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1ère GM

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Histoires 14-18 : la mitrailleuse, arme emblématique de la guerre - France 3 Hauts-de-France. "Quand ell' chante à sa manière Taratata, taratata, taratatère Ah que son refrain m'enchante C'est comme un z-oiseau qui chante Je l'appell' la Glorieuse Ma p'tit' Mimi, ma p'tit' Mimi, ma mitrailleuse Rosalie me fait les doux yeux Mais c'est ell' que j'aim' le mieux. " « Ma p’tite mimi » a été écrite en 1915 par Théodore Botrel. Dans ces tranchées reconstituées, mitrailleuse française et allemande se font face. Source archives : - Pathé Gaumont - Historial de la Grande Guerre de Péronne • ©France 3 Les mitrailleuses sont disposées en profondeur et cachées. Image sidérante des mitrailleuses bénies par un pope, sur le front serbe. Les monuments aux morts France/Allemagne- Karambolage - ARTE. Le centenaire oublié de 1918 au Moyen-Orient.

Le Moyen-Orient continue de payer le prix de la guerre livrée aux peuples arabes, à partir de novembre 1918, par la Grande-Bretagne, puis par la France. Zaghloul à la tête, en novembre 1918, des nationalistes égyptiens La Première guerre mondiale a pris fin au Moyen-Orient le 30 octobre 1918, par un armistice conclu entre la Grande-Bretagne et la France, d’une part, et l’Empire ottoman, vaincu, d’autre part. Une nouvelle guerre, larvée mais implacable, débute pourtant dans la région dès novembre 1918. Elle oppose cette fois les deux puissances victorieuses aux forces arabes qui s’étaient alliées à elles contre les Ottomans et qui, au lieu d’en être récompensées, seront traitées en ennemies. Le 13 novembre 1918, une délégation de nationalistes égyptiens, menée par l’ancien ministre Saad Zaghloul, est reçue par le Haut-Commissaire britannique au Caire. Londres impose son administration militaire et la loi martiale qui en découle sur le Moyen-Orient post-ottoman.

Écrire en temps de guerre - Apocalypse 10 destins. Durant la Première Guerre mondiale, la presse écrite est un média d’information essentiel. Pour les autorités, il s’agit de la contrôler afin de préserver le moral des troupes, des civils et le secret militaire. En France, le décret sur l’état de siège suspend la liberté de la presse le 2 août 1914. La censure s’exerce sur tous les journaux qui sont régulièrement distribués avec des espaces blancs correspondants aux articles retirés (voir document 3). La presse devient aussi un outil de propagande au service de l’État : les récits des combats que l’on trouve dans les journaux officiels diffèrent de beaucoup avec les témoignages, carnets et journaux des tranchées. Dans le même temps, une presse critique fait son apparition pour dénoncer la propagande et porter un regard sur la guerre moins aveuglé par le patriotisme.

. « Le Canard enchaîné prend l’engagement d’honneur de ne céder, en aucun cas, à la déplorable manie du jour. Il y a 100 ans, les Etat-Unis menaient en France la bataille la plus meurtrière de leur Histoire. L’offensive Meuse Argonne a tué 26 000 soldats américains et en a blessé des centaines de milliers d’autres. Le vice-ministre de la Défense américaine Mark Esper sera présent aux commémorations. Cette bataille fut la dernière attaque de la Première Guerre mondiale menée par le Corps expéditionnaire américain, mais aussi la plus meurtrière que les Etats-Unis ont jamais menée : du 26 septembre au 11 novembre 2018, 26 000 soldats américains furent tués et des centaines de milliers d’autres blessés. Le vice-ministre de la Défense se rendra au cimetière de Romagne-sous-Montfaucon, dans la Meuse, où plus de 14 000 soldats américains sont enterrés.

Des volontaires ont d’ores et déjà commencé à lire un à un la liste des noms des « Sammies », surnom donné aux soldats américains à leur arrivée sur le vieux continent en 1917, tandis que d’autres mettaient en place les milliers de bougies seront allumées en leur honneur. Lire aussi : David Diop subvertit le centenaire de la première guerre mondiale. All-quiet-on-the-western-front-protested-in-berlin. L'enrôlement des jeunes hommes dans l'armée britannique entre 1914 et 1916. La France face à la grippe espagnole en 1918-1919. Présentation, L'armistice du 11 novembre 1918 - Pour mémoire - CNDP.

