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Le site de référence pour l'économie de fonctionnalité ou économie de l'usage

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Projet n°12 - Economie de fonctionalité. Vers une organisation industrielle durable - Cluster GOSPI - Gestion et Organisation des Systemes de Production et de l’Innovation Daniel Brissaud, Laboratoire G-scop L’économie de fonctionnalité est définie comme le remplacement de la vente de biens par la vente de leur usage. Elle présente alors certains avantages qui en font aujourd’hui une stratégie industrielle capable de réconcilier entreprise et société. En effet, l’économie de fonctionnalité peut logiquement apparaître comme voie de développement durable réconciliant croissance économique et environnement. Ainsi, un producteur qui vend des biens a intérêt à en vendre le plus possible et donc à en raccourcir la durée de vie (obsolescence programmée) alors que le producteur qui en vend le seul usage (service) a intérêt à en allonger la durée pour diminuer son coût de production.

Financer le dvpr durable par des DTS - M.Kroll - 2011.pdf Billet invité, suite à la rencontre de Paul Jorion avec Jakob von Uexkull à Zermatt. Merci à Bénédicte pour la traduction Surmonter le défi climatique aura un coût élevé. La majorité des États actuellement confrontés à d’énormes déficits budgétaires (principalement causés par la crise financière) sont réticents à l’idée de consacrer de l’argent aux problèmes climatiques sur le long terme. C’est aussi vrai pour les propositions alternatives, telles que le financement à partir des profits des bourses du carbone ou de taxes sur le carburant aérien et les transactions financières. Par conséquent, nous avons besoin d’une source de financement nouvelle et mondiale, capable de générer au moins 100 milliards de dollars par an immédiatement, sans être soumise à l’impératif de redistribuer des fonds existants. La proposition d’une nouvelle monnaie par le World Future Council Le principe de base est que les nouveaux fonds seraient versés uniquement à la lumière des résultats. Conclusion

[Economie de la fonctionnalité] étude prospective ADEME Imaginons en 2050 une économie qui n’est plus basée sur la production en volume de biens matériels et de services standards à moindre coût mais qui crée de la valeur sur les bénéfices apportés aux entreprises, citoyens et territoires dans une dynamique servicielle et en optimisant le cycle de vie des biens matériels. L’ADEME publie ce jour une étude prospective sur l’économie de la fonctionnalité qui explore les fondements d’un nouveau modèle économique, appréhende ses potentialités en termes de développement durable et présente les projets d’acteurs les plus prometteurs. Cette vision à 2050 permet, au travers des descriptions, de s’approprier les différentes dimensions de ce modèle économique en rupture. L’économie de la fonctionnalité : de quoi parle-t-on ? L’exemple d’Envergure Architectes : augmenter la performance d’usage des bâtiments pour réduire les constructions Exploration des scénarios possibles

transitions: De l'obsolescence programmée à l'économie de fonctionalité Une nouvelle page sur l'obsolescence programmée a été publiée dans le groupe Economie de Fonctionnalité "L’obsolescence programmée (ou la désuétude planifiée) consiste à créer un bien en prévoyant à l'avance sa date de désuétude. Par ce procédé, les fabricants conçoivent des objets dont la durée de vie commerciale (mais pas nécessairement la durée de vie technique) est délibérément courte. Ce stratagème oblige les consommateurs à remplacer rapidement leurs produits, et donc, à acheter de nouvelles marchandises." (Source Solecopedia) Un retour historique nous montre comment ce procédé a progressivement été adapté par notre économie actuelle. Les limites en sont devenues évidentes, notamment pour les produits électriques et électroniques. L'économie de fonctionnalité propose une alternative permettant de revenir à des produits ayant une durée de vie longue en support de services durables appuyés sur les usages réels.

PWC Corporate sustainability -Rethinking Business Will Day Sustainability advisor Our economies incentivise people and businesses to consume way beyond the planet's capacity to regenerate itself. Will Day, sustainability advisor to PwC, asks, if a planet were a company, and we were its owners or shareholders, would we really sit by and watch it erode its capital the way we're doing? Transcript "There's only one planet Earth, totally unique in its ability to support life. Our economies incentivise people and businesses to consume way beyond the planet's capacity to regenerate itself. Many natural resources are actually under threat, some of them are more visible than others, and we're more aware of some than others. One of our most undervalued resources is fresh water, and any business that has water anywhere in its supply chain will really have to sit up and take notice. The next half century is going to bring dramatic change. Every organisation needs to prepare for the new context. Our way of life is under threat from our way of life.

ADEME - L'économie de la fontionnalité Intégrer l'environnement, le social et l'économique dans une dynamique commune au sein des politiques publiques et des entreprises Évaluer les bénéfices des offres en concertation avec tous les acteurs impliqués afin de mieux les valoriser Promouvoir l'innovation sociale, en mettant l'Homme au coeur de la société et les technologies à son service Favoriser la coopération entre les acteurs économiques et le bien-être au travail Trouver des solutions d'engagement contractuel, de financement et des modes de gouvernance novateurs pour une plus grande solidarité entre les acteurs Conduire une gestion efficiente des biens matériels sur leur cycle de vie en cohérence avec les services

