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Chartes valeurs Québécoise

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Ces hassidiques qui fuient les écoles illégales. Le reportage d'Émilie Dubreuil et la réaction du ministre de l'Éducation, Yves Bolduc.

Ces hassidiques qui fuient les écoles illégales

Exclusif - Shiffra et Yohan ont grandi dans une communauté hassidique avant de la quitter pour que leurs enfants aient accès à un enseignement laïque, pour qu'ils échappent à ce qu'ils qualifient de prison intellectuelle. Un chemin de croix qui aurait été plus facile si Québec avait appliqué la Loi sur l'instruction publique, dénoncent-ils. Le reportage d'Émilie Dubreuil En 2006, Radio-Canada révélait que des milliers d'enfants juifs hassidiques étaient scolarisés en contravention de la Loi sur l'instruction publique. Des milliers d'enfants qui fréquentent des écoles exclusivement religieuses et ne respectent pas les programmes obligatoires. Avoir accès à l'éducation jusqu'à 16 ans est pourtant un droit de l'enfant au Québec. L'Aut'Journal - Journal libre et indépendant. Le Rassemblement pour la laïcité s’insurge contre les opinions récemment exprimées par plusieurs journalistes et Amir Khadir, député de Québec solidaire, au sujet des Janette.

L'Aut'Journal - Journal libre et indépendant

Un grand mythe est actuellement façonné pour discréditer l’aspiration à la laïcité d’une large proportion du peuple québécois. Le puissant mouvement en cours en faveur de la laïcité ne serait, selon les dires de certains, que la résultante d’un plan orchestré entre Julie Snyder, l’empire Québecor et le gouvernement du Parti québécoisi. La Charte des valeurs va trop loin, selon Jacques Parizeau (TWITTER) L'ancien premier ministre québécois Jacques Parizeau juge que le projet de charte des valeurs du gouvernement Marois va trop loin en interdisant le port de signes religieux aux employés de l'État et plaide pour un retrait du crucifix de l'Assemblée nationale.

La Charte des valeurs va trop loin, selon Jacques Parizeau (TWITTER)

Dans sa première chronique publiée jeudi dans Le Journal de Montréal, l'ex-chef péquiste adopte une position plus conciliante que celle adoptée par le ministre Bernard Drainville et ses collègues en préconisant une solution s'inspirant du rapport Bouchard-Taylor pour régler la question. Bien qu'il se dise en faveur des autres propositions de la charte des valeurs (modifier la Charte des droits et libertés et offrir des balises claires pour gérer les demandes d'accommodements religieux, par exemple), M. M. Fragile, la liberté féminine. Je ne veux absolument pas philosopher sur le voile, sa symbolique ou son histoire parce qu'il est vrai que la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres.

Fragile, la liberté féminine

Loin de moi donc, Fatima, l'idée de poser un quelconque jugement sur tes valeurs ou de m'insurger contre tes certitudes. Ceci dit, je ne peux résister à la tentation de te rappeler qu'être à la fois jeune, femme voilée et libre dans ses choix est un grand privilège qui impose aussi un certain devoir de mémoire à celle qui le scande. Je me souviens de Grand Mère Johanne Chayer. Quand on compare le texte dont Siocnarf nous donne le lien et celui retrouvé par rcdl (sur vigile.net en 2007) on observe 3 parties de textes ont simplement disparu : 1) " Je me souviens que lorsque j’étais jeune, nous devions nous aussi, comme pour les religions musulmane et autres, prier sept à huit fois par jour.

Je me souviens de Grand Mère Johanne Chayer

Je ne suis pas raciste, mais j'ai peur... « Aux femmes qui ont troqué, sans qu’on le leur impose, leurs grandes robes noires et leurs voiles pour des habits civils sans pour autant renier leur foi et sans cesser de prier, doit-on leur dire qu’elles ont évolué à tort et qu’elles ont fait tous ces efforts pour tomber dans l’oubli ?

Je ne suis pas raciste, mais j'ai peur...

», se demande l’auteure. Photothèque Le Soleil J’aurais voulu aller rencontrer ces femmes musulmanes à Hérouxville pour partager leur culture et leurs recettes, mais surtout pour profiter de l’occasion pour leur expliquer notre devise « Je me souviens ». Arrête, madame Foulard. À une collègue qui me demandait si j’allais prolonger mes vacances encore longtemps, je répondais que je reviendrais à la chronique lorsque le débat sur la Charte serait terminé.

Arrête, madame Foulard

On se revoit en janvier, alors, m’a-t-elle lancé plaisamment… Je n’ai pas une opinion si originale sur la Charte qu’il urgeait tant que cela que je mette fin à mes vacances pour vous la donner. Mon opinion tient en quelques mots, c’est, je crois l’opinion d’une majorité de Québécois : oui à la Charte, oui à l’interdiction des signes religieux ostentatoires chez les employés de l’État qui « exercent un pouvoir de sanction », juges, policiers, etc. Mais je trouve inopportun, maladroit même que cette interdiction s’étende, comme le propose la Charte, aux travailleuses en garderie, aux infirmières, aux fonctionnaires en général. Je suis d’accord aussi pour que l’on ne décroche pas le crucifix à l’Assemblée nationale, ni partout où il est encore accroché en ce moment.

Charte des valeurs québécoises. Zabi Naim D’origine afghane, l’auteur a immigré au Québec dans les années 80.

Charte des valeurs québécoises

Ma famille et moi avons fui la guerre entre les Russes et les moudjahidines en Afghanistan. Le Québec nous a accueillis, nous a enseigné sa langue, ses façons de faire et son ouverture d’esprit.