L’armistice, signé le 11 novembre 1918 entre les Alliés et l’Allemagne marquant la fin de quatre années de guerre, constitue un moment clé de la conscience nationale et européenne. « L’École a pour mission l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre, et également la transmission de la mémoire » (*). La commémoration de l'armistice permet de mener un travail d'Histoire ancré dans un enseignement de la citoyenneté et des valeurs de la République. © H.

Marquis Partant des événements de l'année 1918 (voir le chapitre 9 du livre La Grande Guerre par M.C Bonneau-Darmagnac, Fréderic Durdon, Pierrick Hervé, CRDP de Poitiers collection trait d’union, 2008) qui ont conduit à l'arrêt des combats, cet opus de la collection « Pour Mémoire » met en évidence les spécificités de la Première Guerre mondiale. (*) Commémoration du 90e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale, Bulletin officiel de l’Éducation nationale, n° 24 du 12 juin 2008. La Grande Guerre, M.C. La Somme à ses enfants, monuments aux morts de 1914 - 1918. La Grande Guerre, mythes et réalités. BDIC - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine - Presse et journaux de tranchées. En août 1914, la presse illustrée a atteint, dans plusieurs pays d'Europe, l'apogée de sa diffusion. En France, des journaux comme L'Illustration et Le Miroir se vendent respectivement chaque semaine à 250 000 et 600 000 exemplaires.

En Allemagne, l'illustré satirique Simplicissimus tire à près de 500 000 exemplaires. Face à ces succès, les quotidiens, à l'image du Petit Journal et du Corriere della Sera, se sont mis eux aussi à lancer des suppléments hebdomadaires, dépassant parfois le million de lecteurs. Ces journaux ont été les principaux instruments permettant aux civils à l'arrière de voir la guerre. Ils ont recouru à deux techniques de représentation : la gravure et la photographie. Certains, comme L'Illustrazione Italiana ou l'Iskri russe mêleront les deux. Quelques titres de presse illustrée sur Flickr Les journaux de tranchées Dès la fin de 1914 la guerre s'installe dans la durée et dans la routine peu rassurante de la guerre des tranchées.

Canada et 1ère GM. 25 | 2014 Le patrimoine de la Grande Guerre. L'entrée en guerre des Américains en 1917 et leur premiers engagements militaires en 1918. Fidèle à la ligne isolationniste et neutraliste de la politique extérieure américaine, le président Wilson (élu en 1912) s'était opposé à une entrée de son pays dans la guerre au cours de l'été 1914. Dans un message au sénat, Wilson avait recommandé à ses compatriotes de rester neutres "en pensées comme en actes" dans une guerre qui ne devait concerner que les affaires européennes.

Cette position apparaissait également nécessaire au maintien de l'unité de la nation puisque la population multiethnique américaine comptait de nombreux citoyens originaires des pays belligérants (enfants et petits-enfants de l'immigration russe, italienne, allemande, polonaise et irlandaise). A la faveur du premier conflit mondial, les Américains cessaient d'être les débiteurs de l'Europe pour en devenir les créanciers. Le début de l'année 1917 marque un tournant essentiel et plusieurs facteurs vont entraîner les Etats-Unis à changer de position et à entrer dans la guerre. Dossier archéologie : L'archéologie de la Grande Guerre | Inrap. Accueil | Archéologie de la Grande Guerre. Histoires 14-18 : les lillois déportés - France 3 Hauts-de-France. 1916 : l’Allemagne jette toutes ses forces dans la bataille de Verdun. Les femmes remplacent les hommes à l’usine et aux champs. L’effort de guerre est intense, le pays est rationné. La campagne manque de bras.

Les Allemands imaginent donc utiliser les civils du Nord occupé pour faire les récoltes. Ils demandent dans un premier temps des volontaires, c’est un échec. Ils passent alors aux travaux forcés. Avril 1916, jour du Vendredi Saint, à 3 heures du matin, l’armée allemande boucle le quartier de Lille-Fives. Histoires 14-18 : les lillois déportésSources d'archives : - NARA - Gallica BNF - Archives départementales du Nord - Pathé Gaumont - France 3 - Florence Mabille Finalement, l’Allemagne devra faire machine arrière. Verdun 2016 | Accueil. Louis Barthas : les tranchées sans mensonges. Découverts en 1977 par l'historien Rémy Cazals, publiés pour la première fois en 1978, les carnets de Louis Barthas sont réédités à l'occasion du centenaire (La Découverte). « Ah, Les Carnets de Louis Barthas ! Ce livre a une haute valeur historique, et aussi c'est une véritable œuvre littéraire. » Le mot est de François Mitterrand. Les écrits du caporal tonnelier de l'Aude avait été remis au président de la République après leur découverte par l'historien Rémy Cazals en 1977.

