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Réchauffement climatique : 4 infos à retenir du rapport choc du Giec. Le Giec a publié ce lundi 8 octobre son rapport sur les effets d’un réchauffement global de 1,5 °C et fait part de ses recommandations. En 2015, la conférence pour le climat (COP21) avait donné pour objectif de ne pas dépasser une hausse des températures de 2 °C. Pour le Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur les changements climatiques), c’est déjà trop. Les spécialistes recommandent plutôt 1,5 °C afin de limiter l’impact du réchauffement climatique sur la planète. Parmi les différentes pistes d’actions, la diminution des émissions de gaz à effet de serre (GES) issues des énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz…)

. ⋙ La fonte du permafrost menace la lutte contre le réchauffement climatique Une réduction des gaz à effet de serre par le sol Pour arriver à une réduction des gaz à effet de serre, le Giec en appelle au sol qui stocke trois fois plus de carbone que l’atmosphère selon l'Institut national de la recherche agronomique (INRA). Le développement des énergies renouvelables. Le champagne bientôt plus écologique. Le champagne est un plaisir coupable. D’abord, parce qu’il coûte cher. Ensuite, parce que la région est reconnue pour son usage élevé des pesticides. Publié le 30 avril 2019 à 11h00 Karyne Duplessis Piché collaboratrice spéciale La Presse Si le coût des bouteilles ne risque pas de changer, les délicieuses bulles devraient être plus écologiques sous peu.

Le directeur des communications des vins de Champagne, Thibaut le Mailloux, affirme que 20 % du vignoble détient déjà une certification de pratiques environnementales durables et que les vignerons souhaitent éliminer l’utilisation d’herbicide, comme le glyphosate, d’ici 2025. La nouvelle est d’autant plus réjouissante que les ventes de vin effervescent sont toujours en progression. Consultez l'article du site The Drinks Business: « Des légumineuses pour l’élevage : quels défis et quels enjeux pour le Grand Ouest ? » | Alim'agri.

L’Académie d’agriculture de France, AgroCampus Ouest et le Groupement d'intérêt scientifique « Élevages Demain » organisent le 24 novembre prochain à Rennes une journée d’échanges sur le thème : « Des légumineuses pour l’élevage : quels défis et quels enjeux pour le Grand Ouest ? ». L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a proclamé 2016 « Année internationale des légumineuses ». Par ce choix, la FAO met en avant l’importance de la contribution de ces plantes vis-à-vis de la durabilité du système alimentaire. Les légumineuses à graines ont en effet une haute valeur nutritionnelle pour l’alimentation humaine. Les légumineuses à graines et fourragères sont aussi une source majeure de protéines pour la nutrition des animaux d’élevage. Elles ont également une très grande valeur agronomique liée à leur capacité de fixation de l’azote atmosphérique.

Pourquoi utiliser des légumineuses en alimentation animale ? Colloque « Des légumineuses pour l'élevage ? Vers l’évaluation in vitro des effets des insecticides. Depuis plusieurs décennies les populations d’abeilles domestiques (Apis mellifera) subissent des mortalités importantes. Outre les maladies (virus) ou les parasites (varroa), les scientifiques ont montré que les insecticides utilisés pour protéger les cultures des insectes nuisibles comptaient parmi les principaux facteurs impliqués dans ce phénomène d’ampleur planétaire. Mais alors que le lien entre un niveau d’exposition élevé des abeilles à ces substances et leur surmortalité a pu être établi sans équivoque, les effets des insecticides à des doses non mortelles, dites « sublétales » (1), restent encore très peu documentés et ne sont pas pris en compte dans l’évaluation du risque. Pour tenter d’en savoir plus à ce sujet, les chercheurs de l’Unité Abeilles et Environnement de l'Inra d’Avignon, étudient depuis plusieurs années l’action des insecticides sur des neurones d'abeilles en culture.

