background preloader

Nouvelles technologies, externalisation, participation

Facebook Twitter

Vouloir un web coopératif. Par Daniel Kaplan le 27/06/08 | 17 commentaires | 17,522 lectures | Impression En 2006, Time Magazine nous nommait, nous tous, “personnes de l’année“.

Vouloir un web coopératif

L’explosion des blogs, des plates-formes de partage d’images, des réseaux sociaux, donnait le sentiment d’une prise d’assaut de l’univers médiatique par son propre public. Mais en page intérieure du numéro de l’année suivante, l’hebdomadaire reproduisait presque la même couverture, avec un autre titre : “Personne de l’année : Eux“, eux les médias, les puissants, les influents. Que s’est-il passé d’une année sur l’autre ? MySpace est devenu un système pour vendre de la musique. Oui : la prise de conscience que le web “massivement relationnel” ne transforme pas à lui tout seul la vie démocratique, ni les médias. Portabilité, propriété La discussion sur la “portabilité” des profils associés aux réseaux sociaux est sans doute la plus symbolique du moment. Salle de presse - Conseil de l'Europe. Conseil de l'Europe Le Conseil de l’Europe préconise la créativité en ligne pour enrayer la baisse de la participation politique Le rapport invite la société civile à tirer parti de l’externalisation ouverte, le financement participatif et les campagnes virales sur les réseaux sociaux Strasbourg, 18.11.2013 – Les réseaux sociaux, les blogs et les médias en ligne offrent aux citoyens des possibilités sans précédent d’accès direct à la vie publique.

Salle de presse - Conseil de l'Europe

Internet est-il en train de révolutionner notre conception de la démocratie ? Une nouvelle étude réalisée pour le Conseil de l’Europe invite les gouvernements et la société civile à tirer pleinement parti du web en tant qu’outil de démocratie participative. L’étude relève un recul de la participation aux élections dans 40 des 49 démocraties du monde entre 2007 et 2013, ainsi qu’une baisse des adhésions aux partis, de la syndicalisation et d’autres formes d’expression démocratique. Forum mondial de la démocratie. Externalisation ouverte et pérennité. Lebraty (2007) définit le concept de CS de la manière suivante : « Le crowdsourcing signifie l’externalisation par une organisation, via un site web, d’une activité auprès d’un grand nombre d’individus dont l’identité est le plus souvent anonyme. »

Externalisation ouverte et pérennité

Agile Démocratie: Externalisation ouverte de l'élaboration des lois: la Démocratie Agile a percé en 2013. La Démocratie Agile a fait ses premiers pas en Europe cette année.

Agile Démocratie: Externalisation ouverte de l'élaboration des lois: la Démocratie Agile a percé en 2013

Elle ne dit pas son nom, mais vous reconnaîtrez sans peine ses caractéristiques, ainsi que les limites des initiatives présentées en vous servant du Manifeste pour le Développement Agile de la Démocratie comme repère. Commençons par deux modèles d'utilisation du "crowdsourcing" (externalisation ouverte) dans le cadre de l'élaboration des lois en Finlande.

Sur la plateforme d'Open Ministry, les citoyens proposent des pétitions en ligne. En vertu de la loi sur les initiatives citoyennes, les pétitions qui recueillent 50 000 signatures dans un délai de six mois doivent être examinées au Parlement. Outre la collecte de signatures, Open Ministry rédige les projets de loi issus des pétitions avec l'assistance de juristes et d'autres experts bénévoles. Qu’est-ce que le web 2.0. Web 2.0.

Qu’est-ce que le web 2.0

Voila le terme à la mode, la promesse d’un nouveau web, d’une révolution comme d’une nouvelle version de l’internet. The Generative Internet by Jonathan Zittrain. Harvard Law School and Kennedy School; Harvard School of Engineering and Applied Sciences; Berkman Center for Internet & Society Harvard Law Review, Vol. 119, p. 1974, May 2006 Oxford Legal Studies Research Paper No. 28/2006 Berkman Center Research Publication No. 2006/1 Abstract: The generative capacity for unrelated and unaccredited audiences to build and distribute code and content through the Internet to its tens of millions of attached personal computers has ignited growth and innovation in information technology and has facilitated new creative endeavors.