Avec cette édition du centenaire, les ventes dépassent aujourd'hui 100 000 exemplaires. Retour sur ce témoignage unique devenu aujourd'hui un classique. La découverte des carnets Rémy Cazals, professeur d'histoire contemporaine à l'université de Toulouse-II Le Mirail, membre du conseil scientifique de la Mission du centenaire, raconte comment il a découvert ces carnets en 1977 : « J'étais professeur à l'école normale de Carcassonne.

Un succès immédiat Selon Rémy Cazals, le choix de l'éditeur a été déterminant : Effort de guerre et population civile | L'histoire par l'image. Histoires 14-18 : “Le crapouillot”, journal des tranchées. Le "crapouillot" est aussi le surnom d'un mortier, mais surtout un journal. C'est LE journal des tranchées où pendant toute la guerre les soldats vont pouvoir exprimer leurs états d'âme. Son premier numéro, sorti en 1915, doit tout à son fondateur, Jean Galtier-Boissière. Jean Galtier-Boissière est journaliste, homme de gauche et proche des courants anarchistes, qui va d'abord donner à son titre une inspiration pacifiste et satirique. La première une du journal souhaite même ironiquement bon courage aux civils. Aidé de son père, à l'arrière, en charge de l'édition, Jean Galtier-Boissière va dépeindre la réalité de la guerre avec humour et ironie.

Fabriqué dans des conditions de fortune, Le Crapouillot devient vite immensément populaire et l'état-major finit par autoriser sa parution tout en continuant à le censurer. Après guerre, Le Crapouillot devient une revue littéraire et artistique à la critique féroce. Fusillés pour l'exemple, l'ultime combat. Le Canard du boyau : bulletin officieux de la 74e demi-brigade / [gérants : Goursat, Letouzey, Coroyer] | 1915-08. Réclames publiées dans la presse. Bobards et « bourrage de crâne », pour vaincre… ou au moins tenir. Dès le début de guerre, la propagande est pour le moins grossière. Quand la vérité est bâillonnée par la censure, la porte est en revanche grande ouverte aux outrances cocardières. Les colonnes des journaux fourmillent alors de ces récits qui proclament la supériorité du valeureux « pioupiou » sur le « boche » sanguinaire. Même si, au fil des mois, la réalité des combats finit par être connue de l’opinion à l’arrière, « bobards » et fausses nouvelles continuent à essaimer dans la presse jusqu’à la fin du conflit.

Méthode Analyser la rhétorique de la propagande dans la presse Définir préalablement le terme de propagande de guerre en distinguant les quatre types : À partir de la lecture d’une une d’un quotidien de la Grande Guerre, relever les extraits d’articles, brèves, dessins, voire photos légendées, qui paraissent relever d’une volonté de propagande. Analyser des « bobards ». Gros plan Droit à l’ennemi ! Et ils firent demi-tour. Parmi les plus intrépides, Paul brilla au premier rang. Les cimetières de la bataille de Verdun (55) Précédée des combats de Malancourt, Forges, Consenvoye, Ornes, Flabas, Maucourt, en 1914 et en 1915, la «bataille de Verdun» débute le 21 février 1916 à 7 h 15 du matin, quand les premiers obus de l'artillerie de la 5e armée impériale allemande éclatent dans les positions du 30 corps d'armée du général Chrétien, de Brabant à Ornes.

Elle dure jusqu'en hiver 1917-1918, avec une phase finale marquée par des durs combats, de la crête des Caurières et des ruines de Beaumont, à 4 km au nord du fort de Douaumont. Les morts des batailles livrées dans la Meuse («Marne», «Argonne», «Hauts de Meuse», «Verdun»), entre 1914 à 1918, reposent dans 42 nécropoles nationales dont deux sont situées en Meurthe-et-Moselle, à Flirey et à Pierrepont. Celles qui ont recueilli plus particulièrement les «morts pour la France» des combats de 1916-1917, regroupés communément sous le vocable «bataille de Verdun», sont au nombre de dix-neuf.

