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Concepts clés

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Le 18e Congrès du Parti communiste chinois : entre factionnalisme, règles et procédures. Organismes d'État. Selon la Constitution de la RPC, les institutions centrales sont l’APN et son Comité permanent, la présidence de la RPC, le Conseil des affaires d’État, la Commission militaire centrale, la Cour populaire suprême (CPS) et le Parquet populaire suprême (PPS).

Organismes d'État

Les membres de la présidence de la RPC, du Conseil des affaires d’État, de la Commission militaire centrale, de la CPS et du PPS sont élus par l’APN ; ils sont responsables devant l’APN et son Comité permanent. L’ APN et son Comité permanent L’APN est l’organe suprême du pouvoir de l’État. L’APN et les assemblées populaires locales aux différents échelons sont élues par vote démocratique. L’APN est formée des députés élus par les provinces, les régions autonomes, les municipalités relevant directement de l’autorité centrale, les régions administratives spéciales et l’armée. L’APN est élue pour un mandat de cinq ans, et se réunit une fois par an sur convocation de son Comité permanent. Rêve chinois. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Rêve chinois

Hu Jintao (1942-...): la société harmonieuse au pouvoir. Hu Jintao, 1942-…la société harmonieuse au pouvoir Comme beaucoup de dirigeants chinois, Hu Jintao doit son ascension à Deng Xiaoping. « Le Petit Timonier » apprécie Hu depuis que ce fils de commerçant, ancien instructeur politique à l’université de Qinghua a participé en 1989 à la répression du «Printemps de Pékin ».

Hu Jintao (1942-...): la société harmonieuse au pouvoir

Hu Jintao était alors administrateur de la région autonome du Tibet. Sa conquête du pouvoir a beau débuter loin de la capitale chinoise, Hu Jintao est un pur produit du parti. Désigné par Deng Xiaoping comme le « noyau de la quatrième génération de dirigeants chinois », Hu n’a que sept ans en 1949. Il apparaît un peu moins raide que la moyenne. Le 15 mars 2003 Hu Jintao est élu président de la République. Consensus de Pékin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Consensus de Pékin

Un pays, deux systèmes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Un pays, deux systèmes » (chinois simplifié : 一国两制 ; chinois traditionnel : 一國兩制 ; pinyin : Yī guó liǎng zhì ; Wade : I⁴ kuo² liang³ chih⁴ ; cantonais Jyutping : Jat¹ gwok³ loeng⁵ zai³ ; cantonais Yale : Yāt gwok léuhng jai) est une formule qui a été énoncée par Deng Xiaoping en 1997, à propos de la rétrocession de Hong Kong (qui était alors sous souveraineté britannique) à la Chine.

Un pays, deux systèmes

Elle signifie que Hong Kong peut faire partie de la Chine sans qu'on y applique les mêmes règles politiques et économiques. Après le retour de Hong Kong à la Chine, ce slogan a aussi été utilisé pour d'autres territoires, notamment en 1999 pour Macao, voire pour Taïwan. 1992 Consensus. The "1992 Consensus" or "Consensus of 1992" is a political term referring to the outcome of a meeting in 1992 between the semi-official representatives of the People's Republic of China (PRC) in mainland China and the Republic of China (ROC) in Taiwan.

1992 Consensus

The Kuomintang (KMT) of the ROC says that the consensus exists, while the Democratic Progressive Party (DPP) of ROC and the President of ROC in 1992, Lee Teng-hui, deny the existence of the 1992 consensus. The term, as described by some observers, means that, on the subject of the "One China principle", both sides recognise there is only one "China": both mainland China and Taiwan belong to the same China, but both sides agree to interpret the meaning of that one China according to their own individual definition.[1][2][3][4] The PRC's position is that there is one, undivided sovereignty of China, and that the PRC is the sole legitimate representative of that sovereignty.

Historic background of the term[edit] See also[edit] « La montée "pacifique" de la Chine ? », par Joseph S. Nye. Ces dernières semaines, la Chine a annoncé une augmentation de 12,6% de son budget militaire.

« La montée "pacifique" de la Chine ? », par Joseph S. Nye

De la Chine - Henry Kissinger. Les inégalités augmentent en Chine. L’inégalité de la distribution des revenus en Chine a augmenté de 70 % entre 1985 et 2007.

