background preloader

Economy & Sustainability

Facebook Twitter

Economie de fonctionnalité

Green jobs. William McDonough on cradle to cradle design. 2012 - Vers l'économie soutenable .pdf. Dennis Meadows. Dennis Meadows. Blogs/gadrey/files/diaporamaceser.pdf. L'autonomie est-elle l'avenir de notre société? Chaque homme doit inventer son chemin... mais est-ce véritablement le cas dans nos sociétés modernes? Perdu dans ses finances incontrôlables, ses productions mondialisées et ses entreprises où l'humain et la nature ne pèsent pas bien lourds, le capitalisme d'aujourd'hui semble s'être laissé piéger par sa complexité et son obsession du profit. Et nous, citoyens-consommateurs, courons chaque jour derrière la consommation, l'épargne, le travail, la sécu, la retraite...

Est-ce vraiment la bonne réponse à notre quête personnelle de sens et de bien-être? Est-ce la bonne voie pour pérenniser notre économie et réinventer l'imaginaire de notre avenir collectif? Une solution est en marche qui pourrait résoudre une partie de nos difficultés: l'autonomie. Du grec autos et nomos, l'autonomie est la faculté d'agir par soi-même en se donnant ses propres règles de conduite. Le royaume des "créateurs-fabricants" Plus d'indépendance pour un meilleur contrôle des budgets Vers "l'autonomie heureuse"

Proposition 20 : Pour une économie "verte", équitable et pluraliste.

Pavan Sukhdev / Corporations 2020

Green Economy. Les conditions de la croissance verte. Comptabilité environnementale. Ray Anderson on the business logic of sustainability. ONU.2011 - La gde transformation technologique pour une économie verte.pdf. Toward a green economy - 2011.pdf. Filières industrielles stratégiques de l'économie verte.pdf. DATAR - Scénarios industriel pour 2040.pdf. Bioéconomie. Eco-innovation. John Doerr sees salvation and profit in greentech. The future of Eco-Innovation: The role of business models in green transformation - Summary and Presentations.

OECD/European Commission/Nordic Innovation Joint Workshop THE FUTURE OF ECO-INNOVATION: The Role of Business Models in Green Transformation 19-20 January 2012 Danish Business Authority Langelinie Allé 17, Copenhagen, Denmark Agenda / Participants listBackground Document Background and purposes Green growth means fostering economic growth and development while ensuring that natural assets continue to provide the resources and environmental services on which our well-being relies. Since eco-innovation and the resulting new business models are still relatively new to industry and policy makers alike, a better knowledge and understanding of emerging practices is needed to enable government to elaborate appropriate policies and to encourage industry to take up new opportunities. Thursday 19 January Welcome and Opening Session 1: Setting the scene Keynotes: Green growth and the role of innovation and business Framing discussions: OECD work on green growth and eco-innovation Comments from experts.

2012 - Business models for radical innovation.pdf. Eco-Innovation in Industry: Enabling Green Growth.

Van Jones - Green economy

Vinod Khosla. Economie. Eloi Laurent - ecologie politique. Alain Grandjean. Entropie de l'économie. Nicholas Georgescu-Roegen est l'un de ces personnages improbables que l'histoire troublée de l'Europe centrale a produit pour notre plus grand profit. Roumain, docteur en mathématiques, il rencontre Joseph Schumpeter dans les années 30 à Harvard et s'oriente alors vers l'économie qu'il enseignera aux Etats-Unis, pays où il s'est exilé en 1948. Ce livre est un recueil de textes des années 70 qui vient à point dans le débat sur le développement soutenable. L'auteur applique à l'économie la deuxième loi de la thermodynamique. Celle-ci affirme que dans un système clos, l'énergie transformable en travail mécanique ne peut que diminuer, le désordre ne peut qu'augmenter.

Nicholas Georgescu-Roegen transpose cette loi physique à la terre et à l'activité humaine pour déraciner la vision mécaniste, ancrée chez les économistes de toutes tendances, d'une activité économique conçue comme un cycle fermé sans pertes, voire capable de créer plus de richesses qu'il n'en consomme. Commenter cet article.