Un modèle cellulaire plus résistant Prédire la toxicité des insecticides. Climat : la FAO appelle à se préparer à une " transformation radicale " de l'agriculture. Une réunion a été organisée mardi au Siège pour examiner les conclusions du dernier rapport de la FAO sur la situation mondiale de l'alimentation et de l'agriculture. La FAO plaide pour une transformation rapide de l'agriculture et des systèmes alimentaires pour faire face à un monde plus chaud et appelle aussi à ce que le secteur agricole fasse davantage pour lutter contre les changements climatiques. En effet, l'agriculture, y compris la foresterie, la pêche et la production animale, génère environ un cinquième des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Alexandre Meybeck, Conseiller principal à la FAO pour les questions liées à l’agriculture et à l’environnement revient sur les défis à relever, à commencer par une meilleure formation des agriculteurs, la mise ne place de système de protection sociale et une transformation radicale de l'agriculture.

Pour une exception agri-culturelle dans le commerce mondial. La crise agricole traversée par l’Europe est le symptôme de l’affaissement d’une économie de consommation destructrice des hommes et de la nature. Après l’accord de Paris sur le changement climatique, nous affirmons qu’il n’y aura pas d’économie bas carbone sans évolution forte du modèle agricole et alimentaire qui pousse aujourd’hui à l’éradication de la biodiversité et au développement inconsidéré du transport de marchandises de base partout identiques. Répondre aux défis climatique et alimentaire du XXIe siècle impose une révolution dans nos approches de l’économie agricole. Le droit à la souveraineté alimentaire Pour donner un avenir à la planète et aux agriculteurs, nous pensons avec Jacques Diouf qu’il est temps de produire là où les gens ont faim.

En clair, de limiter les échanges inutiles, et les gaspillages destructeurs de valeur. Il est temps de reconnaître aux peuples le droit à la souveraineté alimentaire et d’inscrire ce droit dans la Charte des Nations-Unies. Obligations vertes : les États entrent dans la danse. Alors que le marché des obligations vertes est en pleine expansion (multiplié par 4 depuis 2013), la France innove en annonçant le lancement d'un emprunt obligataire d'Etat de 9 milliards, sur les trois prochaines années, destiné à financer les investissements liés à la transition écologique. L'arrivée des dettes souveraines sur ce créneau devrait donner un coup d'accélérateur à un outil de financement innovant, à la fois par son ciblage et par ses modalités de fonctionnement, ainsi que le relève un article récent de ParisTech Review. Source : ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer Les green bonds ne sont pas nouvelles mais la COP 21 les a replacées au centre du dispositif de financement des investissements en faveur d'une économie bas-carbone.

De fait, les obligations vertes soutiennent une allocation plus efficace du capital sur des projets bas-carbone et résilients au changement climatique (cf. le rapport de l'Institute for Climate Economics, publié en juin). USC Canada - FR - L'agroécologie. L’agroécologie est la science et le savoir-faire derrière l’agriculture durable. Elle tient compte des effets environnementaux, du bien-être des animaux et d’aspects sociaux humains. Elle combine la recherche scientifique, les connaissances locales et les innovations des communautés agricoles autochtones et paysannes. Les principes de base de l’agroécologie incluent : accroître la biodiversité au maximum;recycler localement les ressources naturelles disponibles pour améliorer la fertilité des sols; etmettre l’emphase sur les interactions et la productivité dans l’ensemble du système agricole.

L’agroécologie utilise comme point de départ les connaissances et l’expérimentation des paysans et fermiers à la place de la diffusion verticale de la science et technologie agricoles. Elle exige un niveau élevé de connaissances et met l’accent sur des techniques peu coûteuses adaptées à l’écosystème local. À la fine pointe de l’innovation Liens et ressources. L’agriculture biologique pourra-t-elle nourrir la planète ? L’agriculture biologique peut-elle nourrir la planète ? La question tend à se poser avec d’autant plus de sérieux que le système intensif qui domine est attaqué pour ses impacts environnementaux et sociaux délétères.

