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COMMENT ON REGARDE

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700 films rares et gratuits disponibles ici et maintenant. C’est un cadeau immense comme seul internet peut nous en offrir. Plus de 700 films rares totalement gratuits, disponible immédiatement grâce au site OpenCulture qui se bat pour éduquer et donc transmettre le meilleur de la culture totalement gratuite sur le web. On ne peut alors s’empêcher de céder aux sirènes cinématographiques qui sont ici multiples et très sophistiquées. Les films, courts ou longs métrages, présentés sont pour certains des chef-d’œuvres inoubliables à découvrir ou redécouvrir ou mieux encore, des perles rares comme les premiers court-métrages de réalisateurs comme George Lucas, Wes Anderson, Stanley Kubrick, Jean Cocteau, Andy Warhol, Salvador Dali, Andreï Tarkovski ou encore Christopher Nolan, David Lynch, Tim Burton, David Cronenberg, Sofia Coppola…bref, vous en avez pour tous les goûts. Nous avons quant à nous réalisé une première sélection pour terminer les nuits d’hiver avec bien plus d’émotions contemplatives que ce que peut offrir Netflix ou CanalPlay.

« Offrez ce journal à un réfugié » « Nous voulons vous aider », écrit le maire de Berlin, Michael Müller, dans un texte publié le 9 septembre dans le supplément des journaux allemands « Bild » et « BZ » destiné aux migrants. Alors que l'Allemagne a accueilli des milliers de réfugiés sur son sol ces derniers jours, deux journaux publient, mercredi 9 septembre, un supplément destiné à aider ceux d'entre eux qui arrivent à Berlin.

Rédigé en arabe, ce petit cahier de quatre pages est inséré dans l'édition locale Berlin-Brandebourg du quotidien Bild, le plus lu d'Allemagne, et dans le tabloïd berlinois BZ. « Offrez cet exemplaire (...) à un réfugié après l'avoir lu », peut-on lire à la « une » du jour de BZ. Le supplément comporte une carte de Berlin, un glossaire des mots et expressions allemands les plus courants, ainsi que des adresses d'organisations non gouvernementales (ONG) ou de centres d'accueil pour réfugiés. « Un supplément qui vient en aide aux réfugiés qui arrivent à Berlin ! « Nous voulons vous aider. Méditez votre catalogue Ikéa, ce grand livre de sagesse moderne.

Le groupe d'ameublement suédois a inventé une philosophie très commode. À méditer au fil des pages. Chaque année, le débarquement du catalogue Ikéa dans ma boîte aux lettres constitue un véritable événement. C’est un signe, à l’instar de la migration des oiseaux ou de la disparition des Crocs de mon champ de vision, qui annonce la fin prochaine de l’été et l’arrivée imminente de week-ends cauchemardesques à déambuler dans un immense hangar bleu et jaune. Sur la couverture de ce parallélépipède de 330 pages, un papa mal peigné et vêtu d’un hoody approximatif sert un jus d’orange à son fils, monté sur un marchepied Mästerby à 29,90 euros.

On pourrait être n’importe où, dans une sorte de Brooklyn globalisé où les gens font pousser leurs cornichons en intérieur et aiment à marcher pieds nus sur des sols en bois bruts. Troisième ouvrage le plus diffusé au monde De petites choses toutes simples, qui contribuent à rendre le quotidien extraordinaire On tourne la page. Une pensée révolutionnaire. La presse actuelle couvrant la Première Guerre mondiale. La presse actuelle couvrant le règne de Louis XIV. Le 1er septembre 1715, il y a trois cents ans, Louis XIV s'éteignait après plusieurs semaines d'agonie. Mort à l'âge de 76 ans entouré de ses courtisans, le Roi-Soleil était atteint d'une terrible gangrène de la jambe gauche. De son règne, on retiendra une longévité record sur le trône (72 ans), l'instauration d'une monarchie absolue, son goût pour le bling-bling, l'épreuve de la Fronde, sa trentaine de maîtresses vérifiées ou supposées et, bien sûr, les fêtes monumentales qu'il donnait dans son château de Versailles.

