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Objets à récupérer. L'émergence de la Consommation collaborative - Economie. Habitat. The Rise of the Sharing Economy. Collaborative consumption, peer-to-peer marketplaces, the sharing economy — it's been called a few names by now, but no one is denying that the idea of accessing rather than owning is controversial — and it's taking the Internet by storm.

Peer-to-peer marketplaces, of which Airbnb is the beloved poster child, have been popping up for the past few years, but 2011 was an explosive year for the sector. Whether you wanted to borrow or rent someone's apartment, bike, car, parking spot or random household good, you could find a marketplace to do it. This is only the beginning, though; 2012 looks to be a promising year for those involved with the sharing economy. Super angel Ron Conway recently identified it as 2012's hot area for angel investment in The Economist. And Fast Company deemed 2012 the "year of peer-to-peer accommodations," thanks to the emergence of Airbnb clones that hinged off of the company's outstanding growth.

It's All About Value Knodes and SnapGoods founder Ron J. Renting vs. Pratiques collaboratives. Etude sociologique. Comparatif des sites de covoiturage. La consommation collaborative. Parmi les nouvelles tendances de consommation qui se sont développées ces dernières années et qui sont favorisées par la crise économique actuelle, la consommation collaborative est certainement l’une des plus intéressantes. Elle a même été citée par le très sérieux Time Magazine comme l’une des dix idées qui vont changer le monde ! Cette forme de consommation peut se manifester de nombreuses manières, puisqu’il peut s’agir de louer, prêter, partager ou encore échanger des biens ou des services, tout en créant de nouvelles formes de lien social. Facilitée par le développement des réseaux sociaux et plus généralement des communautés sur internet, la consommation collaborative est actuellement en plein boom, et touche de nombreux secteurs d’activité.

Voici les 3 grands types de consommations collaboratives, ainsi que quelques exemples de sites internet correspondants : Pour en savoir plus : Usages, mésusages. C’est en lisant Paul Ariès (Wikipédia), rédacteur en chef du Sarkophage – notamment La simplicité volontaire contre le mythe de l’abondance -, que j’ai mieux compris les limites qui me chiffonnaient dans la consommation collaborative. Celle-ci nous est souvent présentée sous les atours du partage et du don, alors qu’elle n’en est pas toujours. Le covoiturage et l’autopartage ne sont pas inspirés par une vision altruiste, comme on l’entend trop souvent.

Le premier moteur du covoiturage et de l’autopartage n’est pas le partage, mais l’économie. Ce n’est pas sauver la planète qui motive les covoitureurs et les autopartageurs, mais amoindrir l’impact de la crise sur leurs finances personnelles, comme le soulignait déjà l’étude 2010 de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (.pdf). Les utilisateurs de ces services sont d’abord à la recherche de revenus complémentaires. La consommation collaborative… c’est encore de la consommation De l’usage au mésusage Hubert Guillaud. Trust and user experience. CommentReparer.com - Apprenez à tout réparer. Preter un jardin | créer potager | partager son jardin - Savez-vous planter chez nous.