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Neurosciences

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Comment accompagner un jeune avec un TDAH? Pour aider un jeune ayant un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), il existe plusieurs possibilités. Ce dossier thématique, qui s’adresse aux parents, aux enseignants et aux jeunes présentant un TDAH, dresse un portrait des méthodes et stratégies pour mieux vivre avec cette situation. On diagnostique davantage de garçons TDAH que de filles.À ce jours, on tend à associer les causes de TDAH à des facteurs biologiques ou génétiques.Les méthodes d’intervention auprès des jeunes présentant un TDAH ne font pas l’unanimité. D'où vient la sensation de déjà-vu ?

Étranges, les phénomènes de déjà-vu fascinent depuis longtemps.

D'où vient la sensation de déjà-vu ?

Des neurologues ont découvert récemment qu’une anomalie de fonctionnement du cortex rhinal pourrait en être la cause. Avez-vous éprouvé la curieuse sensation d’avoir déjà vécu l’instant présent ? Alors que vous festoyez entre amis ou que vous arrivez dans un aéroport pour la première fois, vous éprouvez soudain la certitude de revivre cette scène. Environ deux tiers d’entre nous ont éprouvé ce sentiment, qualifié tantôt de « déjà-vu », d’« illusion d’avoir été là avant » ou encore de « paramnésie ». Si on en trouve des descriptions dans les textes anciens et dans de nombreuses langues, le terme a été proposé pour la première fois par le médecin français Émile Boirac en 1876 (1). Le philosophe Henri Bergson (4) considérait que la perception et la mémorisation étaient deux événements simultanés. Inattention de la perception. Le cerveau divisé - Pourquoi l'hémisphère gauche nous domine. Ne penser à rien favorise l'imagination. L'essentiel - Même quand nous ne sommes occupés à aucune tâche précise, notre cerveau reste actif. - Durant ces phases, un réseau d'aires cérébrales s'active.

Ne penser à rien favorise l'imagination

C'est le « réseau par défaut ». - Laisser voguer son esprit permet de changer de perspective et favorise l'apparition d'idées innovantes. L'auteur. «Réfléchir, c’est résister à soi-même» Rencontre avec Olivier Houdé. Pour le psychologue Olivier Houdé, on apprend en résistant à ses propres automatismes.

«Réfléchir, c’est résister à soi-même» Rencontre avec Olivier Houdé

Bonne nouvelle, ça se travaille ! Neurosciences. Comprendre, apprendre, mémoriser. Les neurosciences au service de la. Joseph Stordeur, chercheur belge, commence par expliquer la différence, en termes de processus biologiques sous-jacents, entre comprendre, apprendre et mémoriser.

Comprendre, apprendre, mémoriser. Les neurosciences au service de la

Les stimulations sensorielles provoquent la circulation à travers les neurones d’un influx électrique et l’ouverture des canaux à sodium. Il s’agit d’une réaction rapide et éphémère de compréhension immédiate qui entraine, au mieux, un effet d’amorçage qui facilitera l’action des neurotransmetteurs lors des prochaines sollicitations. "Du vrai, du beau, du bien", par Jean-Pierre Changeux. Neurosciences neuroeducation et conflit cognitif. Histoire du cerveau. De l'Antiquité aux neurosciences. Dehaene. Le cerveau à tous les niveaux. Votre cerveau n’a pas fini de vous étonner, Collectif. Neurosciences et pédagogie.

Dans le monde de l'éducation, c'est une innovation : améliorer l'enseignement et l'apprentissage par ce qu'on connaît du fonctionnement du cerveau.

Neurosciences et pédagogie

Et cela s'appelle la neuropédagogie. Domaine de recherche relativement nouveau qui fait la jonction entre les neurosciences et les sciences de l'éducation, il s'intéresse aux processus biologiques en jeu dans l'apprentissage ainsi que les expériences sociales et émotionnelles. La gymnastique du cerveau D'une manière pratique, les applications de la neuropédagogie mènent vers des évolutions dans la manière d'enseigner et d'apprendre et vise in fine à "stimuler de nouvelles zones du cerveau, à créer de nouvelles connexions pour faciliter les apprentissages".

«Réfléchir, c'est résister à soi-même» Rencontre avec Olivier Houdé. Restrepo2014_AdvanceOnline.pdf. Intelligence Day - L'intelligence ? De quoi parle-t-on ?

Mémoire

Dossier : L'intelligence de l'enfant. 10 Ways That Brain Myths Are Harming Us. Governments are pouring unprecedented sums of money into neuroscience.

10 Ways That Brain Myths Are Harming Us

They want to know how the three pounds of meaty head sponge gives rise to human memory, personality and consciousness, and why it can go so tragically wrong. For now, so much remains mysterious. Unfortunately this ignorance is providing the perfect breeding ground for myth and misconception. For every genuine break through, there is parallel excretion of hype or utter neurobunk.

Disclaimer: I’ve written a new book about brain myths called Great Myths of the Brain. 1). 2). Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences. D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. La musique qui « panse » les neurones. L'auteur Emmanuel Bigand, professeur de psychologie cognitive, dirige le Laboratoire d'étude de l'apprentissage et du développement, UMR 5022, à l'Université de Bourgogne, à Dijon.

La musique qui « panse » les neurones

Barbara Tillmann, directrice de recherche CNRS, dirige l'équipe Cognition auditive et psychoacoustique au Centre de recherche en neurosciences de Lyon, CNRS-UMR 5292, inserm U 1028, Université Lyon-I. Du même auteur. Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene. Neuroscepticisme
 The Dyslexia Debate. Certains enfants ont, plus que d’autres, du mal à apprendre à lire.

The Dyslexia Debate

Selon les troubles qu’ils présentent, ces enfants sont parfois diagnostiqués dyslexiques. Ce jugement médical a pour effet de rassurer les parents, non seulement parce qu’il élimine la hantise d’un retard mental, mais aussi parce qu’il donne l’impression que l’origine des problèmes de leur progéniture ayant été identifiée, l’enfant pourra bénéficier d’un soutien scolaire ou orthophonique approprié. Or, selon les auteurs de ce livre, ce diagnostic est inutile et même néfaste. Le point de départ de leur argumentation est que la dyslexie n’est pas un problème bien identifié.