Alors que la presse de 2015 est largement revenue sur ce tricentenaire et qu'il est même possible de suivre en direct l'agonie du roi sur le compte Twitter du Château de Versailles, nous avons choisi d'imaginer ce qu'auraient titré nos journaux à l'époque, comme nous l'avions fait pour la Première Guerre mondiale et pour la série Game of Thrones. En supposant, bien sûr, que la liberté d'expression était alors acquise... Pourquoi «enfant du miracle»? En voici la morale: Quand une civilisation doit mourir...

Autopsie de la rumeur. Les réseaux sociaux font de nous des losers. RÉSEAUX SOCIAUX - Sur Facebook et Instagram, on ne montre que les bons côtés de la vie, des morceaux choisis par nos soins. À quel point cette mise en scène peut-elle impacter négativement ceux qui en sont à la fois les spectateurs et les acteurs? Plages paradisiaques, hamburgers alléchants et soirées déjantées, voilà que ce l’on voit passer en quasi-permanence sur nos timelines Facebook et Instagram. Et pour cause, sur les réseaux sociaux, armes fatales du personal branding, on ne dévoile que ce l’on veut bien et en particulier ce qui est susceptible de faire saliver nos voisins virtuels. Ces mises en scène incessantes, celles des autres mais aussi les nôtres, peuvent-elles nous impacter négativement et nous rendre, au final, malheureux? Si ça se trouve, cette jeune femme s’emmerde profondément Instagram/sinsuco Le sentiment de solitude du spectateur accentué La vie rêvée des autres… Capture d’écran du dessin illustrant le billet de Marine Normand sur Retard Magazine © Roca Balboa.

On déteste croiser d'autres Français à l’étranger. Ce comportement s'explique notamment par le choc de deux visions du tourisme. Imaginez que vous effectuez un road trip au Sri Lanka. Après plusieurs jours de voyage, vous voilà à Dambulla, jolie ville-sanctuaire du centre du pays. Vous venez de grimper plus d'une centaine de marches pour accéder à une «cave» renfermant un temple bouddhiste millénaire ainsi qu'un énorme Bouddha caché. Les moines vous accueillent avec le sourire et les singes tentent de voler vos offrandes. Soudain, une autre touriste vient briser l’atmosphère apaisante de ce lieu sacré. Le Français, cet être infâme qui ne respecte rien Si vous avez déjà voyagé à l’étranger, vous avez sûrement vécu ce moment de gêne incomparable.

Les médias, les blogs spécialisés et les réseaux sociaux relaient d’ailleurs régulièrement ce genre de comportements, forcément agaçants. (Le mot «gueush» signifiant bien évidemment «bouffon» ici) Un comportement de repli qui peut pourtant paraître étrange. André Rauch Vincent Manilève. Human - Un film. Pourquoi nous aimons surtout les mauvaises nouvelles. Les médias sont régulièrement accusés d'abreuver les masses de nouvelles dramatiques. Mais si nous n'étions pas des consommateurs avides des informations qui font peur, ils cesseraient de les diffuser, au lieu de pratiquer cette surenchère permanente.

D'où nous vient cette fascination pour les catastrophes et autres mauvaises nouvelles ? Serions-nous tous des voyeurs morbides ? Cette curiosité malsaine, est pourtant indissociable de la nature humaine. Dans un article, publié sur AgoraVox en 2005, je m'interrogeais sur la « société de mise en scène de la peur » selon l'expression du philosophe Michel Serres, qui n'hésitait pas à parler « d'audimat de la mort » en observant que les nouvelles catastrophiques dominaient dans les vingt premières minutes des journaux radio et télé. La peur est un mécanisme utile à la survie de l'espèce Les faits positifs n'ont pas la même utilité Un cerveau programmé pour la survie plus que pour le bonheur "Good news is no news" disait Marshall MacLuhan.

