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ARMANISME

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Rose-Croix. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Rose-Croix

Le Temple de la Rose-Croix, gravure du Speculum Sophicum Rhodostauroticum (Miroir de la sagesse des Rose-Croix) de Teophilus Schweighardt Constantiens (pseudonyme de Daniel Mögling), 1618. La Rose-Croix est un ordre hermétiste chrétien légendaire dont les premières mentions remontent au début du XVIIe siècle en Allemagne. Sainte-Vehme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sainte-Vehme

La Sainte-Vehme était une société secrète d'inspiration chrétienne créée en Westphalie au XIIIe siècle et active jusqu'au début du XIXe siècle. Son nom vient du néerlandais veem (corporation). L'institution prétendait agir au nom du Saint-Siège. Son apparition coïncide avec les troubles qui suivent, en 1254, la mort de Conrad IV de Hohenstauffen, empereur d'Allemagne : la vacance de la monarchie centrale, la lutte entre les maisons de Habsbourg et de Luxembourg, le pillage des domaines de la couronne et la division du clergé permettent aux seigneuries locales et aux villes d'acquérir une autonomie politique, conduisant à l'explosion politique de l'Empire allemand.

L'objectif de la Sainte-Vehme était de contrebalancer l'éparpillement politique par une unité juridictionnelle. Son but était de rendre justice de manière expéditive (les condamnés étaient généralement pendus). Ordre du Temple. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ordre du Temple

Cet article traite des Templiers d'un point de vue strictement historique. Pour plus de détails sur les légendes et les théories aujourd'hui non validées sur l'ordre du Temple voir l'article Légendes au sujet des Templiers L'ordre du Temple était un ordre religieux et militaire issu de la chevalerie chrétienne du Moyen Âge, dont les membres étaient appelés les Templiers.

Naissance de l'ordre du Temple[modifier | modifier le code] Le contexte religieux et politico-militaire[modifier | modifier le code] Au XIe et XIIe siècle, le renouveau du monachisme chrétien vit la fondation de nombreux ordres religieux avec notamment les convers qui privilégiaient le travail manuel, et la rénovation de la vie canoniale qui adopta la Règle de saint Augustin, les chanoines s'engageant à la différence des moines dans des activités hospitalières (Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, Ordre de Saint-Lazare de Jérusalem) ou dans la vie paroissiale.

Guilde. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Guilde

Pour le jeu de rôle, voir l'article Guildes. Ce mot provient du vieux norois gildi signifiant « coopération » ou « assemblée » ou « troupe » (autour d'un repas ou d'une trinquerie, beuverie, potacio[1]) et par extension, accord, entente, de personnes entre elles. Franc-maçonnerie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Franc-maçonnerie

Le mot franc-maçonnerie désigne un ensemble de phénomènes historiques et sociaux très divers formant un espace de sociabilité[1] qui recrute ses membres par cooptation[2] et pratique des rites initiatiques faisant référence à un secret maçonnique et à l'art de bâtir. Difficilement traçable historiquement, elle semble apparaître en 1598 en Écosse[3] (Statuts Schaw), puis en Angleterre au XVIIe siècle. Ariosophy. Christianisation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Christianisation

La christianisation est un processus qui consiste à intégrer quelqu'un ou quelque chose au christianisme. Cela peut être fait de façon pacifique, avec l'évangélisation et les missionnaires ou militaires, à l'image par exemple des croisades, de la Reconquista, de l'expansion du Royaume franc de Charlemagne ou encore de la Colonisation européenne des Amériques. Il peut également s'appliquer à des objets (certains menhirs ont par exemple été christianisés par l'ajout d'une croix en leur sommet). Charlemagne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Charlemagne

Charlemagne du latin Carolus Magnus, ou Charles Ier dit « le Grand » (en allemand Karl der Große) dans la nomenclature qui commence avec Clovis Ier, né en 742 et mort le à Aix-la-Chapelle[1], est le membre le plus éminent de la dynastie franque à laquelle il a donné son nom alors qu'il n'en est pas le fondateur : les Carolingiens. Monarque guerrier, il agrandit notablement son royaume par une série de campagnes militaires, en particulier contre les Saxons païens dont la soumission a été très difficile et très violente (772-804), mais aussi contre les Lombards en Italie et les Musulmans d'Espagne. Souverain réformateur, soucieux d'orthodoxie religieuse et de culture, il protège les arts et les lettres et est à l'origine de la « renaissance carolingienne ».