Nicholas Georgescu-Roegen

Entropy, peak oil, and Stoic philosophy. 1. Simple physics and complex systems So, ladies and gentleman, first of all let me show you this apple. (photo by Daniel Gomez) Don't worry; it doesn't mean that this will be a very long talk! The fact that apples fall from trees - and that everything else that can fall, does - is an effect of the existence of relatively simple laws in the universe. Before Newton, for a long time scientists could only grumble something about “angels pushing” when asked about what caused planets to move. It is not rare to find an underlying simple law that generates complex systems. Now, when we discuss complex systems, of course what comes to our minds is the subject we are discussing today – the economy and what makes it move. 2. So, let's see if we can inject some physics into modelling the economy.

Note that Hubbert had only data until 1956; the rest is extrapolation. The agreement is impressive, considering that the curve spans several decades. 3. 4. That is, of course, very simplified! 5. Sure. 6. La vie contre l'entropie - Theognosis. Grantham comes nose to nose with a paradigm shift. 1. We have had the time when only a few % of the world were explored for hard commodities, now for several of them basically the whole earth has been explored. So in several cases only considerably more costly exploration and explotation will likely be able to do the job.

Meaning likely prices will rise (and substantially). In the short term also the fact that starting new production takes years sometimes even decades will be important. There might be a technical solution in the longer term for that but that doesnot look to be at the horizon. 2. World growth has moved from developed to EMs. L’austérité, c’est bon pour la planète et ses habitants ? S’il est évident que l’austérité est négative au plan social, c’est moins évident sur le plan écologique.

La crise financière récente a permis de confirmer une loi empirique : dans les 50 dernières années le PIB et les émissions de GES ont été fortement corrélées au niveau mondial et la décroissance du PIB1, qu’elle soit due à une guerre ou une récession, a toujours entraîné le recul des émissions (Voir illustration ci-dessous). Les émissions mondiales de gaz à effet de serre ont ainsi légèrement diminué entre 2008 et 2009 du fait de la crise économique.

Aux Etats-Unis, elles ont chuté de près de 6 % entre 2008 et 2009. A l’inverse c’est bien le décollage économique de la Chine qui l’a propulsée au « statut » de plus gros émetteur de GES de la planète. Faut-il du coup bénir les politiques d’austérité qui s’installent en Europe, quitte à les mâtiner d’une augmentation des transferts sociaux pour faire passer la pilule ? La réponse est clairement négative et ce pour plusieurs raisons. L’entreprise légère : Mode d’emploi ? Mardi matin, c’est autour d’un petit déjeuner organisé par Wiki2D et PACA pour demain* que se sont rencontrés une trentaine de membres d’entreprises, associations et organisations pour échanger sur le thème de l’entreprise légère. Au programme de cette rencontre : « L’entreprise et l’environnement». Le livre de Julia Haake et Basile Gueorguievsky, « L’entreprise légère. Gagner plus en gâchant moins ?

» est au centre des échanges. Cet ouvrage propose aux entreprises des solutions concrètes pour inscrire leurs activités dans une démarche durable, réduisant ainsi leur empreinte écologique. Pour Jérôme Dupuis, directeur adjoint des relations entreprises à WWF, invité pour l’occasion, « si les entreprises sont aux sources du problème elles sont aussi, et surtout, au cœur des solutions ». Du discours philanthropique aux arguments pragmatiques * PACA Pour Demain est une association d’entreprises engagées dans le développement durable en région PACA. Lire aussi: Qu’est ce qu’un bilan carbone ? Top 10 Climate Capitalists of the 21st Century. By Boyd Cohen, Ph.D., Co-Author, Climate Capitalism One lucky 3p reader who retweets this article will receive receive a signed, hardback edition of Climate Capitalism.

