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"Quai d'Orsay" B. Tavernier analysé par des experts du (...) LE FILM Quai d’Orsay (Bertrand Tavernier, 2013) issu de bande dessinée éponyme de Christophe Blain (dessinateur) et Abel Lanzac (scénariste, de son vrai nom Antonin Baudry qui a lui-même été conseiller au MAE) a pour mérite, au-delà de la caricature comique des traits de personnalité d’un ministre (inspiré de Dominique de Villepin), de montrer l’activité quotidienne d’un cabinet ministériel. De cette façon, le spectateur peut découvrir quelques éléments de la fabrication, au gré de logiques et de temporalités qui s’imbriquent ou se heurtent, de la politique étrangère de la France. La description de la survenue de crises politiques (d’autant plus urgentes qu’elles sont médiatisées), des injonctions présidentielles parfois décalées (comme la préoccupation pour l’ourse Cannèle, perdue dans les Pyrénées), des stratégies des différentes directions (géographiques, politiques) pour faire prévaloir leur point de vue ou plus simplement pour garder leur place au soleil, est savoureuse. .

Laboratoire d’anthropologie et d’histoire de l’institution de la culture. A la Une Sorcellerie et prophétisme en Centrafrique. L’imaginaire de la dépossession en pays banda Andrea CERIANA MAYNERI, Paris, Karthala, collection « Religions contemporaines », dirigée par Sandra Fancello et André Mary, 2014. Au milieu des années 1960, en Centrafrique, le pays banda connaît une formidable effervescence anti-fétichiste. Un jeune homme appelé Ngoutidé se lance dans une entreprise de destruction ostentatoire d’objets cultuels et appelle à se convertir au christianisme. Lire la suite Elèves apprentis ethnologues. Anne Monjaret, Gisèle Provost (dir.), Elèves apprentis ethnologues.

Lire la suite Actualités du laboratoire Sciences sociales et marxisme Philosophie et sciences humaines, Le Portique, numéro 32, 2e semestre 2013. Lire la suite L’asile des photographies Exposition, du 13 février au 11 mai 2014, Mathieu Pernot et Philippe Artières, la Maison rouge, Paris. Lire la suite Nouvelles du DPRPS. Tracés. Revue de Sciences humaines. Le plus souvent connoté péjorativement, le terme irrécupérables ne désigne pas une catégorie instituée des sciences humaines et sociales.

Dans le langage courant, on qualifie d’irrécupérables des personnes ou des choses qui ne peuvent pas être récupérées, et dont on cherche le plus souvent à se débarrasser parce qu’elles résistent à toute entreprise de réinsertion ou de recyclage. À l’heure de l’injonction à tout récupérer, réinsérer et recycler, ce dossier fait l’hypothèse que cette injonction exprime aussi un déni de la production massive et constante d’êtres et de choses irrécupérables par les sociétés capitalistes industrielles. Il ne s’agit pas nécessairement de placer sur un même plan la mise au rebut des choses et l’exclusion irréversible des individus, mais plutôt d’aborder conjointement les enjeux sociaux et environnementaux qui découlent de cette hypothèse. Quels dispositifs produisent des irrécupérables humains et non humains ? Tracés. Revue de Sciences humaines. Genre & Histoire. Amerika - Mémoires, identités, territoires. Revue d’histoire de l’enfance « irrégulière » - Le Temps de l'histoire.

Études balkaniques - Cahiers Pierre Belon. Corps et culture. Cahiers d’études africaines. Balkanologie - Revue d'études pluridisciplinaires.