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Farms and farmers

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Start-Ups Rise to Close a Gap for Farmers. Photo WELLESLEY, Mass. — In spite of the surging demand for locally and regionally grown foods over the last few years, there is a chasm separating small and midsize farmers from their local markets.

Start-Ups Rise to Close a Gap for Farmers

But a growing number of small businesses are springing up to provide local farmers and their customers with marketing, transportation, logistics and other services, like the Fresh Connection, a trucking business providing services to help farms around New York City make deliveries. The brainchild of Mark Jaffe, who previously organized tenants for bargaining purposes, the Fresh Connection expects to close this year with revenue of $270,000, up from just $5,300 when it started in 2012. “It’s not sexy, but I like doing it,” Mr. Jaffe said. The business now leases three such trucks and has four full-time and two part-time employees, and Mr. Then Whole Foods came along and demonstrated that there was money to be made in local agriculture. Le rendez-vous des papilles. Don’t Let Your Children Grow Up to Be Farmers. Photo NEW HAVEN — AT a farm-to-table dinner recently, I sat huddled in a corner with some other farmers, out of earshot of the foodies happily eating kale and freshly shucked oysters.

Don’t Let Your Children Grow Up to Be Farmers

We were comparing business models and profit margins, and it quickly became clear that all of us were working in the red. The dirty secret of the food movement is that the much-celebrated small-scale farmer isn’t making a living. After the tools are put away, we head out to second and third jobs to keep our farms afloat. Ninety-one percent of all farm households rely on multiple sources of income. Others of us rely almost entirely on Department of Agriculture or foundation grants, not retail sales, to generate farm income. My experience proves the trend.

But what about the thousands of high-priced community-supported agriculture programs and farmers’ markets that have sprouted up around the country? Homards du Québec: une industrie en quête d'équité. Germain Chevarie, député libéral des Îles-de-la-Madeleine et adjoint parlementaire aux pêches, a confirmé samedi au Soleil l'existence de cette étude lancée au début de la saison du homard.

Homards du Québec: une industrie en quête d'équité

Pour lui, pas de doute qu'il faut donner un coup de pouce aux pêcheurs de la province. «Actuellement, au niveau du marché du homard, pour l'ensemble de l'est du Canada, il y a des problématiques de prix», expose-t-il. Depuis 2008, les pêcheurs de homards du Québec, tant aux Îles-de-la-Madeleine qu'en Gaspésie, déplorent une dévalorisation de leur produit, notamment par une surabondance de l'espèce sur le marché. En conséquence, ils n'obtiennent rarement plus de 5 $ la livre. «C'est l'ensemble du circuit du homard qu'on est en train de réfléchir. O'Neil Cloutier, directeur général de l'Association des pêcheurs professionnels du sud de la Gaspésie, se réjouit de la mise en place d'une telle étude.

C'est à ce genre de problématique que tentera de répondre l'étude du MAPAQ. Logique «de volume» Quand les coops sonnent la charge. Mardi dernier, Agropur a révélé qu'elle avait conclu l'acquisition de quatre usines de transformation laitière dans l'Ouest canadien qui appartenaient au groupe Sobeys qui en avait hérité lors du rachat, l'an dernier, des actifs de Safeway au Canada.

Quand les coops sonnent la charge

La coopérative québécoise a mis la main sur trois usines de transformation laitière à Winnipeg, Edmonton et Burnaby, en Colombie-Britannique, ainsi que sur une usine de crème glacée à Edmonton. Agropur va payer 356 millions de dollars pour réaliser cette percée dans l'Ouest canadien, où elle exploitait déjà des usines en Colombie-Britannique et en Alberta mais où elle était absente du Manitoba. Cette nouvelle présence manitobaine va permettre à la coopérative laitière de couvrir l'ensemble du marché canadien et de renforcer sa position de transformateur laitier auprès de ses gros clients, les Loblaws, Sobeys, Metro, Costco et Walmart de ce monde.

«Comme coopérative de producteurs laitiers, notre rôle est de protéger les actifs de nos membres. Death on the Farm.