Origine Informations historiques Création des nécropoles nationales. La nécropole nationale et l'ossuaire de Douaumont. Création de la nécropole Le cimetière national de Fleury-devant-Douaumont regroupe les dépouilles de soldats morts pour la France lors des combats qui se déroulèrent dans la région de Verdun de 1914 à 1918, et principalement ceux de la bataille de Verdun. Créé en 1923, le cimetière est aménagé jusqu'en 1936. Une fois l'emplacement déterminé, dès 1923, le Service des Sépultures de guerre, avec le concours du génie de Metz, entreprit le nivellement d'une parcelle de terrain de plusieurs hectares où d'importants travaux de déblaiement avaient été réalisés pour récupérer le matériel abandonné, ainsi que de dangereuses munitions.

Le terrain aplani, on procéda à la réalisation des allées et des tombes. Dès août 1925, les corps provenant de petits cimetières autour de Verdun furent transférés dans la partie droite. En novembre, la nécropole reçut les corps exhumés du cimetière de Fleury, désaffecté. Informations historiques La bataille de Verdun En mai 1916, le village est en ruines. L’ossuaire. 1914-1918 (Shell Shock or the ancestor of PTSD)

Les causes de la Première Guerre Mondiale. Par Georges Brun Publié le 20 mai 2015 « … Elle était merveilleuse, cette vague tonique qui, de tous les rivages de l'Europe, battait contre nos cœurs. Mais ce qui nous rendait si heureux recelait en même temps un danger que nous ne soupçonnions pas. La tempête de fierté et de confiance qui soufflait alors sur l'Europe charriait aussi des nuages. La volonté fertile de consolidation intérieure commençait partout, en même temps, comme s'il s'agissait d'une infection bacillaire, à se transformer en désir d'expansion. Si aujourd'hui on se demande à tête reposée pourquoi l'Europe est entrée en guerre en 1914, on ne trouve pas un seul motif raisonnable, pas même un prétexte.

Stefan Zweig (1881-1942), Les rayons et les ombres sur l'Europe, 1944, éd. posthume. Introduction • certains y voient la volonté de puissance et de domination de l’Empire allemand de Guillaume II, jugée principale responsable du conflit ; • d’autres, la responsabilité collective d’états impérialistes et colonialistes ; 1. 2. INA Combattre : les conditions de vie du combattant dans la Première Guerre mondiale.

Parcours pédagogique Nicolas Rocher - Enseignant d'histoire-géographie de l'Académie de Grenoble Présentation Retrouvez ce parcours sur le site de l'Académie de Grenoble . Deux documents vidéos de 1915 et 1916 et une sélection d'eaux fortes d'Otto Dix permettent de saisir les conditions de vie du combattant dans la Première Guerre mondiale. Place dans le programme Troisième > Histoire : Guerres mondiales et régimes totalitaires > La Première Guerre mondiale : vers une guerre totalePremière > S > Histoire : La guerre au XXe siècle > Guerres mondiales et espoirs de paix > La Première Guerre mondiale : l'expérience combattante dans une guerre totalePremière > L et ES > Histoire : La guerre au XXe siècle > Guerres mondiales et espoirs de paix > La Première Guerre mondiale : l'expérience combattante dans une guerre totale Objectifs pédagogiques Durée de l'activité Séance prévue en 1h Les élèves travaillent en salle informatique, si possible individuellement.

Reprise lors d'une 2ème séance (1/4h) Bilan. INA : le rôle de la population à l'arrière dans l'effort de guerre. INA "Sortir" de la Grande Guerre. L'histoire par l'image. Prezi. RECIT FRANCETV INFO : à Verdun, au cœur des tranchées à travers le journal inédit d'un poilu. Assemblée nationale 1914-1918. Génocide : la douloureuse question de la définition. Le front Est. Ce qu'il faut savoir du génocide des Arméniens. 1914 : l'appel à l'Empire | Musée national de l'histoire de l'immigration. Les marraines de guerre - Tirailleurs. L’appel aux travailleurs étrangers, coloniaux et chinois pendant la Grande Guerre | Musée national de l'histoire de l'immigration.

2. Portrait des Tirailleurs sénégalais. La Première Guerre mondiale en 10 chiffres.