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Fannylayani

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Freinet secondaire. L’évaluation autogérée. Depuis le début de la période 4, j’ai enfin réussi à mettre en place un système d’évaluation qui me convient. C’est un système parmi beaucoup d’autres qui fonctionnent également, mais de tous ceux que j’ai essayés c’est celui qui me permet d’être le plus efficace. Voici donc la démarche. Au départ, j’ai voulu m’orienter vers la pédagogie Freinet qui me plait énormément. Cependant, je ne me sentais pas à l’aise avec cette pédagogie, et surtout, pas prêt à la mettre totalement en place. Je m’en suis donc inspiré pour le démarrage. En début de période 4, j’ai distribué un plan de travail aux élèves intitulé : « À la fin de la période, je sais… » Ce plan de travail, n’est ni plus ni moins, qu’une version lisible par les enfants, de mes programmations périodiques (disponibles au téléchargement un peu plus bas dans le blog).

La première fois que j’ai distribué le plan de travail aux élèves, j’ai été très surpris de leur réaction. L’évaluation automatique ? Quelle horreur ! (Quoique…) Comment faire pour évaluer les travaux de plusieurs milliers d’étudiants à la fois ? Voilà la question qui se pose quotidiennement aux instigateurs de MOOCs (voir le billet de Matthieu, doctorant à l’ENS, si vous ne savez toujours pas ce que signifie cet acronyme). Mais pas à eux seulement : en première année de fac de médecine par exemple, on est habitué à des cohortes de plusieurs milliers d’étudiants; par exemple, plus de 5 000 étudiants de première année à la fac de médecine de Lyon 1. La masse n’est donc pas exclusivement réservée aux cours tout en ligne; certains cours en présence doivent hélas composer avec cette donnée cruciale, et il y a bien longtemps que les enseignants de Médecine ont mis au point des outils leur permettant d’évaluer rapidement les travaux de leurs étudiants.

La réponse la plus courante à ce problème s’appelle le Quiz. Et même, le quiz à correction automatique. Ce qui n’est pas toujours le cas, bien entendu. L'évaluation pour apprendre, apprendre à évaluer - Les classes sans note. Une tendance qui s'affirme La tendance des "classes sans note" apparaît de manière explicite dans la base nationale d'Expérithèque (actions déclarées et suivies par les CARDIE en académie) : les actions ou dispositifs centrés sur les modes d'évaluation des élèves (approche compétences ou encore "classes sans notes") se répartissent également entre innovation et article 34.

L'inscription administrative n'est donc pas signifiante en elle-même ; elle est facteur souvent du contexte local et de l'autorisation que les acteurs se donnent à changer des routines que formellement rien n'impose, si ce n'est la conformité à des évaluations de sortie de cycle (ex. DNB ou Bac). La plupart s'inscrit dans le collège, en concernant une classe d'âge d'élèves finalement élevés à l'ère du Socle commun entré en vigueur dans le premier degré depuis plus de cinq ans. Une pratique collective et plus réflexive de l'évaluation Quelques exemples. Le cerveau de l'apprenant. dr Alain POUHET. Autour d'une évaluation différenciée. L’évaluation autogérée. Diversifier, un site sur la diversification en pédagogie, François Muller.

Guerre d'Algérie : de la colonisation à l'indépendance - francetv é... Pédagogie inversée. | Eric Delcroix. Avec la "classe à l'envers", l'école garde les pieds sur terre | questions d'éducation. La pédagogie inversée. (page précédente) La ZoneTIC du Cégep Lévis-Lauzon décrit la « pédagogie inversée » (ou classe renversée, flipteaching, reverse instruction) comme ceci : une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir à la maison, alors que les traditionnels devoirs (travaux, problèmes et autres activités) sont réalisés en classe. Quel est l’intérêt?

Lorsque les élèves appliquent ce qu’ils ont appris à l’école en faisant leurs devoirs à la maison, ils rencontrent parfois des difficultés et des questionnements qu’ils ne rapportent pas toujours à l’école le lendemain. De plus, la collaboration entre pairs n’est pas toujours facile à cause des horaires de chacun. Les adeptes de la pédagogie inversée préfèrent donc que les élèves utilisent le temps de classe pour construire, collaborer, lancer des défis, remettre en question leurs apprentissages plutôt que de s’asseoir et écouter. Dans cette philosophie, les technologies sont omniprésentes. Pour lire la suite. La classe inversée. La "classe à l'envers", petite révolution pédagogique au Canada. "Bonjour, ici Madame Annick".

Celle qui s’exprime ainsi sur une vidéo YouTube avec un joli accent canadien n’est pas une animatrice de la télé, mais professeure de maths, d’histoire et d’anglais dans une école publique, l’école Le Mascaret à Moncton, à l’extrême sud-est du Canada. Annick Arsenault Carter, 41 ans, adresse ses leçons (environ 10 minutes) sur les probabilités, les diagrammes circulaires ou les décimales à ses élèves de 7e (11-12 ans). Comme elle le ferait en classe, mais justement, elle ne le fait pas en classe. Et ça change tout. Depuis le printemps 2012, la professeure a décidé de mettre ses élèves à l’heure de la "classe inversée". Les sécheurs démasqués Mine de rien, c’est une petite révolution dans cette classe pas facile (la moitié des élèves se trouvent en difficulté) : "Au départ, j’avais envie d’aider mes élèves qui peinaient le plus à avancer, avant de réaliser que la méthode pouvait aider tout le monde", explique la professeure.

A plusieurs vitesses. #sansnotes : les conditions du changement. Se passer des notes, c’est bien joli, mais comment faire dans la pratique pour se lancer dans ce projet ? Sous quelle conditions le changement est-il possible ? Claire Krepper, secrétaire nationale du secteur Education du SE-Unsa, et Lionel JeanJeau, proviseur-adjoint en lycée, donnent quelques clés pour changer de système. Claire Krepper L’évaluation doit être d’abord un outil au service des apprentissages et non un outil de sélection des élèves. Dans un système éducatif qui affiche comme objectifs « 100% des élèves ayant acquis au terme de leur formation scolaire un diplôme ou une qualification reconnue » et « 80% d’une classe d’âge accédant au niveau du baccalauréat », il n’y a pas lieu de pratiquer une évaluation-sélection au quotidien.

. - Elle entraîne mécaniquement le classement des élèves en « bons », « moyens » et « mauvais » dans le groupe et place donc un certain nombre d’élèves en situation d’échec quel que soit leur niveau réel. Lionel Jeanjeau Like this: J'aime chargement…