Le baiser est-il universel ? Extrait du film « Spider-Man » de Sam Raimi (2002). © Columbia Pictures. Dans la tirade du baiser, Cyrano explique ainsi la beauté du geste : « Un baiser, mais à tout prendre, qu’est-ce ? / Un serment fait d’un peu plus près, une promesse / Plus précise, un aveu qui veut se confirmer, / Un point rose qu’on met sur l’i du verbe aimer ; / C’est un secret qui prend la bouche pour oreille, / Un instant d’infini qui fait un bruit d’abeille, / Une communion ayant un goût de fleur, / Une façon d’un peu se respirer le cœur, /Et d’un peu se goûter, au bord des lèvres, l’âme ! » N’en déplaise à Edmond Rostand et aux poètes, les scientifiques qui se sont penchés sur ce contact bucco-buccal ont eu tendance à négliger le frisson qu’il procure et à lui chercher d’autres objectifs.

En raisonnant en termes évolutionnistes, ils se sont demandé quel intérêt il pouvait y avoir à s’embrasser à pleine bouche et nombre d’hypothèses ont été émises, rassemblées dans une étude de 2013. Comment ont-ils procédé ? A quoi rêvent de jeunes filles ? Mettre en lumière nos petites horreurs. Pourquoi les islamistes sont-ils angoissés par la femme? Se lever le matin, puis lire une information brève dans un journal arabophone de Londres: le savant théologien saoudien, le cheikh Abd Errahman Ben Nasser El Barek, a annoncé que le droit de conduire pour les femmes «va ouvrir les portes de l'enfer pour le Royaume» qui lui donne son salaire. Que cela va conduire à la corruption, au mal, aux maux et au désastre. Puis relire et réfléchir sur la question de fond: pourquoi les islamistes sont aussi angoissés par les femmes?

D'où vient cette obsession? On peut creuser et dire que le rapport trouble avec les femmes est un produit dérivé des monothéismes en général: religions puritaines, nées dans les déserts désincarnés, à l'époque des rapts et des viols qui imposent de cacher les femmes et les voiler ou les enterrer. Même avec l'avènement des monothéismes, l'idée est restée et revient dans la tête quand la préhistoire revient dans l'histoire. On peut aussi creuser et parler de troubles: l'islamiste n'aime pas la vie. En dernier? Close. " Djihad ", la pièce : un pari réussi. Pourquoi le préservatif n’a (quasiment) jamais évolué. En 1993, alors que Danny Resnic était en pleine relation sexuelle anale avec une rencontre d’un soir à Miami Beach, le préservatif en latex de son partenaire craqua.

Resnic se protégeait depuis que l’homme qu’il décrit comme «[son] meilleur ami et l’amour de [sa] vie» était mort du sida en 1984. «J’ai toujours recherché une relation monogame et je ne suis jamais vraiment satisfait des relations sexuelles de passage», explique-t-il, mais, dans la sous-culture gay de Miami Beach, où il était venu après avoir quitté la Californie en 1991, les plans cul étaient la norme.

Lorsque Resnic couchait avec des types qu’il ne connaissait pas, il insistait toujours pour utiliser une capote. Après plusieurs semaines à se ronger les sangs, Danny Resnic fit un test de dépistage du VIH. Positif. Les risques de contracter le VIH après une relation sexuelle anale non protégée sont extrêmement minces –moins de 1% selon les experts. «Je n’arrivais pas à le croire, se rappelle Danny Resnic aujourd’hui.

Porosité. En France, le tabou de la stérilisation contraceptive. Une sage-femme pratique un examen dans la maternité de Caen. AFP PHOTO MYCHELE DANIAU « Si un homme ne veut pas d’enfant, on dit que c’est un choix. Si c’est une femme, on lui répète qu’elle changera d’avis. » Rapportés par TV5 Monde, les mots de Marie, agricultrice bretonne de 25 ans, sonnent justes. Et pour cause, la jeune femme parle d'expérience. Celle qui explique qu'être enceinte lui donnerait "l’impression d’être malade, privée de [son] corps" a décidé de recourir à la contraception définitive. Une opération accessible depuis la loi Aubry du 4 juillet 2001 à toute personne majeure, saine d’esprit, qui n’a pas été placée sous tutelle et sans condition d'âge ou de nombre d'enfants, rappelle le site d'informations.