Son œuvre politique immédiate, l'empire, ne lui survit cependant pas longtemps. Les sources[modifier | modifier le code] Les sources sont[9] : Graal. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Graal

Le roi Arthur, les chevaliers de la Table ronde et le Graal. Origine et évolution de la figure du Graal[modifier | modifier le code] L'objet légendaire du Graal apparaît pour la première fois à la fin du XIIe siècle (au Moyen Âge) dans le roman Perceval ou le Conte du Graal (chapitres 8, 15 et 19), de Chrétien de Troyes, comme avatar du chaudron d'immortalité du Dagda – talisman de la mythologie celtique. Eddas. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Eddas

Frontispice d'un manuscrit médiéval des Eddas Les Eddas sont deux manuscrits du XIIIe siècle fort différents qui constituent des compilations poétiques. Dietrich Eckart. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dietrich Eckart

Pour les articles homonymes, voir Eckart. Dietrich Eckart à la fin du XIXe siècle. Guido von List. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir List. Guido von List. Guido von List. Journal Hammer (1902) Germanenorden. Rudolf von Sebottendorff: bust by German sculptor Hanns Goebl The Germanenorden (Germanic or Teutonic Order, not to be confused with the medieval German order of the Teutonic Knights) was a völkisch secret society in early 20th century Germany. It was founded in Berlin in 1912 by Theodor Fritsch and several prominent German occultists including Philipp Stauff, who held office in the List Society and High Armanen Order as well as Hermann Pohl, who became the Germanenorden’s first leader. The group was a clandestine movement aimed at the upper echelons of society and was a sister movement to the more open and mainstream Reichshammerbund.[1] The order, whose symbol was a swastika, had a hierarchical fraternal structure based on Freemasonry.

Local groups of the sect met to celebrate the summer solstice, an important neopagan festivity in völkisch circles (and later in Nazi Germany), and more regularly to read the Eddas as well as some of the German mystics.[2] Rudolf von Sebottendorf. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Rudolf von Sebottendorf Le baron Rudolf von Sebottendorf, de son vrai nom Adam Alfred Rudolf Glauer, (né à Hoyersweda, et mort le ), ingénieur allemand naturalisé turc, fut un des hommes qui menèrent la Société Thulé. Il était franc-maçon, pratiquait la numérologie, l'astrologie, l'alchimie et était adepte du soufisme et de la théosophie et de l'Ordre des Germains. Biographie[modifier | modifier le code] Établi en Turquie en 1908, et naturalisé Turc en 1911, il fut initié au sein d'une confrérie musulmane soufie des Bektashi. Glauer-Sebottendorf revint en Allemagne vers 1913 sous le nom de baron von Sebottendorf pour y mener l'action de la Société Thulé. La Société Thulé fut une société « secrète » allemande qui est supposée avoir donné une base idéologique aux Nazis aux prémices de la Seconde Guerre mondiale, en mêlant une idéologie d'extrême-droite antisémite et pangermaniste à l'étude des Runes et des anciennes légendes germaniques.

Société Thulé. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Thulé. Parti ouvrier allemand. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Parti ouvrier allemand (en allemand Deutsche Arbeiterpartei, DAP) est un parti politique allemand d'extrême droite (pangermaniste, völkisch et antisémite) à l’origine du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (Nationalsozialistische deutsche Arbeiterpartei, NSDAP), le parti nazi. C'est dans cet éphémère mouvement politique fondé en 1919 à Munich qu'Adolf Hitler fait ses premières armes et accède à la notoriété. Le futur Führer transforme le DAP en NSDAP et en fait un instrument docile au service de ses ambitions. Fondation[modifier | modifier le code] Le Parti ouvrier allemand est fondé le par Anton Drexler et Michael Lotter au Fürstenfelder Hof à Munich devant 24 personnes, la plupart employés des chemins de fer[1].

Parmi les membres fondateurs, on compte Dietrich Eckart[note 1] et Gottfried Feder, qui allait devenir quelques mois plus tard le mentor en matière d'économie d'Adolf Hitler. — Adolf Hitler, Mein Kampf, p. 217. Hans Frank. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Frank. Hans Frank. Karl Harrer. Dietrich Eckart. Putsch de la Brasserie. Gottfried Feder. Parti ouvrier allemand. Parti national-socialiste des travailleurs allemands. Reichshammerbund (1912)