Marc Dufumier, professeur émérite d’agriculture comparée à AgroParisTech, Christiane Lambert, vice-présidente de la FNSEA, syndicat agricole majoritaire, Fanny Gaillanne, conseillère PCF-Front de gauche de Paris, porteuse d’un projet de halles alimentaires solidaires dans la capitale, et Claude Gruffat, de Biocoop, premier réseau bio en France, en ont débattu samedi, dans l’espace consacré à l’économie sociale et solidaire de la Fête de l’Humanité. N’en demandons-nous pas trop à l’agriculture biologique en faisant d’elle la réponse aux déséquilibres environnementaux et sociaux induits par les systèmes actuels ? Marc Dufumier Non seulement nous ne lui en demandons pas trop, mais nous ne lui en demandons pas assez. Marc Dufumier Toute notre agriculture va devoir changer. Le biocontrôle revisité par l’Académie d’Agriculture. Pierre angulaire du projet d’agro-écologie de Stéphane Le Foll, le biocontrôle devrait permettre à terme une diminution de l’usage des pesticides de synthèse.

Mais quels sont sa réalité, ses atouts, ses faiblesses, et surtout, ses perspectives ? Quatorze « sages » de l’Académie d’Agriculture de France tentent de répondre à ces questions dans un rapport intitulé « Biocontrôle en Protection des Cultures ». La lecture de ce texte engendre des impressions contrastées.

Comme le note l’Académie, le terme même de biocontrôle couvre plusieurs définitions. Aux États-Unis, les « biopesticides » comprennent trois catégories de moyens : microbial pesticides (ex : les protéines insecticides de B. thuringiensis), biochemical pesticides (ex : les phéromones) et plant-incorporated protectant (PIP). En France, le Club Adalia, qui rassemble des techniciens de la protection intégrée, définit le biocontrôle de façon plus large. État des lieux et perspectives.

La leçon d'agroécologie de Marc Dufumier - Interviews (partenaires) L'agroécologie pour nourrir le Monde. - Lilo. L’agroécologie comme éthique et pratique visant à assurer la souveraineté alimentaire des populations Terre & Humanisme, l'agroécologie à taille humaine L'agroécologie est un ensemble de pratiques et de connaissances agricoles qui cherchent à organiser autrement la production alimentaire. Elle représente une alternative innovante et viable pour un développement plus durable de nos modes de production agricole. En partageant l'agroécologie au Nord comme au Sud, l'association accompagne le changement de pratiques agricoles et de paradigme sociétal vers une alternative éthique et politique au service de la Vie, de l'autonomie alimentaire des populations et de la sauvegarde de la terre nourricière. 3 pôles : Sensibilisation : expérimentation, visites de nos jardins, publications, conférences, production documentaire, outils pédagogiques.

Accompagnement de projet : Soutien au développement des fermes-écoles agroécologiques en Afrique de l'Ouest, au Maghreb, en Palestine. Comptes de l’agriculture, revenu agricole. Les agriculteurs bio veulent les mêmes précautions pour la sélection des plantes et les OGM. Les agriculteurs bio tirent la sonnette d'alarme sur les conséquences économiques et environnementales « désastreuses » que pourraient avoir les nouvelles techniques de sélection des plantes pour le secteur agricole européen. Dans un document d'orientation publié le 14 janvier, le bureau européen de la Fédération internationale des mouvements d'agriculture biologique (IFOAM UE) encourage la Commission à classer les nouvelles techniques de sélection des semences « dans le champ d’action des lois sur les OGM ».

Ces nouvelles techniques « devraient être sujettes à une analyse de risque » et à la « traçabilité et à l'étiquetage obligatoires qui s'appliquent aux autres OGM », explique le document, consulté par EurActiv. L'exécutif européen devrait décider dans les prochains mois si ces techniques relèvent de la loi des OGM ou pas. >> Lire : La Commission s'interroge sur la sélection génétique des plantes Effets secondaires « imprévisibles » Étiquetage et traçabilité.