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Attention, émotions et plaisir : au coeur de l'expérience esthétique. Histoires de peintures: L'invention de la perspective. Qu’est ce qui fascine dans un tableau, qui fait que telle œuvre plutôt qu’une autre nous arrête et qu’on ne peut s’en détacher ?

Histoires de peintures: L'invention de la perspective

En 2003, l'historien de l'art Daniel Arasse tentait de répondre à ces questions à travers une série de vingt-cinq émissions sur France Culture. Une traversée de l'histoire de la peinture sur six siècles, de l'invention de la perspective jusqu'à la disparition de la figure. Le paiement du tribut, fresque murale peinte par Masaccio, (1423) Chapelle Brancacci de l'église Santa Maria del Carmine de Florence Daniel Arasse © Capture d'écran Jamais quelqu’un n’avait aussi bien parlé de la peinture, tout style et toute époque confondue.

Daniel Arasse vous guide à travers cinq siècles d’Histoire de la peinture. Né en 1944 à Alger, élève de l’École normale supérieure, puis de l’école française de Rome de 1971 à 1973, il a consacré l’essentiel de ses études et de ses publications à l’art de la Renaissance italienne, dont il était le meilleur spécialiste français. "Petite archéologie de la critique de cinéma" avec Antoine de Baecque. Un entretien avec Serge Tisseron. Somewhere Down The Line - Julien Regnard.

Curiosités

Qui est Hoaxbuster, le site qui démonte les rumeurs ? Rencontre avec le fondateur et les équipes du site qui, bénévolement et depuis quinze ans, s'attachent à démêler le vrai du faux sur Internet.

Qui est Hoaxbuster, le site qui démonte les rumeurs ?

Un jour de la fin des années 1990, Guillaume Brossard en a eu assez que ses collègues de bureau croient ce qu'ils lisaient et pas ce qu'il leur disait. Dans leurs boîtes e-mails, alors le grand outil d'échange de cette lointaine époque d'avant les réseaux sociaux, venait d'arriver le énième canular laissant croire que Microsoft allait sauver un petit enfant malade si tout le monde voulait bien faire suivre ce message. « Je n'arrêtais pas de leur répéter : “Arrêtez de transférer n'importe quoi”, se souvient-il. Sans effet. Je me suis dit que s'ils ne croyaient pas les démentis à l'oral, à la machine à café, peut-être croiraient-ils les écrits, dans leur boîte e-mail. » A l'époque, un terme vient d'apparaître pour désigner ces intox en ligne, qui ont commencé par des alertes au faux virus informatique : hoax (« canular »).

Une ville faite pour les garçons. Nos espaces urbains sont construits pour tous, pensez-vous ?

Une ville faite pour les garçons

Il n'en est rien. Dès le plus jeune âge, tout est fait pour y favoriser la présence des garçons, affirme le géographe Yves Raibaud. A la veille des élections municipales, il propose aux élu(e)s des actions concrètes. À Paris, Toulouse, Bordeaux et Montpellier, les garçons sont les usagers majoritaires de la ville. C’est ce que montrent plusieurs études que nous avons menées entre 2010 et 20131 sur les équipements publics culturels ou de loisirs pour les jeunes. L’objectif serait de canaliser la violence des garçons La première de nos études montre que les filles décrochent à partir de la classe de 6e des activités de loisir sportif, culturel ou généraliste proposés par les municipalités ou les associations mandataires.

Nos espaces urbains sont souvent construits par et pour des hommes. « Les filles préfèrent rester chez elles » L’espace urbain est construit par des hommes Les femmes n’auraient qu’à s’emparer de la ville. Internet : outil de collaboration ou de domination. Il y a un an, l’enquête Ipsos « France 2013 : les nouvelles fractures » faisait l’effet d’un coup de tonnerre médiatique, soulignant combien la crise avait exacerbé la tentation du repli national et le rejet du politique.

Internet : outil de collaboration ou de domination

Le Monde titrait sur « les crispations alarmantes de la société française ». « Le poujadisme s’est enraciné en France », estimait-elle. L’idéologie anti-autoritaire des années 60-70 a reflué de manière spectaculaire. 87 % des Français estiment qu’on a besoin d’un vrai chef en France pour remettre de l’ordre et 86 % (toute tendance politique confondue) estiment que l’autorité est une valeur qui est souvent trop critiquée. Et la nouvelle édition que vient de relayer Ipsos ne fait que renforcer cette tendance. Certes, ce sondage, encore plus que d’autres, est à prendre avec beaucoup de précautions, tant il semble chercher à faire démonstration. Notre besoin d’autorité est impossible à rassasier Pourquoi les gens éprouvent-ils un tel besoin d’autorité ? Hubert Guillaud.

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