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Intimité

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Réseaux sociaux. «Nothing to hide», un documentaire sur la surveillance. Programme FIFF Programme KIKK (film diffusé deux fois par jour) Le documentaire NOTHING TO HIDE produit et réalisé par Mihaela Gladovic et Marc Meillassoux entame sa phase de diffusion en festivals.

«Nothing to hide», un documentaire sur la surveillance

Il sera mis en ligne sous une licence gratuite (Creative Commons) courant 2017. NOTHING TO HIDE's first trailer (NEW trailer: see link below) La Vie privée (4/5) : Fragments d'intimité. Donner ses mots de passe deviendra peut-être obligatoire pour entrer aux États-Unis. La communication de son mot de passe de comptes Facebook et d'autres réseaux sociaux aura peut-être un jour la même valeur qu'un visa pour entrer sur le territoire américain.

Donner ses mots de passe deviendra peut-être obligatoire pour entrer aux États-Unis

C'est cette perspective qui s'est dessinée après les propos tenus par John Kelly, le nouveau chef de la sécurité intérieure, lors de son audition devant une commission du Congrès. Interrogé dans le cadre du décret sur l'immigration signé par le président Trump — et pour le moment bloqué dans son exécution — Kelly a expliqué que les candidats à l'entrée sur le sol US pourraient avoir à donner aux autorités les clefs de leurs comptes de réseaux sociaux, afin que leur contenu soit passé au crible. Nous voulons l'accès à leurs réseaux sociaux, avec leurs mots de passe pour savoir ce qu'ils y font, ce qu'ils y disent. Rennes : Des capteurs wifi pour suivre les clients du centre-ville.

Camille Allain Twitter Publié le Mis à jour le Habitués du centre-ville de Rennes, sachez que vous serez bientôt suivis.

Rennes : Des capteurs wifi pour suivre les clients du centre-ville

Dix raisons de se méfier du « fichier monstre » - 3 novembre 2016. Nos écrans nous coupent-ils la parole ? Happés par nos smartphones, nous ne serions plus capables de mener une vraie conversation, affirment certains chercheurs.

Nos écrans nous coupent-ils la parole ?

Le point sur la polémique. LE MONDE IDEES | • Mis à jour le | Par Frédéric Joignot Ce sont des scènes banales et troublantes de l’âge numérique. Une famille, deux parents et deux ados, se retrouve au restaurant : pendant tout le repas, ils pianotent sur leurs portables en se parlant à peine. Cinq collègues déjeunent ensemble : ils consultent leurs écrans toutes les deux minutes, envoient des messages, discutent de façon décousue. Nous avons tous été témoins ou acteurs de ces scènes où nos pratiques numériques rivalisent avec notre vie familiale et amicale. Identité « fragmentée » Des chercheurs en sciences humaines commencent à prendre la mesure de cet impact.

WhatsApp accusé de mal protéger les communications de ses utilisateurs : le vrai du faux. La quasi-totalité des experts jugent que les accusations publiées par le « Guardian », vendredi, sont largement exagérées.

WhatsApp accusé de mal protéger les communications de ses utilisateurs : le vrai du faux

Vendredi 13 janvier, le quotidien britannique The Guardian a publié un article accusant WhatsApp, la très populaire application de discussion instantanée appartenant à Facebook, d’avoir sciemment laissé une vulnérabilité informatique dans son application, permettant, sous certaines conditions, d’accéder à des messages chiffrés de ses utilisateurs. Une nouvelle mégabase de données, ça la fiche mal. La deuxième mouture aura été la bonne.

Une nouvelle mégabase de données, ça la fiche mal

Un décret publié au Journal officiel dimanche, en plein pont de la Toussaint, crée un gigantesque fichier qui contiendra des informations personnelles sur presque tous les Français. La ressemblance avec un autre projet, avorté après censure du Conseil constitutionnel, est frappante : le fichier dit «des gens honnêtes», que voulait mettre en place la droite en 2012, comprenait aussi des informations sur l’ensemble de la population.

Mais, insiste le ministère de l’Intérieur qui a rédigé le décret paru dimanche, cette nouvelle version en limiterait les «finalités», donc les usages, voire les détournements, possibles. A quoi sert ce fichier ? Les enfants sont tellement filmés et photographiés que leur vie tourne à la téléréalité. Nous, les vieilles personnes nées avant les années 2000, ne disposons que de quelques éléments tangibles nous prouvant que nous avons été enfant un jour: photos de famille ou de classe, vidéos floues et mal cadrées tournées un jour de galette des rois, récit familial.

Les enfants sont tellement filmés et photographiés que leur vie tourne à la téléréalité

Et bien sûr, nos propres souvenirs dont les experts estiment qu'ils ne peuvent remonter que jusqu'à 7 ans. Ceux qui ont hérité du doux surnom de «digital natives» n'auront très probablement pas à se plonger, une fois plus grand, dans une vieille boîte à biscuits contenant un joyeux bordel de photos délavées pour savoir à quoi ils ressemblaient bébé ou comment se passaient les vacances en famille dans un gîte de Bretagne.

Et pour cause, pour partie d'entre eux, leur enfance est documentée, filmée, enregistrée en temps réel et de façon quasi continue. Dans l'intimité des Le Pen. La chronique de Miguel : Une ambition intime. Solange te parle de cul. En plus de saouler vos amis, poster des photos de vos enfants sur Internet peut être risqué. L’association de protection pour l’enfance Innocence en danger a récemment mené une campagne qui questionne le partage des photos de mineurs sur Internet.

En plus de saouler vos amis, poster des photos de vos enfants sur Internet peut être risqué

L’occasion de se pencher sur ce sujet de société qui touche de plus en plus de monde. © Innocence en danger/YouTube À l’heure où tout le monde publie des photos sur les réseaux sociaux, nous pouvons nous questionner sur nos usages et leurs limites. Notamment quand ces publications peuvent avoir des conséquences sur la vie d’autrui, comme c’est le cas lorsqu’un parent publie des photos de ses enfants. Nous pouvons donc à juste titre nous demander : faut-il publier des images de sa progéniture sur les réseaux sociaux ?