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L’autorité est de retour, il était temps. Chroniques d’experts Management Le 13/03/2018 © Getty Images Temps de lecture : 4 minutes Souvent jugée anachronique, la posture managériale d’autorité est pourtant nécessaire pour conduire le changement.

L’autorité est de retour, il était temps

Et si l’on replaçait l’autorité au cœur de la posture managériale ? Fin 2017, l’Apec publiait une étude très détaillée sur le marché de l’emploi cadre. L’impératif d’autorité Or il n’y a rien de plus faux. Alors, quid de l’autorité ? Le pari d’Elon Musk L’actualité des entreprises est rythmée par l’annonce de plans stratégiques. Le pari, soi-disant fou, de Space X s’avère à ce titre remarquable. Il nous faut donc sortir du raccourci des idées préconçues, ou du prêt-à-penser, et revenir au fondement du management. Abonnez-vous et bénéficiez d'un contenu illimité sur tous les supports Je suis déjà abonné, je me connecte. Comment guérir du syndrome de la bonne élève ? Si vous êtes de celles qui pensent que pour être reconnue, il faut réussir brillamment, c’est que vous êtes sûrement assise à la rangée des bonnes élèves.

Comment guérir du syndrome de la bonne élève ?

Un goût prononcé pour le perfectionnisme qui risque fort de vous jouer des tours en entreprise, à commencer par servir l’ambition de quelqu’un d’autre. Les explications avec Sylvia Lecardronnel, coach et auteure de Propulsez votre carrière au féminin. Statistiquement, les filles surpassent les garçons à l’école : en 2014, 92% d’entre elles étaient bachelières contre 89% de leurs comparses masculins. 31% décrochaient même une mention « bien » ou « très bien » contre 28% des garçons. Un constat encore plus prononcé dans les filières scientifiques avec 38% de filles à obtenir ces mentions contre 33% des garçons d’après des chiffres avancés par le Ministère de l’Education.

Si elles réussissent mieux, c’est tout simplement car les filles ont davantage intégré les codes de l’école. Du savoir-faire, mais peu de faire-savoir @Paojdo. Www.blog-management. Le leadership n’est pas une compétence spécifique aux hommes ou aux femmes.

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En revanche, les femmes peuvent ressentir le besoin de travailler plus spécifiquement les éléments de cette compétence. Voici 6 leviers pour vous accompagner en tant que femme leader. Qu’est-ce que le leadership ? Pour nous accorder, on peut définir que le leadership relève de la capacité d’une personne à : en influencer d’autres.susciter la participation de personnes ou de groupes au regard d’objectifs suivis.mobiliser et développer une communauté performante.

Premier levier pour devenir une femme leader : interroger les stéréotypes. De la super woman qui enchaîne les doubles journées à la femme fragilisée par ses contraintes familiales. Décider comment décider. Chroniques d’experts Management Le 17/09/2019 © Getty Images Temps de lecture : 7 minutes Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de prendre une décision, seulement une façon de trancher adaptée ou non à une situation donnée à un instant T.

Décider comment décider

Simon Sinek: How great leaders inspire action. Il suffit de 10% des collaborateurs pour changer toute l'entreprise - HBR. Chroniques d’experts Organisation Le 23/09/2019 © Getty Images Temps de lecture : 6 minutes Pour porter une « transformation virale », il faut compter sur les convictions contagieuses des plus engagés.

Il suffit de 10% des collaborateurs pour changer toute l'entreprise - HBR

Résultats Google de recherche d'images correspondant à. Empathie - Le jeu des trois figures. Les empathies Imaginez un bateau comme en dessinent les enfants : la coque, les cabines des passagers, et tout au-dessus la cheminée.

Empathie - Le jeu des trois figures

L’empathie directe est figurée par la coque du bateau. Tous les bateaux ont en effet une coque, et tous les humains possèdent plus ou moins cette capacité. Elle se constitue en trois étapes : l’empathie affective qui permet à partir d’un an de reconnaître l’émotion de l’autre, et en y répondant, de créer un partage émotionnel ; l’empathie cognitive qui permet de comprendre, à partir de quatre ans et demi, que l’autre est différent de soi ; enfin, l’empathie « mature » qui permet, à partir de neuf ans, de se mettre émotionnellement à la place de l’autre en changeant de perspective émotionnelle.

Cette troisième et dernière dimension de l’empathie directe est un processus conscient qui nécessite d’être soutenu et encouragé, notamment à l’adolescence. L’empathie réciproque est figurée par le pont et les cabines des passagers. Les empathies modifiées par le J3F. Les neurones miroirs.