Economie de fonctionnalité : passer des produits aux services, un business modèle gagnant /gagnant - **BLOG.DLY.FREE.FR Définition de l’économie de fonctionnalité L’économie de fonctionnalité est la substitution de la vente d’un service à celle d’un produit. L’objectif est d’amener les industriels à modifier le centre de gravité de leurs intérêts : en tirant leurs flux financiers des services d’usage et de maintenance, ils seraient naturellement enclins à concevoir des produits pérennes et modulables et à dématérialiser leur activité. Ils pourraient plus facilement contrôler le cycle de vie de leurs produits et les recycler au terme de leur existence. Les flux financiers pourraient alors continuer de croître sans impliquer ipso facto la croissance des flux de matière et d’énergie. Ce scénario de fonctionnalité constitue une des rares voies prometteuses de mise en ouvre du développement durable, à savoir d’une réduction des flux de matières et d’énergie qui n’affecterait ni la croissance financière, ni le dynamisme social et technologique de nos sociétés. Libre et "économie de fonctionnalité" ? Livres

Entropie de l'économie Nicholas Georgescu-Roegen est l'un de ces personnages improbables que l'histoire troublée de l'Europe centrale a produit pour notre plus grand profit. Roumain, docteur en mathématiques, il rencontre Joseph Schumpeter dans les années 30 à Harvard et s'oriente alors vers l'économie qu'il enseignera aux Etats-Unis, pays où il s'est exilé en 1948. Ce livre est un recueil de textes des années 70 qui vient à point dans le débat sur le développement soutenable. L'auteur applique à l'économie la deuxième loi de la thermodynamique. Celle-ci affirme que dans un système clos, l'énergie transformable en travail mécanique ne peut que diminuer, le désordre ne peut qu'augmenter. Même si, bien sûr, il n'emploie pas le mot, il n'existe pas de développement soutenable pour Nicholas Georgescu-Roegen. La décroissance, Nicholas Georgescu-Roegen éd. Commenter cet article

Services alternatifs - Service-en-plus Entropy, peak oil, and Stoic philosophy 1. Simple physics and complex systems So, ladies and gentleman, first of all let me show you this apple.(photo by Daniel Gomez) Don't worry; it doesn't mean that this will be a very long talk! The fact that apples fall from trees - and that everything else that can fall, does - is an effect of the existence of relatively simple laws in the universe. Before Newton, for a long time scientists could only grumble something about “angels pushing” when asked about what caused planets to move. It is not rare to find an underlying simple law that generates complex systems. Now, when we discuss complex systems, of course what comes to our minds is the subject we are discussing today – the economy and what makes it move. 2. So, let's see if we can inject some physics into modelling the economy. Note that Hubbert had only data until 1956; the rest is extrapolation. The agreement is impressive, considering that the curve spans several decades. 3. 4. That is, of course, very simplified! 5. Sure. 6.

Grantham comes nose to nose with a paradigm shift 1. We have had the time when only a few % of the world were explored for hard commodities, now for several of them basically the whole earth has been explored. So in several cases only considerably more costly exploration and explotation will likely be able to do the job. Meaning likely prices will rise (and substantially). In the short term also the fact that starting new production takes years sometimes even decades will be important. There might be a technical solution in the longer term for that but that doesnot look to be at the horizon. 2. The Economics of Enough The financial crisis and concerns about environmental sustainability have led to some to conclude that economies should no longer strive for growth. Diane Coyle, FRSA and author of The Economics of Enough, argues this conclusion is misplaced. The economy faces several kinds of problem, each of which seems depressingly intractable. One apparent solution that has been gaining momentum is that the economy needs to give up on growth. If only things were so easy. Calling for an end to growth is neither practical politics nor sound ethics. So, there is no easy zero growth solution to the array of economic problems. It is clear that the first step towards sustainability will require having the measurements to answer this question. A second step to a more sustainable economy will be reforming the institutions governing the economy, whether at the local, national or global level. The third aspect of a sustainable economy is something economists normally steer clear of, namely ethical values.

L’austérité, c’est bon pour la planète et ses habitants ? S’il est évident que l’austérité est négative au plan social, c’est moins évident sur le plan écologique. La crise financière récente a permis de confirmer une loi empirique : dans les 50 dernières années le PIB et les émissions de GES ont été fortement corrélées au niveau mondial et la décroissance du PIB1, qu’elle soit due à une guerre ou une récession, a toujours entraîné le recul des émissions (Voir illustration ci-dessous). Les émissions mondiales de gaz à effet de serre ont ainsi légèrement diminué entre 2008 et 2009 du fait de la crise économique. Aux Etats-Unis, elles ont chuté de près de 6 % entre 2008 et 2009. A l’inverse c’est bien le décollage économique de la Chine qui l’a propulsée au « statut » de plus gros émetteur de GES de la planète. Faut-il du coup bénir les politiques d’austérité qui s’installent en Europe, quitte à les mâtiner d’une augmentation des transferts sociaux pour faire passer la pilule ? La réponse est clairement négative et ce pour plusieurs raisons.

Le capitaliste n’est pas forcément écologiste Il y a quelques jours, Georges Kaplan, un collègue de Causeur a fait un papier « le capitaliste est écologiste par nature », qui affirme que l’économie de marché peut parfaitement se révéler écologiste. Mais, Georges oublie que le capitalisme a des angles morts que seul l’Etat peut corriger. Une démonstration trop habile pour être 100% honnête Georges a un point quand il souligne que le système capitaliste peut être écologiste par nature. Même si Georges souligne heureusement à la fin de son papier que nous ne vivons pas dans un monde parfaitement respectueux de l’environnement, vouloir ne rechercher des solutions que par le marché est un peu naïf. Quand The Economist réhabilite l’Etat Et je vais m’appuyer justement sur les analyses du très libéral hebdomadaire The Economist, qui adopte des positions très intéressantes en matière d’écologie. Marché du carbone ou taxe carbone ? Aujourd’hui, le marché seul ne va pas produire une réduction de la production de CO², bien au contraire.

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