Les inégalités augmentent en Chine

A titre de comparaison, cet indicateur a diminué de 10 % en France au cours de la même période, mais progressé globalement de 7 % dans les pays riches, d’après l’OCDE. Peu développée, la Chine était encore très égalitaire au milieu des années 1980. Les inégalités se sont accrues progressivement avec l’émergence d’une classe aisée, voire très riche. La Chine était en effet en 2010 le pays qui comptait le plus de milliardaires après les États-Unis selon le classement du magazine Forbes, même si le pays est, il est vrai, quatre fois plus peuplé.

La progression des inégalités s’est accompagnée d’une hausse des niveaux de vie. La Chine championne des inégalités entre villes et campagnes. En Chine, les inégalités sociales liées à la croissance économique restent à un niveau élevé, selon les chiffres officiels.

La Chine championne des inégalités entre villes et campagnes

Alors que le fossé entre les villes et les campagnes s’est creusé, l’ampleur des inégalités au sein de la deuxième économie mondiale est une source de mécontentement au sein la population. L’économie chinoise est l’une des plus dynamiques de la planète. Mais le fait que les inégalités sociales augmentent préoccupe le régime communiste. China income inequality among world’s worst. Chine : le fossé entre riches et pauvres a atteint un niveau alarmant. ( le Quotidien du Peuple en ligne ) 21.01.2013 à 17h04 Les experts jugent que l'égalité sociale a été sacrifiée au profit de la croissance.

Chine : le fossé entre riches et pauvres a atteint un niveau alarmant

Un indice qui surveille l'écart entre les riches et les pauvres a atteint ce que les spécialistes considèrent être un niveau alarmant pour la Chine. Le coefficient de Gini a atteint 0,474 en Chine en 2012, soit supérieur au niveau d'alerte de 0,4 fixé par les Nations Unies, a expliqué vendredi, le Bureau national des statistiques (BNS). Mais il y a encore des doutes à savoir si cet indice reflète exactement la disparité croissante sociale dans le pays. Selon les données fournies par le bureau, le coefficient de Gini en Chine a progressivement reculé après un niveau record de 0,491 en 2008, a fait observer Ma Jiantang, un responsable des statistiques officielles du pays, lors d'une conférence de presse à Beijing.

François Godement - Que veut la Chine ? de Mao au capitalisme. Hong Kong rejette la « démocratie » de Pékin - La Croix. Les députés prodémocratie de Hong Kong ont osé défier Pékin en faisant échec à un projet de réforme électorale très controversée. Sur 70 députés de Hong Kong, 28 ont voté contre le projet, qui n’a pas pu obtenir la majorité des deux tiers.

A Hongkong, la fiction rattrapée par la contestation antichinoise. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Brice Pedroletti (Pékin, correspondant) Lettre de Hongkong. Les maîtres de feng shui à Hongkong avaient prédit une année du singe « agitée » et « incendiaire ». L’animal est dans le calendrier lunaire associé pour la première fois depuis soixante ans à l’élément du feu. L’embrasement du quartier populaire de Mongkok, dans la partie péninsulaire de Hongkong, dans la nuit du lundi 8 février au mardi 9 février, premier jour de la nouvelle année chinoise, leur a déjà donné raison. En cause, une opération de la police pour déloger des étals de rue installés sans permis en pleine période d’agapes. Suffrage universel. Xi Jinping. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Xi Jinping est le fils de Xi Zhongxun, ancien vice-président de l'Assemblée populaire et vice-Premier ministre[4] qui a été écarté du pouvoir par Mao Zedong lors d'une « purge » en 1962 avant d'être réhabilité lors de la prise du pouvoir de Deng Xiaoping[5].

Xi Jinping est l'un des princes rouges, descendant de Xi Zhongxun un des huit immortels du Parti communiste chinois (PCC) qui ont joué un rôle clef dans l'initialisation et le démarrage des réformes économiques de la Chine dans les années 1980, puis sa supervision dans les années 1990[6]. Hu Jintao. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Hu. Biographie[modifier | modifier le code] Né dans une famille de commerçants du centre de l'Anhui, Hu Jintao effectue ses études dans le département d’hydro-électricité à l’université Tsinghua de Pékin. Il adhère au parti communiste en 1964 et alterne ensuite des séjours dans la capitale et dans les régions pauvres de l’Ouest. Instructeur politique à son université entre 1965 et 1968 — en pleine Révolution culturelle — il fait un premier séjour au Gansu en 1968 et un deuxième en 1974.