background preloader

COVID

Facebook Twitter

L'histoire d'Elia Fontaine, basketteuse belge de 18 ans, amputée à cause du Covid-19. Le 18 mars 2020, la vie d’Elia Fontaine, jeune basketteuse belge de 18 ans, bascule.

L'histoire d'Elia Fontaine, basketteuse belge de 18 ans, amputée à cause du Covid-19

Ce jour-là, la jeune femme, originaire de Wanze, commune située dans la région wallonne dans la province de Liège, au sud-est de Bruxelles, contracte le coronavirus. Si les formes graves de Covid-19 sont rares chez les jeunes, elles existent. “Ce 18 mars, je me suis sentie mal, j’avais froid et j’avais la nausée. On a pris ma température et le thermomètre affichait 32,4°. Mes parents m’ont alors emmenée à l’hôpital”, raconte Elia. Ce n’est que le 15 avril que la jeune femme sort du coma.

“Je ne pensais jamais devoir prendre cette décision à 18 ans” Mais cette première opération se révèle vite insuffisante. Plus de 60 000 euros récoltés Aujourd’hui, Elia Fontaine remarche grâce à une prothèse et continue la rééducation, commencée début juin. Brut - La réalité des services de réanimation face au... Le coup de gueule d'un infectiologue : "C'est un confinement complètement light, je suis consterné" "Je ne sais pas ce que font tous ces gens, je ne pense pas qu’ils soient tous dans des professions essentielles", déplore Gilles Pialoux, face aux embouteillages et à l'afflux dans les transports en commun.

Le coup de gueule d'un infectiologue : "C'est un confinement complètement light, je suis consterné"

L'infectiologue alerte sur la gravité de la deuxième vague de Covid-19. Les Français n'auraient-ils pas pris la mesure de la gravité de la deuxième vague de l'épidémie de Covid-19 ? Certains médecins ne cachent pas leur inquiétude, face à un reconfinement qu'ils estiment pris à la légère. C'est le cas de Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Tenon à Paris : "Je suis consterné", lâche-t-il, interrogé par France Inter. Fiche covid restaurants d entreprise def. Et lundi ? La rentrée du 2 novembre 2020, à nouveau, ne sera pas normale, prise entre les organisations sanitaires et le nécessaire moment d’humanité à tenir au sein de nos équipes, avec nos élèves, en hommage à notre collègue Samuel Paty.

Et lundi ?

Nous avons essayé, dans cet article, de faire la synthèse de notre réflexion collective tant avec les membres de la liste de diffusion du CRAP-Cahiers pédagogiques, mais aussi de nos expériences professionnelles. Insistons sur la difficulté de l’exercice envahi par l’émotion paralysante suite au crime odieux dont fut victime notre collègue, et la remise en pensée et en action d’une réflexion pédagogique : nous serons devant des élèves dont l’âge pourra varier de 2 ou 3 ans à 18 ans et plus pour les étudiants. Il faut anticiper également une pression médiatique forte voire très forte, l’intervention d’élus, de non professionnels de l’enseignement dont la présence pourra transformer, déformer le cadre auquel nous sommes habitués.

Prendre soin des enseignants… Covid-19│Comment se laver les mains? Covid-19 : Les gestes barrières et la "science" du lavage des mains. Twitter. Médecine : Ignace Semmelweis, inventeur de l'hygiène moderne et précurseur oublié. Dans les années 2000, le gel hydroalcoolique arrive dans les hôpitaux du monde entier.