Click the Tweet button above and tweet this article to enter! It is hard to believe, but about two years after I first suggested the crazy idea to Hunter Lovins that we co-write a sequel to the global bestseller Natural Capitalism, our book, Climate Capitalism, is finally going to be available in printed form today, April 12th, 2011. In honor of the launch of Climate Capitalism: Capitalism in the Age of Climate Change, I would like to honor my personal top 10 Climate Capitalists (in alphabetical order) from around the globe. Drum roll please…. 1.) 2.) Most outspoken executives of Fortune 500 companies who has led not only his own company, but influenced perhaps thousands more, to embrace a lower impact, high profit path. 3.) 4.) 5.) 6.) 7.) 8.) 9.) 10.) Also emerging as a climate capitalism leader. Le capitaliste n’est pas forcément écologiste. Il y a quelques jours, Georges Kaplan, un collègue de Causeur a fait un papier « le capitaliste est écologiste par nature », qui affirme que l’économie de marché peut parfaitement se révéler écologiste.

Mais, Georges oublie que le capitalisme a des angles morts que seul l’Etat peut corriger. Une démonstration trop habile pour être 100% honnête Georges a un point quand il souligne que le système capitaliste peut être écologiste par nature. En effet, la maximisation des profits suppose l’économie des moyens. De même, jusqu’en 1989, les pays capitalistes se sont révélés plus efficaces que les pays communistes dans l’utilisation des ressources naturelles. Oui, le marché peut aussi se révéler habile pour recycler des sous-produits et c’est lui qui a permis une baisse substantielle de la consommation des véhicules aux Etats-Unis. Quand The Economist réhabilite l’Etat Marché du carbone ou taxe carbone ? C’est ce système qui a été testé en Europe. Insights from ecologists show ways of preventing economic disaster | Business.

In the eight centuries from 1000-1800 AD the world's fish stocks and species numbers were stable and healthy. In the subsequent 200 years, 40% of the species in coastal waters collapsed, showing falls in their population by 90% or more. There was a pattern to this story of decline. There was a much-less marked attrition in coastal regions with richly diverse marine ecosystems than in regions exhibiting low levels of diversity.

What does this have to do with economics? Quite a lot, as it happens. In recent years, as the limitations of the rigidly mathematical approach to economics have been exposed, there has been interest in what the dismal science can learn from biologists, ecologists, geneticists, physicists and psychologists. This is, of course, a topical issue in the light both of the preliminary report by the UK government's independent commission on banking (ICB) and the setting up of a financial policy committee (FPC) at the Bank of England to keep tabs on what the City is up to. PWC Corporate sustainability -Rethinking Business. Will Day Sustainability advisor Our economies incentivise people and businesses to consume way beyond the planet's capacity to regenerate itself.

Will Day, sustainability advisor to PwC, asks, if a planet were a company, and we were its owners or shareholders, would we really sit by and watch it erode its capital the way we're doing? Transcript "There's only one planet Earth, totally unique in its ability to support life. So why are we placing so much pressure on its finite resources? Our economies incentivise people and businesses to consume way beyond the planet's capacity to regenerate itself. Many natural resources are actually under threat, some of them are more visible than others, and we're more aware of some than others.

One of our most undervalued resources is fresh water, and any business that has water anywhere in its supply chain will really have to sit up and take notice. The next half century is going to bring dramatic change. The Economics of Enough. The financial crisis and concerns about environmental sustainability have led to some to conclude that economies should no longer strive for growth. Diane Coyle, FRSA and author of The Economics of Enough, argues this conclusion is misplaced. The economy faces several kinds of problem, each of which seems depressingly intractable. They include climate change, the government debt and aftermath of the financial crisis, and social inequality for starters. Taking them together, the challenge of devising economic policies can look daunting.

