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Irene2108

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- The Guardian 21/05/2018. Humans just 0.01% of all life but have destroyed 83% of wild mammals – The Guardian - 21/05/2018. Humans just 0.01% of all life but have destroyed 83% of wild mammals – The Guardian - 21/05/2018. Advance and retreat of the Alpine glaciers during the last glacial cycle. Image7. Image6. WWF - espèces menacées. L'extinction des espèces fait référence à la disparition totale d'une entité biologique ou d'un groupe taxonomique.

WWF - espèces menacées

La biodiversité s'en trouve donc réduite. De multiples causes peuvent être impliquées : une destruction d'habitat, une inadaptation au milieu, une pollution, une compétition avec une espèce invasive, la prédation, etc. Des extinctions d'espèces parfois massives Ces événements sont généralement restreints et ne touchent que quelques espèces à la fois. Près de 8,7 millions d'espèces vivantes peuplent la Terre.

Seules 1,23 million (ou 14,1 % du total) ont été jusqu'à présent découvertes, décrites et cataloguées, précisent les chercheurs du Census of Marine Life ("recensement de la vie marine"), auteurs de l'étude.

Près de 8,7 millions d'espèces vivantes peuplent la Terre

Cette estimation, qui résulte d'analyses fondées sur les dernières techniques éprouvées de taxonomie, permet de resserrer considérablement les chiffres avancés précédemment, qui variaient de 3 à 100 millions d'espèces vivantes. "La question de savoir combien d'espèces vivantes existent sur la Terre a intrigué les scientifiques depuis des siècles et cette réponse, couplée à d'autres recherches sur la distribution et l'abondance des espèces, est particulièrement importante car les activités humaines et leur impact accélèrent le taux d'extinction", explique Camilo Mora, des universités de Hawaii et de Dalhousie, à Halifax (Canada), et principal auteur de l'étude.

[mise à jour du 21 mars 2018 : intégration des graphiques des tendances nationales et locales, et du lien vers les résultats du programme de Suivi Temporel des Oiseaux Communs] Les derniers résultats de deux études de suivi des oiseaux, l'une menée à une échelle nationale, l'autre plus localement, viennent de sortir.

Les chercheurs du Muséum national d’Histoire naturelle et du CNRS arrivent au même constat : les oiseaux des campagnes françaises disparaissent à une vitesse vertigineuse. C’est ce qu’ils nomment « un anéantissement biologique ». Dans une étude très alarmante, publiée lundi 10 juillet dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), des chercheurs américains et mexicain concluent que les espèces de vertébrés reculent de manière massive sur Terre, à la fois en nombre d’animaux et en étendue. Une « défaunation » aux conséquences « catastrophiques » pour les écosystèmes et aux impacts écologiques, économiques et sociaux majeurs. Les trois auteurs, Gerardo Ceballos (Université nationale autonome du Mexique), Paul Ehrlich et Rodolfo Dirzo (Stanford) n’en sont pas à leur coup d’essai sur le thème de l’érosion de la biodiversité.

En juin 2015, les deux premiers avaient déjà publié une autre étude dans la revue Science Advances, qui montrait que la faune de la Terre était d’ores et déjà en train de subir sa sixième extinction de masse. Disparition des populations. La sixième extinction de masse des animaux s’accélère. En trente ans, près de 80 % des insectes auraient disparu en Europe. Article réservé aux abonnés En moins de trois décennies, les populations d’insectes ont probablement chuté de près de 80 % en Europe.

En trente ans, près de 80 % des insectes auraient disparu en Europe

C’est ce que suggère une étude internationale publiée mercredi 18 octobre par la revue PLoS One, analysant des données de captures d’insectes réalisées depuis 1989 en Allemagne ; elle montre en outre que le déclin des abeilles domestiques, très médiatisé par le monde apicole, n’est que la part émergée d’un problème bien plus vaste. « Nos résultats documentent un déclin dramatique des insectes volants, de 76 % en moyenne et jusqu’à 82 % au milieu de l’été, dans les aires protégées allemandes, en seulement vingt-sept ans, écrivent Caspar Hallmann (université Radboud, Pays-Bas) et ses coauteurs. Cela excède considérablement le déclin quantitatif, estimé à 58 %, des vertébrés sauvages depuis 1970. » En France, de telles données n’ont pas fait l’objet de publication récente. Faut-il s’inquiéter de la disparition des insectes ? 75 % des insectes auraient disparu en 27 ans en Allemagne, selon une étude scientifique internationale.

Faut-il s’inquiéter de la disparition des insectes ?

Avec des conséquences très inquiétantes sur l’écosystème et la chaîne alimentaire. ENTRETIEN avec Vincent Bretagnolle, directeur de recherche au CNRS et spécialiste des services écologiques rendus par la biodiversité. Une étude scientifique internationale menée en Allemagne depuis 1989, et dont les résultats ont été publiés récemment dans la revue PLOSOne, révèle un « déclin dramatique des insectes volants de 76 % en moyenne, et jusqu’à 82 % au milieu de l’été, dans les aires protégées allemandes, en seulement 27 ans ». Près de 80 % des espèces d’oiseaux migrateurs menacées d’ici à 2050 par le changement climatique. Les changements environnementaux pourraient modifier leurs aires de nidification et d’hivernage ainsi que leurs distances de vol. LE MONDE | 22.10.2018 à 17h00 • Mis à jour le 23.10.2018 à 11h01 | Par Sylvie Burnouf L’avenir s’annonce compliqué pour les oiseaux migrateurs.

Image8. Image4. Image3. Image1. Image2. Image9. Station Couvercle @G.Cordier. Chocards@Adelestrade. AC Prevost - The Conversation - Expériences de nature - Face à la crise écologique, remettons des « expériences de nature » dans notre quotidien. En juillet 2018, le journaliste Thibaut Shepman a interrogé pour L’Équipe des skieurs de l’équipe de France de ski de bosses.

AC Prevost - The Conversation - Expériences de nature - Face à la crise écologique, remettons des « expériences de nature » dans notre quotidien

Quels étaient leurs souvenirs et leur perception de la montagne et du glacier de la Grande-Motte de Tignes sur lequel ils s’entraînent une partie de l’année ? Dans son article paru le 8 septembre, il rapporte ainsi :