The Generative Internet by Jonathan Zittrain

It has also given rise to regulatory and entrepreneurial backlashes. A further backlash among consumers is developing in response to security threats that exploit the openness of the Internet and of PCs to third-party contribution. This is a working paper. Number of Pages in PDF File: 63. KmProject - Les 7 principes du web 2.0. Outils du Web 2.0. PDF version Le Web 2.0 est une évolution du Web vers plus de simplicité (ne nécessitant pas de connaissances techniques) et d'interactivité (permettant à chacun de contribuer sous différentes formes).

Outils du Web 2.0

Les internautes contribuent à l'échange d'informations et peuvent interagir (partager, échanger, etc.) de façon simple, à la fois avec le contenu et la structure des pages, mais aussi entre eux, créant ainsi notamment le Web social[2]. L'internaute devient, grâce aux outils mis à sa disposition, une personne active sur la toile. (source (consulté le 30/03/2011)) Plate-forme (informatique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Plate-forme (informatique)

Une plate-forme est en informatique une base de travail à partir de laquelle on peut écrire, lire, développer et utiliser un ensemble de logiciels. Elle peut être composée : Qu'est-ce qu'une plateforme. Les plateformes nuagiques ou « cloud computing » Eutech SSII. Une plateforme gagne contre une application à tous les coups A chaque confrontation passée, Microsoft a joué la carte de la plateforme avec succès, en l'emportant même face aux applications les mieux implantées.

Eutech SSII

Ainsi, Windows a permis à Microsoft de remplacer Lotus 1-2-3 par Excel, WordPerfect par Word, et le navigateur Netscape par Internet Explorer. Du gouvernement comme plate-forme… ou l’inverse. Par Hubert Guillaud le 24/06/10 | 8 commentaires | 1,659 lectures | Impression Le web 2.0, dès sa définition par Tim O’Reilly, était qualifié de plate-forme pour les usagers et les usages.

Du gouvernement comme plate-forme… ou l’inverse

Depuis, l’image a fait florès. La ville, la rue sont quelques-uns des nombreux espaces que l’on a essayé de définir comme plate-forme. En septembre dernier, Tim O’Reilly (toujours lui), à la veille de la conférence Gov 2.0 qu’il organisait, a initié une réflexion autour du gouvernement 2.0 définit comme plate-forme, qu’il a développé plus longuement dans un livre qu’il vient d’éditer sur le gouvernement “ouvert”. Le gouvernement 2.0 évoque surtout la façon “dont la politique utilise les médias sociaux, que ce soit pour solliciter la participation publique ou pour diffuser ses messages de nouvelles manières.

Mais pour Tim O’Reilly le vrai secret de la métaphore consiste à penser le gouvernement comme une plate-forme. What Does Government 2.0 Look Like? Un gouvernement 2.0 pour demain? Le gouvernement 2.0 débarque en France. Les médias sociaux peuvent contribuer à la gouvernance démocratique. Creative Commons. Creative Commons (CC) est une association à but non lucratif dont la finalité est de proposer une solution alternative légale aux personnes souhaitant libérer leurs œuvres des droits de propriété intellectuelle standard de leur pays, jugés trop restrictifs[1]. L’organisation a créé plusieurs licences, connues sous le nom de licences Creative Commons. Ces licences, selon leur choix, ne protègent aucun ou seulement quelques droits relatifs aux œuvres.

Le droit d'auteur (ou « copyright » dans les pays du Commonwealth et aux États-Unis) est plus restrictif. Licences[modifier | modifier le code] Six possibilités existent, combinaisons de quatre pôles définissant les différents usages[2] : Exemple de combinaison : Creative Commons BY-NC-SA, qui est la licence Attribution-Non Commercial-Partage à l'identique. [Infographie] 10 ans de Creative Commons. Cette semaine, Creative Commons fête ses dix ans dans le monde entier. Une décennie d'alternative à une vision maximaliste de la propriété intellectuelle qui a su conquérir le grand public. Owni, un des rares médias en CC en France, vous retrace cette histoire en une infographie interactive. Des early adopters aux géants du web, Owni vous retrace en une infographie 10 ans d’histoire de Creative Commons : ou comment un pari que d’aucuns jugeait pascalien a été remporté haut la main : proposer une alternative légale assouplissant la propriété intellectuelle pour favoriser le partage à l’heure du numérique.

Depuis la publication du premier set de licences en décembre 2002, cette généreuse et utile idée a fait son chemin sur les cinq continents, dépassant son cœur initial de cible, la culture, pour s’appliquer à d’autres domaines comme la science ou l’éducation. Cliquez sur les items pour avoir plus d’informations.