Médecine : Ignace Semmelweis, inventeur de l'hygiène moderne et précurseur oublié

La lampe UV permet alors de débusquer les mains sales, alors qu'en 1995 seul un soignant sur cinq se nettoyait les mains. C'est à Genève (Suisse), la même année, que la solution hydroalcoolique voit le jour. L'hygiène des mains réduit ensuite de moitié les maladies nosocomiales, des infections contractées à l'hôpital dont 100 Européens meurent chaque jour. Le geste simple de se laver les mains, on le doit à un homme dont le nom est tombé dans l'oubli : Ignace Philippe Semmelweis. Gynécologue et accoucheur hongrois, il exerçait à Vienne (Autriche) dans les années 1840. Les opérations effectuées par les médecins, qui passent de la salle d'autopsie à la salle d'accouchement, sont responsables de ces infections, puisqu'ils reviennent les mains couvertes de germes.

RTBF - Elia amputée suite au Covid-19. PROTOCOLE SANITAIRE - DSDEN58 by valerie.perreaut on Genially. Tout savoir sur le Sars-CoV-2 – Covid-19. Actuellement, le principal test utilisé pour diagnostiquer une infection par le Sars-CoV2 est une technique appelée « RT-PCR », pour réaction en chaîne par polymérase via la transcriptase inverse (« reverse » en anglais).

Tout savoir sur le Sars-CoV-2 – Covid-19

La « RT-PCR » sert ici à révéler la présence du matériel génétique viral au sein d’échantillons recueillis par des professionnels de santé dans le nez ou dans la gorge des patients. Ce test est à visée diagnostique : il révèle une infection en cours au moment du prélèvement. Gestes barrières : le vrai du faux sur les masques. De la même façon que les climatoseptiques ne manquent pas de se manifester largement, un mouvement antimasques se développe activement sur les réseaux sociaux, abreuvé des fausses informations.

Gestes barrières : le vrai du faux sur les masques

Le contexte estival favorisant le relâchement, cerveau compris, un florilège d'études vient rappeler que, même sous un soleil de plomb, le port du masque est encore l'un des meilleurs moyens de se prémunir de la maladie de Covid-19 et aussi de protéger les autres. L'objectif étant de ralentir la propagation du SARS-Cov-2. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Non, les masques ne provoquent pas l'hypoxie Cette vidéo rétablit les faits à propos d'une publication devenue virale sur les réseaux sociaux. Celle-ci affirme que porter un masque chirurgical provoque de l'hypoxie. Le masque est devenu en quelques mois l'un des symboles de la pandémie de Covid-19. Entre craintes et désinformation.

Lavage des mains au savon doux et à l’eau. Actu HYDRACHIM Covid 19 1. Des chercheurs ont trouvé un talon d'Achille au coronavirus. Les interactions entre les protéines S virales de surface et leur récepteur cellulaire sont un élément clé pour que le coronavirus puisse entrer dans la cellule.

Des chercheurs ont trouvé un talon d'Achille au coronavirus

Une étude américaine a identifié une zone de la protéine S qui, si elle est modifiée, réduit la force de ces interactions. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Comment voyage la Covid-19 dans un bureau doté d'air conditionné ? Alors que le déconfinement commence à prendre place, de nouvelles simulations émergent, offrant un aperçu de la manière dont le virus pourrait circuler dans un bureau doté d'air conditionné. Covid-19 : comment certains malades deviennent des supercontaminateurs. Nez : les cellules olfactives, voie d'entrée au coronavirus. CELLULES OLFACTIVES.

Nez : les cellules olfactives, voie d'entrée au coronavirus

La porte d'entrée principale du SARS-CoV-2 (coronavirus) responsable du Covid-19 se trouverait-elle au fond du nez ? C'est ce que suggère l'étude de l'équipe du professeur Andrew Lane et le docteur Mengfei Chen de l'École de médecine de l'université Johns-Hopkins de Baltimore (États-Unis) publiée dans European Respiratory Journal. Les scientifiques ont en effet découvert que les cellules olfactives sont extrêmement sensibles au virus. Ce qui expliquerait la perte d'odorat, partielle ou totale, couramment observée chez les malades, mais aussi indiquerait une nouvelle voie de traitement possible. Gestes barrières : le vrai du faux sur les masques.