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3- Seconde Guerre mondiale

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Seconde Guerre Mondiale : un bilan humain. Sigmaringen, le crépuscule des Collabos. Nos derniers compagnons. Depuis la mort de Daniel Cordier, en novembre dernier, il ne reste plus qu'un seul compagnon de la Libération encore en vie, le légionnaire Hubert Germain.

Nos derniers compagnons

Interception vous propose de réentendre leurs voix dans ce reportage. Il y a 80 ans, le 18 juin 1940, Charles de Gaulle lançait son célèbre appel. C’était en réponse au discours du maréchal Pétain qui la veille annonçait sa demande d’armistice. L’appel de de Gaulle est considéré comme l’acte fondateur de la résistance. Il est destiné avant tout aux militaires. Le Général de Gaulle comprend vite qu’il lui faut fédérer ces nouveaux combattants. L’ordre a distingué 1038 personnes (dont 6 femmes), un peu plus de 700 compagnons ont survécu à la guerre.

La Tondue de Chartres : la photographie de la honte. DOSSIER. La Corse, nid d'espions. De Londres, de Gaulle envoie Fred Scamaroni structurer la Résistance, c'est l'opération « Sea Urchin ».

DOSSIER. La Corse, nid d'espions

Depuis Alger, Giraud dépêche avec le Casabianca un groupe chargé d'implanter une station radio avec l'opérateur Pierre Griffi. C'est la mission « Pearl Harbor ». Organisées par la France libre, ces opérations spéciales de renseignement sont montées conjointement par différents services, le 2e Bureau français, l'OSS américain, les Britanniques SOE et SIS. Cependant, le rôle exact de ces agents alliés reste le plus souvent méconnu. Car la mission « Pearl Harbor » envoyée le 11 décembre 1942 avec le sous-marin Casabianca, comprend aussi un agent de l'Office of Strategic Services, Frederic Brown.

Créé en 1940 par Churchill pour « mettre le feu à l'Europe », le SOE (Special Operations Executive) tient une place essentielle dans les opérations clandestines en Corse. Le second met des noms sur ces lettres. Nom de code : Balaclava. . « Les plus grands services à l'Armée française d'Afrique » Le traumatisme de la défaite de juin 1940. 1Malgré la victoire défensive remportée sur l’Italie fasciste, du 10 au 25 juin, par le XVe Corps d’Armée sur le front des Alpes1 -qui satisfit l’amour-propre des Maralpins et suscita une indéniable ferveur patriotique-, l’opinion azuréenne fut fortement impressionnée par la rapidité de la défaite subie sur le front du Nord-Est, qui provoqua des pertes humaines conséquentes2, ainsi que la chute du régime de la IIIe République à Vichy, le 10 juillet, à laquelle concoururent quatre des cinq parlementaires présents3.

Le traumatisme de la défaite de juin 1940

France Culture partenaire de Vie et Destin du Livre Noir, « La Destruction des Juifs d’URSS » sur France 5 / France Culture. Les Einsatzgruppen: des tueurs surdiplômés. Georges Bensoussan - historien Professeur agrégé d'histoire, HDR, ancien directeur éditorial du Mémorial de la Shoah, il est l’auteur de plusieurs ouvrages portant sur l'histoire de la Shoah, sur la genèse culturelle du génocide, sur les enjeux de sa mémoire comme aussi la place de cette mémoire dans l'État d'Israël aujourd'hui.

Les Einsatzgruppen: des tueurs surdiplômés

Dans d’autres domaines, il a travaillé sur l’histoire du sionisme comme sur l’histoire contemporaine des Juifs du monde arabe. Il a coordonné enfin deux ouvrages sur la situation présente de la France : Les Territoires perdus de la République, sous le pseudonyme d’Emmanuel Brenner en 2002 ( nouvelle édition, Pluriel, 2015) Et Une France soumise. Les voix du refus (Albin Michel, 2017) Georges Bensoussan L'alliance israélite universelle (1860-2020), (Albin Michel, 2020) Acheter. 70ème anniversaire de Nuremberg : du Tribunal pénal international à la Cour pénale internationale.

Il y a tout juste 70 ans s'achevait le procès des criminels de guerre nazis, au TPI de Nuremberg.

70ème anniversaire de Nuremberg : du Tribunal pénal international à la Cour pénale internationale

Premier tribunal international, il est créé à la suite de la ratification des accords de Londres du 8 août 1945, à l'issue d'une conférence ouverte le 26 juin 1945 entre les États-Unis, le Royaume-Uni, l'URSS et la France. L'objectif à l'époque est selon les propres termes de l'accord, de "juger les criminels de guerre dont les crimes sont sans localisation géographique précise, qu'ils soient accusés individuellement, ou à titre de membres d'organisations ou de groupes, ou à ce double titre".

Pour encadrer les poursuites, l'accord comporte une charte qui définit ses champs d'actions, à savoir : les crimes de guerre, les crimes contre l'humanité et les crimes contre la paix. Au banc des accusés sont présents les 24 plus importants dirigeants encore en vie, du régime nazi mis en accusation pour complot, crimes de guerre, crimes contre la paix et crimes contre l'humanité. La défaite de la France en 1940 : un réservoir des fantasmes sur le délitement national. L’actualité montre souvent une fâcheuse tendance à suivre le calendrier des commémorations, mais parfois le présent résiste.

La défaite de la France en 1940 : un réservoir des fantasmes sur le délitement national

Cette année on commémore 1940, la défaite militaire française face aux forces militaires du nazisme. Un anniversaire difficile à imposer, pas facile de lever l’enthousiasme général pour se souvenir d’une telle déculottée. Juin 1940, ça n’est pas seulement une défaite c’est aussi un seuil bientôt franchi vers la collaboration. Avec une envie furieuse de se dire « et si …. », dans un jeu des possibles pour explorer les pistes par lesquels ces pages de l’histoire auraient pu nous être épargnées. Mais l’exercice ne peut être que théorique. Mais cette année 1940 est aujourd’hui réévaluée, un peu de nuances dans la compréhension d’un moment historique que l’on répugnait à regarder de trop près. Liens : Dresde : les bombardements de la Seconde Guerre mondiale 75 ans plus tard, en images.