background preloader

Co construction metier

Facebook Twitter

Aujourd’hui les réseaux sociaux font partie du quotidien des entreprises, pour développer l’activité, le chiffre d’affaires, communiquer mais également recruter. En effet les médias sociaux ont radicalement transformé et repositionné les méthodes du recrutement. Les réseaux professionnels LinkedIn et Viadeo mais aussi Twitter, Facebook, Google+ sont les nouveaux leviers préférés du recrutement 2.0. Les DRH sont nombreux à se lancer dans la… Découvrez une infographie sur le métier de Customer Success Manager, garant d’une expérience client réussie.

. « Merci de me faire parvenir un document JPEG2000», « Vous trouverez en pièce jointe les fichiers GIF animés »… Autant de situations farfelues que nous avons tous eu l’occasion de vivre au moins une fois. Près de 304 millions d’utilisateurs actifs sur Twitter, 1,49 milliard sur Facebook, et près de 200 millions de blogs à cette heure-ci : on n’a jamais autant parlé sur Internet. Journée Fulbi 2015. L’amphithéâtre Paul Painlevé du CNAM (Paris) a fait salle comble pour cette nouvelle journée d’étude de la Fulbi 1concentrée cette fois-ci sur la question du recueil et de l’exploitation des « data ». Présentation de projets très concrets, études menées par des équipements, et « pas de côté » universitaire se croisent ici pour permettre d’appréhender une réalité aujourd’hui partagée mais cependant encore nouvelle, complexe et aussi très variable selon les équipements. De fait, nombre de questions sont encore en suspens, et des solutions restent à trouver, notamment lorsqu’il s’agit de passer des « big data » (les données recueillies et analysées) aux « smart data » (à de nouveaux services) 2.

Data : de quoi parle-t-on et « à quoi ça sert ? » 3 Xavier Guillot, bibliothécaire à la médiathèque départementale du Puy-de-Dôme – CUTO 6, quant à lui porte son attention sur la question de l’harmonisation des données à des fins comparatives. Web participatif et changement de mentalités. Carte conceptuelle et carte heuristique.

La carte conceptuelle apparaît sur le devant de la scène dans les années 1970, pratiquement en même temps que le mind mapping. Elle a comme théoricien principal le chercheur Joseph Novak. La carte heuristique, quant à elle, s'appuie sur les travaux de l'auteur, formateur et entrepreneur britannique Tony Buzan. Ces deux techniques, comme nous pouvons le voir ci-dessus, partagent de nombreux points communs mais il ne faut pas les confondre. Personnellement, j'utilise la carte conceptuelle lorsque je veux formaliser des connaissances, remettre les concepts en ordre afin d'être en mesure de les assimiler et de les communiquer. Par exemple après avoir visionné une vidéo très intéressante de Rémi Bachelet sur l'évaluation de la carte conceptuelle, j'ai souhaité créer une carte pour mettre en ordre et clarifier ce que j'avais appris. La carte heuristique implique selon moi plus de créativité, elle sollicite davantage la pensée divergente et l'usage de métaphores visuelles.

Bac à sable. Bibliothèques universitaires et IST : quelle(s) valeur(s) La journée d’étude du dernier congrès de l’ADBU qui se tenait à Strasbourg le 3 septembre dernier avait comme sujet « Bibliothèques universitaires et IST : quelle(s) valeur(s) ? ». On se souvient de la journée d’étude Elico-Couperin du 21 février 2014 consacrée à un sujet connexe : « Ressources documentaires électroniques en milieu universitaire : retour sur investissements ».

Les bibliothèques universitaires françaises, dans la tourmente des réductions de budget, se préoccupent donc des travaux menés à l’étranger sur la question de leur « valeur », de la « monétisation » de leurs services et de leurs collections, bref, de leur intérêt pour la communauté. Tout le monde attend qu’une étude économique soit enfin menée dans l’Hexagone, mais il semblerait qu’aucune ne soit encore programmée. La journée du 3 septembre a permis aux congressistes de prendre connaissance à la fois des aspects théoriques de telles études et des résultats de certaines récemment menées à l’étranger. Comment améliorer la collaboration entre designers, ergonomes et ingénieurs ?