So it is not surprising that simple solutions look appealing. One apparent solution that has been gaining momentum is that the economy needs to give up on growth. That would certainly help in terms of environmental pressures. If only things were so easy. Calling for an end to growth is neither practical politics nor sound ethics. So, there is no easy zero growth solution to the array of economic problems. Entreprise légère. Gagner plus en gachant moins: Amazon.fr: Basile Gueorguievsky, Julia Haake. L'entreprise légère : gagner plus en gâchant moins ? Les auteurs nous explique pourquoi ils ont décidé d’écrire cet ouvrage préfacé par Serge Orru, Directeur général du WWF-France : Julia Haake, docteur en sciences économiques, est directrice des partenariats Entreprises du WWF-France : "Grâce à la rencontre des pionniers tels que Ernst Ulrich von Weizsäcker ou Friedrich Schmidt-Bleek au début des années 1990, puis de Thierry Kazazian, Suren Erkman ou Dominique Bourg en France quelques années plus tard, j’ai pu me consacrer assez tôt aux idées d’une économie plus légère.

Or, mes réflexions étaient toujours accompagnées d’une certaine frustration de ne voir quasiment aucune application concrète et réelle au sein des entreprises. Mais depuis un certain temps, on a vu mûrir le monde du business sur les questions de l’écologie, et les limites physiques de notre société commencent à se sentir de manière plus forte tous les jours. Extrait Sommaire du livre I. Le diagnostic est formel, il faut alléger l’économie II. III. IV. Références du livre. Financer le dvpr durable par des DTS - M.Kroll - 2011.pdf. Billet invité, suite à la rencontre de Paul Jorion avec Jakob von Uexkull à Zermatt. Merci à Bénédicte pour la traduction Surmonter le défi climatique aura un coût élevé.

La majorité des États actuellement confrontés à d’énormes déficits budgétaires (principalement causés par la crise financière) sont réticents à l’idée de consacrer de l’argent aux problèmes climatiques sur le long terme. Il faudrait au bas mot 100 milliards de dollars pour une politique véritablement efficace visant à réduire les effets du changement climatique, pour autant que cela soit encore possible. C’est aussi vrai pour les propositions alternatives, telles que le financement à partir des profits des bourses du carbone ou de taxes sur le carburant aérien et les transactions financières. Par conséquent, nous avons besoin d’une source de financement nouvelle et mondiale, capable de générer au moins 100 milliards de dollars par an immédiatement, sans être soumise à l’impératif de redistribuer des fonds existants. The World Future Council: Matthias Kroll.

2012 - Du dvpt durable à l'économie stationnaire.pdf.

Steady State Economy

Herman Daly - Ecological Economics. Tim Jackson. NEF - New Economic Foundation. Pete Victor - Managing without growth. Concepts. Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Du latin conceptus. Nom commun[modifier | modifier le wikicode] concept /kɔ̃.sɛpt/ masculin Idée abstraite et générale. Synonymes[modifier | modifier le wikicode] Apparentés étymologiques[modifier | modifier le wikicode] Traductions[modifier | modifier le wikicode] Voir aussi[modifier | modifier le wikicode] concept sur Wikipédia Anglais[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Nom commun[modifier | modifier le wikicode] concept /ˈkɑn.sɛpt/ (États-Unis), /ˈkɒn.sɛpt/ (Royaume-Uni) Concept.

Dérivés[modifier | modifier le wikicode] Apparentés étymologiques[modifier | modifier le wikicode] Néerlandais[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Du français concept, lui-même issu du latin conceptus. Nom commun[modifier | modifier le wikicode] concept neutre.

Hunter Lovins

Economie Positive - Planet Finance. Résultats de recherche pour « économie positive » Maximilien Rouer - Economie Positive. Yannick Roudaut - Alternité - Découplage. Rachel Botsman: The case for collaborative consumption. 2011 - Economie de fonctionnalité.pdf. Rapport Consommer durable 2011.pdf. Bernard Stiegler : « Le marketing détruit tous les outils du savoir » - Société de consommation. Le site de référence pour l'économie de fonctionnalité ou économie de l'usage.

Economie collaborative / P2P economy. TEDxTokyo - Gunter Pauli - Balancing Energy - [English]

Gunter Pauli - Blue economy

Economie circulaire. Yann Moulier Boutang - Ellen MacArthur. Marc Luyckx Ghisi - Knowledge economy.