Marie ne manque pourtant pas d'arguments pour expliquer sa démarche. Mais dans ces situations, le tabou n'est pas moins grand. La méthode n'est pourtant pas nouvelle, près de 30 % des femmes se sont fait stériliser dans le monde – de gré ou de force – rappelle TV5Monde. La guérisseuse de nos amis. Magog, PQ — Au-dessus de la porte d’entrée de la clinique vétérinaire, un triangle discret annonce les couleurs de l’endroit et sa mission holistique. Il symbolise le corps, l’âme et l’esprit. C’est après avoir frôlé les anges et vécu une expérience de mort imminente (EMI) en 1999, suivie d’un congé d’invalidité de cinq ans, que la Dre Anne-Marie Gagnon a mis le cap vers une médecine holistique animale, plus en phase avec ses convictions. « Cette expérience a changé ma vie, mon cheminement spirituel et personnel. Je n’étais déjà plus d’accord avec certaines pratiques dans la profession : la survaccination, l’alimentation industrialisée pour les petits animaux.

J’ai fini par ouvrir ma propre clinique en Estrie pour appliquer ma philosophie. » Elle a migré d’une médecine vétérinaire de campagne conventionnelle — elle soignait les grands animaux à Coaticook — vers une pratique holistique destinée aux animaux de compagnie. La Dre Gagnon ne renie pas la médecine conventionnelle. Tout est Amour (dans la distorsion) L'esclavage moderne. La vigilance. Ce voyage. Voir notre propre révisionnisme. Daech est tristement moderne. Un article publié dans le numéro de mars de The Atlantic, signé Graeme Wood et titré «Ce que Daech veut vraiment», fait la part belle à la théorie selon laquelle le groupe Etat islamique serait un groupe porté sur l’utilisation d’une violence qualifiée de «médiévale.» C’est un très bon article et s’il est si bon, c’est parce qu’il propose une vision claire et accessible des buts politiques, religieux –et apocalyptiques– de Daech, comparés à ceux d’al-Qaida et d’autres groupes.

L’analyse de Graeme Wood repose elle-même sur une autre analyse, celle de Bernard Haykel, professeur d’Etudes proche-orientales à l’Université de Princeton. «L’esclavage, la crucifixion et les décapitations ne sont pas des choses que ces djihadistes effrayants empruntent par hasard à la tradition médiévale, dit ainsi Haykel à Wood. Les combattants de Daech sont bien ancrés dans la tradition médiévale et sont en train de l’importer toute entière dans le monde actuel.» John Terry. Django Unchained - Ku Klux Klan (French)

Le Sel de la Terre. WHITE SHADOW. Chers Blancs. «300 raisons d'aimer New York» Marie-Joëlle Parent est la correspondante multiplateformes de Québecor Média à New York depuis 2009, et elle est les yeux et les oreilles de ses 23 000 abonnés sur Twitter, ses 11 600 fidèles d’Instagram et ses 5000 «amis» Facebook dans la Grosse Pomme. Le regard de la sympathique brunette de 32 ans s’illumine et elle devient intarissable lorsqu’elle parle de sa ville d’adoption, qu’elle prend plaisir à arpenter à vélo pour en découvrir les moindres recoins cachés, loin, très loin, des circuits touristiques traditionnels. On la lit dans le Journal de Montréal, on l’aperçoit parfois à TVA ou LCN, mais on peut surtout la suivre en tout temps sur les réseaux sociaux, où elle est hyperactive, toujours prête à partager ses trouvailles, et où elle répond à tous les messages qu’elle reçoit.

Depuis six ans, elle est sans contredit devenue l’une des références absolues dans la liste des Québécois établis à New York. Close Jean-François Galipeau Lieux inusités Encore tant à explorer. FLOATING IN MY MIND. Jack et la mécanique du coeur - Bande annonce. CUPIDON.