchanteur. Sans lui, les aventures de la Table Ronde n'auraient pas eu la même tournure car il va introduire un côté magique et fantastique aux récits des chevaliers de la tables ronde. Merlin et Viviane Merlin a pour père le Diable en personne qui avait décidé de s'amouracher d'une mortelle. Pour cela, ayant pris forme humaine, il vint sur Terre et parvint à se faire aimer d'une fille aussi naïve que belle.

Quel ne fut pas l'effroi de la pauvrette quand elle découvrit qu'elle était enceinte. En attendant son accouchement car les juges avaient décidé de sauver l'enfant qui était innocent, la jeune fille fut jetée en prison. Durant sept années, Merlin grandit auprès de sa mère, où il révéla chaque jour, de nouveaux talents prodigieux tels que le don de lire dans la pensée d'autrui ou celui de prédire l'avenir.

Dragon rouge Arthur et Merlin l'enchanteur d'après Walt Disney Sa deuxième élève fut Viviane. Legende. Le Roi Arthur et les Chevaliers de la Table Ronde. Les romans arthuriens sont nombreux, et chaque auteur, au fil des siècles, a ajouté sa touche personnelle, a modifié le mythe initial. Par conséquent, de nos jours il est très difficile de présenter des légendes uniformes. A l'inverse, les différentes versions sont souvent contradictoires.Ne vous attendez donc pas à trouver sur ces pages la véritable légende arthurienne. Celle-ci n'existe pas. Je ne peux que tenter de vous présenter un point de vue parmi beaucoup d'autres, que j'ai cependant choisi parce qu'il correspond aux écrits de Chrétien de Troyes, qui me sert de référence majeure.

L'histoire. Des conflits internes :Les divers chefs Bretons et Gallois sont alors divisés par d'incessantes querelles, et passent leur temps à guerroyer entre eux, sans grand succès.Tous ces rois, postulants à un trône unificateur, souffrent d'un problème de légitimité : les différentes invasions ont entraîné une grande diversité de peuples et de cultures dans le royaume. La légende. Merlin * * * * * * * La légende du roi Arthur. Pour ses nobles seigneurs dont chacun s'estimait le meilleur et dont nul ne savait qui était le moins bon, Arthur fit faire la Table ronde sur laquelle les Bretons racontent bien des récits.

Les seigneurs y prenaient place, tous chevaliers, tous égaux. Wace, Le Roman de Brut, ca. 1155 La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s'est constituée et développée durant des siècles. L'aventure est l'élément essentiel de ce grand mythe qui traverse le Moyen Âge : les chevaliers partent prouver leur courage, et surtout, avec la Quête du Graal, éprouvent leur foi et leur vertu… Les exploits du roi Arthur, de Merlin, de Lancelot ou de Perceval continuent, par-delà les siècles, à fasciner notre imaginaire, et les chevaliers de la Table ronde nous apparaissent aujourd'hui comme des chercheurs de Connaissance, lancés dans une quête initiatique. Le symbole de l’idéal chevaleresque La Quête du Saint-Graal, vers 1220-1230 Merlin l'Enchanteur, maître du destin.